Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
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| David Curtis | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: David Curtis Lun 15 Oct - 21:53 | |
| Dossier médical
Nom & Prénom- Curtis,David Sexe- Masculin Âge- 16 ans Traits physiques- J’ai un visage de fendant si je peux appeler ça comme ça. Je suis moyennement grand, j’ai les cheveux blancs et les yeux bleus. Mes épaules sont fortes sans êtres trop larges et carrées. Ma musculature est naturelle et légèrement travaillé mais très peu. Je ne m’entraîne pas beaucoup, que quelques push-up et redressements assis chaque jour! Taille- 5 pieds et 8 pouces Poids- 150 livres Maladie ou handicap physique- J’ai une blessure à l’épaule gauche qui se fait un plaisir de se faire sentir quand je force trop… Autres- Un dessin à été gravé au couteau dans mon dos. Il représente la complexité de l’esprit humain
Dossier psychologique
Qualités- Je suis d’une nature sympathique et enjoué. Toujours près à décoché la blague un peu louche que personne ne veux entendre. Je suis aussi extrêmement proche des gens. J’ai cette certaine capacité à lire les émotions des autres. Bref, j’ai encore l’esprit jeune et frivole. Je suis éternellement en train de bouger. Défauts- J’ai tendance à trop réfléchir sur des questions très dures et intrigantes. Style, Pourquoi je suis en vie ou pourquoi je suis comme je suis. Je ne me fâche pas assez vite et quand je me fâche j’ai tendance à dépasser les bornes et à ne pas pouvoir/vouloir m’arrêter. Aime- J’aime biens les gens qui me repoussent, ça prouvent qu’ils m’apprécient… N'aime pas- Je hais les hypocrites et les incompétents… Comportement avec les gens- Je suis très pacifique et j’ai tendance à me moquer un peu de tout le monde alors que je prend tout très au sérieux… Mais je ne le fais pas paraître… Maladie ou handicap mental- Je suis légèrement atteint de folie… Quand je suis en colère rien ne peut m’arrêter, sauf la mort. J’ai aussi tendance à beaucoup trop utiliser les points de suspension… Valeurs- Je suis un grand défenseur des liens d’amitié. Je n’hésite pas à me mettre dans le trouble, souffrir ou bien mourir pour un être cher. Notamment, la cicatrice de mon dos relié à ça… Tics- Je me taille sans cesse la main avec mon couteau… pour que la douleur me fasse réaliser que je suis encore en vie… Mais maintenant que je suis en prison, je ne l’aurais plus… (Y’a pas un moyen de le ravoir…) Passé- J’ai vécu dans la grande ville de New York… D’où je la voyais, elle n’avait rien de bien prestigieuse et grandiose. Pour moi c’est seulement un trou à rat avec un ramassis de gens qui croit vivres alors qu’ils se tuent un peu plus tous les jours. Courants partout comme des poulets sans têtes à se préoccuper plus de chiffres que des êtres humains qui les entourent. Des êtres qui souffrent et qui n’ont aucune échappatoire… Des gens comme moi. Je vivais dans ce que j’appelais ma cage. Un petit appartement habité par mes parents, mes deux frères plus jeunes et moi. Mon père… l’homme que j’ai le plus haïs de ma très courte vie. Mon géniteur était un homme perfide et sans morale, un violeur, un pédophile, un égoïste, un avare et un homme méchant. Et ironiquement je suis son enfant. Ma vie s’est toujours déroulée très paisiblement. Dans le calme de mon petit quartier. J’avais des amis, de vrais bons amis. Choses que je suis vraiment content d’avoir eu. Un soir après l’école, je reviens plus tard que prévus chez moi. Je monte les interminables étages de l’escalier qui maintenant faisait part de ma routine. J’introduis ma clé dans la serrure. Elle oppose une résistance, je la ressort et constate qu’il y a une clé brisé à l’intérieur de celle-ci. Je mets ma main sur la poigné, j’ouvre la porte et me rend compte qu’une des pentures est arraché. Trop intriguer par la penture, je ne remarque pas le décor en