Manque de sens de l'orientation ...(Privé avec Böse)

J'adore traîner dans le sous-sol, ici le souvenir de la seconde guerre mondiale résonnait dans les couloirs qui entendirent jadis les pas des soldats nazis, ceux des prisonniers. Je n'ai pas voulu restaurer entièrement le sous-sol, c'était mon petit monde, ce qui m'avait charmé ici, la raison pour laquelle j'avais voulu cette prison ci. L'air y était très différent, froid, humide, le silence, le bruit des pas qui résonnent.

J'étais descendu ici lors d'une quinte de tous infernale intervenue en haut, dans l'aile des prisonniers. L'air y était lourd, chargé, les mouvements lèvent poussières et odeurs entremêlées. Je me suis éclipsée courant seule dans Sadismus et mes pas me guidèrent ici, appuyée contre la paroi du sous-sol je tente de récupérer mon souffle. Le fait que je sois seule et le froid réussirent à m'apaiser, je me concentre sur ma respiration, une larme coula sur ma joue à cause de cette tous monstrueuse. Je laisse le silence retomber, levant les yeux je regarde la paroi contre laquelle je suis posée, avec un sourire je me redresse et la caresse. Je marche le long des couloirs en la caressant de ma main que je laisse traîner derrière moi. Je laisse revivre le passé autour de moi, j'entend les soldats donner des ordres, les prisonniers supplier de les épargner, puis en passant devant l'une des portes un cri venant du passé attira mon intention.

La salle de torture, des milliers de cris avaient régnés dans cette pièce ainsi que du sang. Je regarde les outils et les caresse du doigt, imaginant combien de personne celui ci avait entaillé, combien celui ci avait écartelé, combien l'autre avait crevé d'yeux. Ma main se porta sur un tisonnier un peu plus grand qu'une matraque je le tiens tout de même correctement en main. J'hésite à en faire une nouvelle de mes armes favorite. Alors que j'étais absorbée dans la contemplation des pas retentirent dans le couloir....non ce n'était pas un souvenir du temps nazi mais bien des pas réels. Je me glisse alors derrière la porte à l'ombre pour voir qui ose s'aventurer en ces lieux.

Un détenu ? Hum, quel plaisir de lire sur son visage la surprise de cette découverte, Sadismus gardait son histoire, surtout les mauvais côtés. Lorsqu'il voulu sortir de la pièce je pousse la porte de la salle qui claque alors que je me mets devant. Je tapote la tisonnier dans la paume de ma main gauche en toisant de haut le détenu où se lisait encore la stupeur de la découverte de la salle.

" Vous êtes? "

Je sursaute lorsque je la voit sortir de nul part. Une habitude me porte à mettre la main sur ma taille pour empoigner mon arme, mais malheureusement depuis plusieurs jours, c'était un geste particulierement innutile puisque l'ont m'avait bien evidement confisqué tout ce que je pouvais avoir de dangereux.
Je reste silencieux. Qui est cette femme, une gardienne? Une gardienne qui ne semblait pas du genre à parlementer avant d'utiliser son arme. J'étais également comme cela. Mais malheur pour moi, je n'ai rien sauf peut-être un platre pour m'attaquer à cette femme.

Je reste silencieux, une chose que je commencais à apprendre en étant en prison c'est de prendre le temps d'observer. Et c'est exactement ce que je fais, je l'observe. Si je lui répond une bêtise, va t'elle me frapper de son tisonnier?
Un autre malheur pour moi, je n'ai pas encore passé assez de temps dans cette prison pour avoir appris à ravaller mes paroles. Je serre le poing droit(Puisque mon autre est dans le platre) et je dis d'un ton sec:


-Vous voulez que je sois qui?! Vous voulez un choix de réponse?

J'en déduisais qu'elle était simplement une gardienne qui semblait bien apprécier les salles de tortures. Qu'elle sache mon nom ou pas, qu'est-ce que cela pouvait bien lui faire. Je soupire de lassitude. Commencant à songer que la porte était fermée et que je n'aimerais pas particulierement rester ici longtemps ... :

-Vous me laissez sortir maintenant? Dis-je d'une voix également seche.

Je commençais à être de mauvaise humeur, enfin je l'étais un peu tout le temps, mais si elle n'ouvrait pas bientot la porte je sentirais ma claustrophobie prendre le dessus, Cette piece n'était pas si grande, en plus que nous étions assez loin dans le sous-sol, je ne devais pas songer qu'il y avait une possibilitée que je puisse manquer d'air N'y liasser montrer que j'étais Claustrophobe, les gardiens avaient tendance a apprécier nos petites peurs ...

