Elyn Keydron

Dossier médical

Nom & Prénom : Elyn Keydron
Surnom : Ely ou Neva (ne tentez pas de savoir pourquoi)
Sexe- Féminin
Âge- 23 ans
Traits physiques- Vous voulez savoir ? Très bien… Je suis une jeune femme magnifique, je l’assume et je le crie fort quand ça gêne les gens… Mes longs cheveux sont d’une couleur étrange, qui attirent un peu les hommes comme des aimants : une sorte de blanc-bleu (le bleu étant une teinture que j’ai fait). J’ai des origines Finlandaise, ce qui donne cette couleur très claire.
Un peu albinos la fille, vous direz en voyant ma chevelure retombant, mais en vérité, c’est tout le contraire… J’aime cette couleur provocante, marquante. On l’oublie rarement… J’ai des yeux couleur noisette, très agréables à regarder. Ils ont l’impression d’être doux, mais en vérité, ils peuvent se faire aussi tranchant que des lames. Mes lèvres sont normales, qui donnent envie de toucher, d’embrasser, rouge sang. Plutôt fines à vrai dire, un joli sourire, des dents blanches.
Mon nez est droit, fin… J’ai une silhouette très féminine, très féline accentuée par ma démarche ondulante. Ma mère (maudite soit-elle) dit qu’elle donne l’impression que je suis légère… J’ai des jambes que les tops models m’envieraient, je n’exagère pas, un buste parfait et une taille de guêpe. Je porte souvent des habits masculins, je me contente d’une paire de basket ou j’ai de la place, d’un jeans, d’un boxer et d’un T-shirt a bretelles. Des marcels souvent. Bon, bien sur il m’arrive de m’habiller en femme. Etrangement, dans mes robes moulantes, j’attire beaucoup plus, on vient plus spontanément me voir…
Mes traits sont fins et délicats. Vous avez l’impression de pouvoir me briser en une poignée de main n’est ce pas ? Eh bien détrompez-vous.
Mon visage ovale est très doux, agréable à regarder, surtout quand je dors. Mais la plupart du temps, il à une expression indescriptible, impossible de savoir ce que je ressens. Une carapace.
J’ai dans la nuque un tatouage arabe signifiant « Force et Courage », une petite plaisanterie de ma sœur. Il est en couleur rouge sang avec des reflets noirs. Impressionnant, chargé de souvenir. Comme une cicatrice pour ne pas oublier.
On dit que je suis parfaite… mais non, je suis tournée vers le mal.

Taille- 1 m 71
Poids- 49 kilos
Maladie ou handicap physique- Aucun
Autres- Aucun

Dossier psychologique

Qualités- J’ai une capacité d’adaptation qui a toujours bluffé mes compagnons, voir mes compagnes… On me change d’environnement en l’espace de cinq minutes ? Aucun problème, deux minutes plus tard j’observe, je comprends, de devine, je conclue. J’ai une sorte de ruse qui me permet de survivre, elle m’a sauvé bien des fois, elle me sauvera encore, j’en ai la persuasion. Je suis capable de survivre dans des conditions assez peu banales, je peux manquer de nourriture durant quatre jours, je serai toujours dans la meilleure des formes, enfin, en apparence. Je sais me contenter de peu, vivre dans un carton serait pour moi un jeu d’enfant.
J’ai l’esprit de sacrifice, mais seulement dans mes intérêts évidement. Les autres se débrouillent, ils me laissent dans la boue, je les laisse dans leur merde.
Quand j’ai un travail à faire, je le fais jusqu’au bout, laissant ce qui vient après moi dans le chaos le plus total. Je sais mentir. Je manie la parole comme une couturière manie son aiguille. Je sais quel ton prendre, je sais quelle mine avoir, que dire, où, quand et comment. Mentir est une sorte de… de jeu que je manie, je manipule tout le monde, le plus simplement possible, mais de la façon la plus efficace.
Ah oui, autre chose ! Je vis dans l’obscurité, je n’aime pas vraiment la lumière, je ne la fuis pas, je ne la cherche pas non plus. Tous mes actes je les fais dans le noir, ce qui m’a doté d’une excellente vue. Concrètement, j’ai tout mes sens très aiguisés, tout le temps en alerte, quoi qu’il arrive.
Mon instinct de survie me domine, je serai capable de tout et n’importe quoi pour garder ma liberté et mon indépendance. Je ne me plains qu’en de rares occasions.

Défauts- Mes défauts ? Vous en auriez pour des heures à les lire, je suis la perfection même vu de l’extérieure, mais vu de l’intérieur, je suis la pourriture même, je suis violence, haine, vengeance et désir de sang, tout ça à la fois… Impressionnant ? Non, juste naturel chez moi. Je suis poussée à détruire ce qui me semble beau, je me suis détruite moi-même par le passé…
Je suis en générale animée par la haine, la colère. Je me mets en colère comme une brindille s’enflamme à côté d’une flamme, très facilement. Je suis impulsive, je n’attends rien des gens, tout doit venir de moi. Je ne fais aucune confiance aux gens… Et il y en a tant d’autres… Je ne suis pas égoïste, je ne suis pas généreuse, je donne je prends quelque chose en échange… Je prends généralement beaucoup plus que je ne prends, mais sans sentir d’égoïsme.
Et… ah oui, on dit que je suis trop sportive, que je ne mange pas assez. Sortez donc d’une anorexie dans laquelle vous étiez plongée depuis 5 ans… Vous verrez que certains réflexes reviennent et que je sais me contenter de peu… Mais je remonte doucement la pente. La maladie m’a bousillé la vie, et à ma famille aussi, mais ce n’est pas un problème. Je n’ai aucun esprit familial. Je ne montre jamais mes problèmes quand j’en ai. Je les garde pour moi. Je ne fais confiance en personne, personne ne me fait confiance.