entrant. Je me dirige vers ma chambre comme d’habitude. Personne à la maison bizarre. Je n’en fait pas un cas. J’arrive au petit couloir donnant sur les chambres. Je m’immobilise d’un coup. Des gémissements de douleur et un grincement de lit. Je commence à trembler. Je n’en peux plus, un de mes frères est en train de se faire violer. Encore une fois. Je perds mon calme et donne de grand coup de pied dans les portes de chambres. Je m’essouffle quelques peux. Il n’en reste qu’une, la mienne. Je pose ma main sur la poignée et l’arrache littéralement. La porte sort de ses gons. Le visage de mon père se retourne. Je vois sur sa face un mélange de plaisir, de sadisme, de surprise et de méchanceté. La poignée est encore dans ma main. Il arrête son mouvement de vas et viens du bassin qui me dégout au plus haut point. Il se retourne vers moi. Il est nu comme un vers. Je le vois dans son plus simple état et je réalise que je n’ai rien à voir avec lui. Il s’approche de moi et me dit que c’est à mon tour. Qu’il m’a épargné pendant trop longtemps, qu’il à envi de pénétrer mon beau petit cul. Il prend mon épaule et je réagis. Je lui donne un violent coup de point de ma main gauche, il vacille. Je lui balance un coup de la poignée de porte. Le bidule qui réuni les deux côtés de la poignée de porte était resté sur mon côté. Je l’enfonce directement dans son œil. Il cri, il s’époumone. Il me repousse et me lance dans la chambre d’en face. Je me fracasse la tête contre l’aquarium qui explose sous le choque. Des morceaux de vers me sectionnent la tête. Il s’approche de moi, plus furieux que jamais. Je ne vois plus très bien, le sang me force à fermer un œil. Je vois seulement qu’il à un couteau à la main. D’un geste vif il me transperce l’épaule gauche. Je cris mais je ne peux rien faire. Il m’attrape au niveau du torse et m’empêche de bouger les bras. Il tourne à plat ventre sur le sol. Il fait exploser ma ceinture et ma fermeture éclair, il baisse mon pantalon. Je sens son engin se frotter sur mon cul. Il m’enlève mes boxers ne perd pas de temps et me pénètre. Je me cambre sous la douleur et mes muscles se tendent. Mon visage se crispe de terreur, de douleur et de colère. Mais étrangement je me laisse faire, je ne suis plus capables de me mouvoir. Rien ne m’en donne la motivation. J’entends des pas, je tourne ma tête et je vois mon frère qui s’enfuit et un homme qui se tient la, habillé en noir. Il braque son pistolet dans ma direction. Les quelques instants qui se sont écoulés furent étranges. Pourquoi était-il là, en se moment? Il fit feu et le va et viens de mon père s’arrêta. Le temps que j’ouvre les yeux à nouveau, il avait disparu. Je remis mon pantalon et soudain, la voisine arriva. Elle se mit à hurler au meurtre. Sous l’impulsion de moment je saisi le couteau de mon père, encore jucher dans mon épaule, et je lui tranchai la gorge. Les autres locataires de l’étage arrivèrent. Je les ai tous tuer, jusqu’au dernier. Par folie pur ou par vengeance de ne pas s’être rendu compte de se qui se passait juste à côté de chez eu. Mon jeune frère apparu. Il me dit que maman est parti et qu’il veut aller la rejoindre. Cela me mit hors de moi. J’ai commencé a crié.
-Pourquoi veux-tu aller avec Maman, tu n’est pas assez bien avec moi? On ne manquera jamais de nourriture, regarde toute la viande que j’ai amassée. Allez viens avec moi. Pourquoi as-tu peur? Tu ne m’aime pas? Après tout ce que j’ai fait pour toi. TU RESTERAS AVEC MOI COÛTE QUE COÛTE. HAHAHA NOUS AURONS TANT DE PLAISIRS TOUT LES DEUX, SEULEMENT NOUS DEUX.
Je suis devenu violent, agressif et dangereux. Et soudain il me dit la phrase qui me ramena à la vie. « Arrête, tu est comme Papa». Je me suis senti si minable et cruel. Pourquoi est-ce que j’ai fait ça. Est-ce que je ressemble vraiment à mon père? Suis-je un violeur en devenir?
Puis la police est arrivée et ils m’ont arrêté.