M'adossant contre la porte je la verrouille soigneusement avant de glisser la clé dans.....mon décolleté....Certes j'aurai pu la mettre dans ma poche de plus qu'il y avait bien cinq verrous à cette porte mais par mesure de sécurité...et puis c'est plus sur que dans les poches selon moi m'enfin.
Bien odieux dans sa réponse le bagnard, je ne crois pas qu'il sache qu'il s'adresse à la directrice.....Et bien informons le !

" Je vois beaucoup de dossiers par jours, je ne retiens pas toutes les têtes qui passent entre mes mains....au sens propre comme au figuré, donc je demande quel est l'espèce de bagnard que vous êtes. Votre nom pourrait m'aider."

Baissant les yeux sur sa tenue j'eu un sourire

" Finalement votre matricule me suffit monsieur Hyde, votre visite à l'infirmerie apporte beaucoup d'information. Je vois que les gardiens ont fait votre connaissance mais moi je n'en ai eu guère l'occasion."

Je me redresse et lui fait face, le tisonnier bien en main, je soutien son regard avec intensité et avec mon sourire franchement sadique.

" Vous voulez déjà partir ? Dommage, vous êtes passé entre les mains de mes gardiens, mais il vous manque de passer entre les mains d'une Wächterin et pas de chance vous êtes tombé sur Böse."

Je m'avançais doucement vers lui, il était au centre de la pièce à côté de la table de torture et ne bougeait guère, voulait il me défier ? Il allait être servit.

" Et il est irrespectueux de parler à une directrice avec ce ton monsieur Hyde."

Ma main vint trouver d'un geste vif son cou, je la tenai à distance avec la poigne que je m'étais forgée à force des rapports que j'avais eu avec les prisonniers. Je le fit basculer sur la table avant de l'y attacher comme avant, les ceintures étaient en excellent état ainsi que les chaînes. Ainsi immobilisé il allait voir ce que cela coûtait de me parler avec ce ton lorsque j'étais mal lunée.

" Et bien monsieur Hyde, vous allez payer pour ce ton"

Lui murmurais je à l'oreille avant de me redresser à côté de la table pour y voir le bagnard attaché et également son visage pour y lire son sentiment.

Si j'avais pu songer un instant que cette femme avait la force d'un boeuf, je n'aurais peut-être pas tenu ma langue, mais je me serais au moin préparé. En quelques secondes j'étais couché et attaché sur un table de torture, beaucoup d'amusement en perspective.

Je sentais mon coeur s'accelerer, je ne laissais aucune expression transparaitre sur mon visage. Montrer à mes ennemis que j'étais effrayé n'était pas du tout mon genre. Mais par contre je serais bien incapable de cacher ma respiration et la peur que j'avais avec ma claustrophobie, en plus d'être attaché, je ne me plaisais pas du tout dans cette piece.

-Qu'est-ce que vous voulez que je vous dises? Dis-je entre les dents.

Me retrouver dans cette position me mettais certainement plus en colère que n'importe quoi d'autre ... Je n'aimais pas être en position de faiblesse et c'était pourtant tout ce que j'avais depuis que j'étais arrivé en prison.

Je ne laisais pas son regard, je constatais bien qu'elle prenait cela pour de la provocation et ce l'était aussi. Même si je redoutais qu'il lui prenne l'envi de vraiment me torturé, elle n'avait pas de rasions de le faire ... Enfin je crois qu'elle n'en n'a pas

Je fronçais les sourcils en essayant de bouger les bras et les jambes, ce ne serait pas comme les menottes que l'ont nous mettais régulièrement, cette table était justement faite pour les hommes de ma carrure et de ma force.

Je lachais un juron, j'étais dans quelle sorte de prison?? Je m'étais rendu compte que rien ne serait facile mais de là à avoir une salle de torture ...

-Vous avez l'habitude de torturer des prisonniers ...? demandais-je d'un ton arrogant. J'esayais de me convaincre qu'elle ne le ferait pas. Enfin qu'elle n'oserait pas. Je connaissais un peu mon histoire et maintenant l'ont ne torturais plus les prisonniers ...

Enfin. Il y avait toujours une exeption à la regle ... Et j'esperais que cette prison n'en était pas une ...