Un jour dans ma cellule, un prisonnier m’a donné un journal vieux de quelques jours. Il y avait un article sur la mort de mon père. Apparemment mon père utilisait le fric de notre famille pour des affaires pas très net. Il s’est fait prendre et devait de l’argent à tout le monde. Quand ma mère s’est tiré, il savait qu’il ne pouvait plus arriver avec son seul salaire. Il a perdu les pédales et à violé mon frère et ensuite moi. L’article disait pourtant que je n’étais pas coupable du meurtre de mon père mais qu’un certain tueur à la solde d’un des gars à qui il devait du fric. Il y avait une photo amateur du tueur sur laquelle ses traits étaient très mal définis. Mais je savais que c’était lui. Je ne sais pas pourquoi mais je le savais. Je suis resté 1 an à la prison à sécurité renforcé. Mon compagnon de cellule est devenu un bon ami. C’était un gars formidable, un artiste. Il était terriblement malade. Il avait un cancer. Avant de mourir, il a gravé sa dernière œuvre sur mon dos, il l’appelait « la complexité de l’esprit humain». Ce dessin colle parfaitement à mon vécu. Et puis il mourut. Cet homme à été mon premier vrai amour…
Je fus jugé et puis transféré à Sadismus à cause de mes nombreux meurtres. Dans l’autobus pour Sadismus j’ai appris qu’un réseau de caïd avait été démantibulé et que le tueur de Marc Curtis avait été enfermé à Sadismus. C’était mon libérateur. Depuis cet instant je cherche à le retrouver, peut-être que lui il sera capable de me donner un vrai amour paternel… Il s'apelle Carl Hyde...
Autres- J’ai toujours rêvé d’avoir un tatouage…
Dossier criminel
Crime(s) commit(s)- J’ai tué tout mes voisins de façon atroces... Matricule- 416812 Rang- Instable... Gang désiré - Personnage sur l'avatar-Toshiro Hitsugaya- Bleach!!!
Dernière édition par le Mar 16 Oct - 23:16, édité 3 fois |
| | | Alec Praens 305278 Tueur au visage d'ange
Nombre de messages : 1297 Age : 40 Localisation : Perdu dans ce monde brutal Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: David Curtis Mar 16 Oct - 7:40 | |
| - Citation :
- J’ai aussi tendance à beaucoup trop utiliser les points de suspension…
Mdr !! Moi aussi... C'est grave docteur ? Ton histoire est un peu courte, tu n'expliques rien sur cette marque qu'il a dans le dos par exemple. Et puis, il y a un truc que je ne comprends pas... Tu dis que son père viole son frère plus jeune... Alors pourquoi pour lui c'est la premières fois ? Etoffe un peu l'histoire pour la rendre un peu plus logique, mais sinon ça sera bon. Fais aussi attention, tu as tendance à passer du passé au présent sans qu'il n'y ai vraiment de raison. Y a un autre truc qui me turlupine, mais c'est plus personnel... Alec perd aussi le contrôle de lui même (pour d'autres raisons mais bon...) et s'il est à Sadismus, c'est parce qu'il a tué sous l'influence de la colère... Enfin, je vais pas te demander de changer, hein... c'est juste... une remarque... Par contre, je viens de penser à une truc... Ton perso a 16 ans, il a tué son père qui était en train de violer son frère juste après qu'il ait été lui même violé... Ca fait pas mal de circonstances atténuantes tout ça... C'est surprenant qu'il se retrouve à Sadismus... Sadismus est une prison pour des condamnés à perpetuité et des gros criminels... Je ne suis pas certaine que le crime commi pas David soit de cette ampleur... Enfin, il me faut impérativement un matricule de 6 chiffres, s'il te plait. Bonne édition. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: David Curtis Mar 16 Oct - 23:13 | |
| Salut c'est moi, David Curtis. J'ai éditer ma présentation en esperant que ça soit meilleur que la dernière fois. Je n,ai cependant pas toucher au caractère de mon personnage. C'est la base de tout son être. qu'il ressemble à ton perso me dérange peu car il va prendre un chemin complètement différent... Si tu as quoi que ce soit à me faire corriger ou à me parler poste ici ou envoi moi un MP. Merci... |
| | | Alec Praens 305278 Tueur au visage d'ange
Nombre de messages : 1297 Age : 40 Localisation : Perdu dans ce monde brutal Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: David Curtis Mer 17 Oct - 7:48 | |
| Parfait, tu seras dans la cellule... II
Bon jeu ^^
EDIT: je viens de me rendre compte que tu n'as pas signé les règles... Tu es prié de le faire avant de commencer à jouer, merci | |
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| Sujet: Re: David Curtis | |
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| | | | David Curtis | |
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