Je parcourai la salle lentement quand il me demanda si j'avais l'habitude de torturer les gens.....heum comment lui dire ?

" Non d'habitude ils vont directement sur le chaise électrique ou l'euthanasie puis ils finissent dans les fours crématoires."

Bon bah voilà je lui avais dit....pas si compliqué que cela finalement ! Je me penchais ça et là au dessus des outils certes vieux mais encore utilisables.
" J'espère que vous aimez l'Histoire monsieur Hyde, ici vous en êtes entouré !"

Qu'est ce que je pouvais retrouver le sourire dans cette pièce ! Tiens ! Une énorme pince pour couper les.......hem, ils savaient comment faire perdre la dignité aux hommes. Prenant l'engin qui parlait de lui même en main je demande alors au détenu

" N'est ce pas vous qui détestez les femmes ?"

Entre mes mains j'actionne dans le vide l'énorme pince, elle peut encore être utilisée.....J'aimerai punir de cette façon tous les violeurs, les pédophiles. M'enfin Nett découvrirait cela un jour et cela la peinerai. Mais là elle n'était pas ici dans la pièce, de plus son ancien passage à l'infirmerie pourrait justifier ce que je pourrai bien lui faire. Bon avec cette pince ci ce serait peut être un peu trop voyant.....et avec ce petit scalpel aiguisé ? Je fouille partout prend en main tous les outils jadis utilisés pour les examiner, imaginer à quoi ils servaient montrant bien au prisonnier ce que je prenais en main

Je me sentais blemir, j'avais bien beau être courageux, personne ne se sentirait à son aise ici. Je commencais à respirer difficilement, je fronçais les sourcils et je dis:

-...Je ne déteste pas les femmes ... Je déteste les prostituées ... Mais les prostitués sont des femmes ...

Je ne savais pas comment j'avais pu dire cette phrase en entier. Je commencais à être stressé, à ne pas me sentir bien parmis tout ces instuments de torture, avec cette femme plus qu'effrayante, je n'aurais pas aimé me retrouver face à elle si elle avait été une tueuse ... Et puis cette piece m'éttoufais, comme la plupart des endroits clos.

Je regarde autour de moi, cherchant un moyen pour me sortir d'ici. Elle n'allait tout de même pas me tenir indéfiniment attaché ici ... À moin qu'elle compte vraiment me faire du mal.

Sans prévenir je lachais un hurlement de rage et je me mis a m'agiter sur la table de torture, J'étais enragé. J'étais un tueur et je tennais à ma libertée, ici c'était le comble pour moi. Je continuais à m'agiter et je dis fortement:

-Relachez-moi!!! Car je vous jure que lorsque vous le ferez je ne perdrais pas de temps avec vous!!!

Je ne me rendais même pas compte des menaces que je lui faisais. Les mots sortaient tout seuls. Je ne voulais pas rester attaché plus longtemps.

" Il y a aussi des prostitués homme que je sache "

Il commence à s'agiter, oh non qu'il ne commence pas ! Cela a tendance à attiser mon envie d'exercer un pouvoir physique et non plus moral, la petite étincelle de jeu étant née à la contemplation de ces outils magnifiques devenait un feu maintenant qu'il s'impatientait. Maintenant la machette que j'avais entre les mains plus fermemant je m'emporta alors quelques secondes, je me tourne vers lui et plante la lame rouillée mais coupante à quelques centimètres de son visage sur la table.

" Mais dans un sens vous avez raison, les femmes font payer pour l'amour alors que les espèces d'homme que vous êtes violez !!! Oui il existe des prostituées qui sont la pour satisfaire vos pulsions animales et bestiales !"

Je plante alors la machette juste entre les jambes de Hyde sans pour autant le toucher, s'il avait bougé à ce moment là j'aurai du l'appeler mademoiselle mais il ne bougea guère à ce moment. Je prends le scalpel que je fais tourner entre mes doigts en me penchant qu dessus du détenu

" Mais nooooooon les hommes que vous êtes sont de surcroit radin et pour ne pas payer ces filles de joie ils violent !! Vous pensez que c'est mieux ? Et vous me menacez !! Ah vous les hommes ! Vous pensez que je vais vous relâcher dans l'état que vous êtes ? Prêt à vouloir vous mesurer à moi ?"

Entre ma main libre je prend son visage et le serre un peu plus fort mais pas trop pour ne pas lui briser

" Et si vous ne pouviez pas me voir lorsque je vous libèrerai, vous pensez que vous réussirez à me faire mon compte ?"

Le scalpel passa devant ses yeux plusieurs fois, s'il ne se calmait pas de suite ou du moins arrêtait pas de gigoter j'allais continuer à m'échauffer, s'il m'attisait encore avec ses menaces et ses cris je ne donne pas cher de sa peau et je parirai pas sur le fait qu'il sorte indemne d'entre mes mains.

Je sentais mon coeur faire un bond dans ma poitrine à chaque fois qu'elle s'approchais de moi avec ses instrument de torture. Mais j'étais indompatable et incorigible ... Je lui crache à la figure, car c'était bien tout ce que je pouvais faire et je dis d'une voix forte:

-Ne me faites pas chier! Si vous voulez inssinuer quoi que ce soit, je n'ai jamais violé personne de ma vie!!

C'était vrai. Je tuais mais jamais je n'aurais fait une chose comme violer quelqu'un. Mais je n'avais aucun remord à tuer.

Je la fixais dans les yeux. Respirant bruyament. Je détestais me sentir aussi impuissant c'était une sensation horrible.

Je regardais ensuite le Scalpel. Je me remis à me débattre, evitant de toucher à aucune des lames qui étaient près de moi. Cette femme était completement folle, je devais trouver un moyen pour me sortir d'ici ... Mais je n'arrivais pas à la cerner. Je n'étais pas psycologue, loin de là, j'avais du mal à comprendre mes propres émotions, alors celle des autres. Cette femme détestait visiblement les prisoniers ... Ou du moin peut-être particulierement les violeurs ...

Si elle connaissait si bien mon dossier alors elle savait que je n'en étais pas un. Mais j'avais déja tué des femmes, des prostituées entre autre, et de manière plutot violente, peut-être qu'elle n'aimait tout simplement pas que des hommes s'en prennent au femmes ...

"Voilà bien quelque chose qui mime la détresse, cracher à la figure de quelqu'un"

Je ricane d'un geste lent j'enlève ce qui vient de cette bouche immonde du dos de ma main avant de la balancer au visage de celui ci en une gifle plus que claquante. Le bruit résonna dans la salle.

" Le viol est quelque chose d'horrible mais le meurtre.......Vous êtes qui pour décider du droit de vie ou de mort ?! Ce que certains appelent Dieu ? Moi je tue, mais tuer un tueur est il vraiment un péché ?! De toute façon l'Enfer est ici et moi je ne crains pas la mort et le jugement dernier ni vous tous !"

Je m'éloigne de la table continuant à regarder ce que cette pièce offrait.

" Les hommes qui s'en prennent aux femmes ne méritent même pas la vie, mais je ne suis pas féministe, des jolies petites fesses féminines se sont posées sur la chaise. Et elles ont fini aussi dans les fours. Ici ce n'est pas vous qui dirigez, certes vous pouvez faire le beau devant les autres détenus mais devant moi évitez."

Je me retourne brusquement en lançant le scalpel qui se plante dans le platre de Hyde, un peu profond certes mais il ne l'avait nullement transpercé.

" Et oui on a du mal à respirer, on étouffe ici, on en deviendrai preque fou. Mais la folie elle même se tiens à vos côtés"

J'entrouvre les bras avec un sourire, folle je l'étais, folle de rage envers chaques détenus et chacun de leur crime de toute sorte. Et il fallait que je me calme sinon j'allais le dépecer, de plus que l'outil adéquate de trouvait là.

" Oui un jour vous sortirez d'ici, mais ce ne sera jamais par la porte mais pluôt par la cheminée"

Un sourire apparait et s'agrandit sur mes lèvres noires, j'avais trouvée ce que je voulais et le déposa contre le visage de Hyde : le tissu empli d'ether. J'attendit qu'il s'évanouisse avant de le retirer et tenter de me calmer. Je m'appui contre la table et regarde le scalpel. Je grave un joli petit Böse à côté du trou que j'avai fait.

" Comme cela à ton réveille tu te souviendra de notre rencontre"

Je tapote sur sa joue d'endormi, enfin calme. Pas trop tôt. Remettant tous les outils de tortures en place, soigneusement. Je détache Hyde et le traine derrière moi par son bras libre, ouvrant la porte je le traine inanimé pour le mener à sa cellule qu'il s'éveille " tranquillement"

---> cellule de Hyde ( fin du topic)