Aime- J’aime les sauvages, les gens impulsifs, les endroits malsains que les gens « civilisés » évitent. J’adore l’odeur des chiens sauvages, j’aime l’insalubrité et j’admire les gens qui sont dans la débauche totale… Je voue une admiration totale aux flingues… Ils ont un pouvoir de vie ou de mort impressionnant, j’admire le sentiment glacial que l’on ressent quand on en prend un dans ses mains. C’est un peu comme si on sentait la mort. J’aime l’odeur de la poudre, d’une balle fraîchement tirée.
Le chaos est mon dieu, la mort mon amie ; je marche à côté d’elle tout les jours, je joue avec elle un jeu de cache-cache passionnant. Elle m’approche, aspire mon souffle et je la repousse d’une pichenette pour courir en attendant qu’elle me retrouve, riant aux éclats. La vie est un jeu, la mort ma compagne, mon adversaire, mon amant, mon ennemie, ma partenaire, mon rival, tout à la fois.
J’adore aussi me battre, redevenir une sauvage, sentir le sang de mon adversaire couler sur mon poing, salir mes cheveux. J’adore ressentir le risque que j’encoure si je fais un faux pas… Mais surtout, j’adore ce regard des gens qui voient qu’ils n’en sortiront pas indemnes…

Bien sur, bien sur, j’aime les hommes, j’aime cette violence qu’il y a en eux. J’aime cette façon de régler leurs soucis. Un problème ? Il y a deux solutions : soit comme les filles on tourne autour du pot, on ignore, ou on fait semblant d’aimer pour mieux te détruire par derrière, ou, comme les hommes que j’aime tant, on va voir l’emmerdeur, le terme est le plus convenable pour ce que j’essaye de dire, et on lui file un bon coup de poing. Au mieux tout finit en bataille générale. J’aime toute cette violence qui anime le monde, que tout le monde qualifie de « sale », d’« impure ». Tout à fait à côté, j’adore cette musique qui écorche les oreilles, le métal, le rock, hard rock et tout les alternatifs…
J’aime l’odeur et le bruit du sang (d’accord il n’y a pas de bruit a proprement parler, mais quand une goutte de sang s’éclate au sol, le bruit qui en résulte est délicieux), de la poudre, des larmes et de la pluie, tout ce qui rends ce monde si triste.
J’aime ma féminité, je l’assume parfaitement. J’aime le fait d’être femme. On surprend plus… Et c’est tant mieux pour moi, j’adore les surprises.
J’adore les hommes, forts, étranges, mystérieux… En vérité, peu de chose me uffit chez un homme… Et les hommes m’apprécient beaucoup… Mais ils ne l’assument pas, sinon ils plaquerait toute leur vie parfaite et partiraient
avec toi. Bien sur, si c’était le cas, je m’en irais immédiatement, j’aime
changer aussi…
J’aime l’odeur des draps quand je quitte le lit, j’aime regarder l’homme qui se tient en face de moi, deviner ce qu’il ressent, ce qu’il veut…

N'aime pas- Je n’aime pas non plus ceux qui se croient purs, je prends un malin plaisir à les détourner de cette route qu’ils appellent « le droit chemin ». Je hais les musées, leurs odeurs anciennes, ces œuvres que l’on dit magnifiques, géniales, qui me rappellent tout ce que je hais.
Je n’aime pas les hommes réfléchis, il faut qu’ils soient impulsifs, sauvages… Je sais, j’ai un esprit complètement pervers, tourné vers le chaos et le satanisme d’après mes foutus parents.
Le soleil me répugne, sa beauté que les gens cherchent, les couchers de soleil surtout…
Je n’aime pas que l’on ait un pouvoir sur moi… Les hommes par exemple, je n’aime pas le simple fait de les aimer, c’est comme si j’étais enchaînée à eux. Le pire c’est quand ils le savent. Je déteste les hommes fragiles, mignons… Eh oui, c’est étrange, j’aime les durs qui s’accrochent, le manque de virilité chez les représentant du sexe opposé me déprime a vrai dire.

Il y a aussi autre chose que je n’aime pas, c’est être sale, malpropre… L’hygiène est importante quand même…

Je n’aime pas… ahhh… je n’aime pas me faire tromper, dans tout les sens du terme. C’est moi qui trahis, qui surprends en général. Je n’aime pas me faire trop remarquer, la discrétion est un art que je maîtrise maintenant. Je n’aime pas les ordres… enfin, ça dépend lesquels et de qui ça vient…

Comportement avec les gens- Je suis très réservée, je n’aime pas parler de moi, je cache mon passé que je porte avec honte, colère, haine et tristesse à la fois… Je ne montre jamais mes sentiments, je trompe par ma mine toujours impénétrable. Si quelqu’un sait ce que je ressens, c’est juste avant que je ne le tue… Je parle peu, je dis ce qui est utile, je mens comme je respire… Personne n’a à connaître mes sentiments, mes envies, ça ne regarde que moi. Si vraiment quelqu’un me connaît, c’est qu’il m’a presque tuée. Je suis forte, je ne compte que sur moi-même. Une des causes de mon « célibat ».
Je suis très souvent seule, je ne ressent pas le manque de compagnie, sauf dans mon lit… Il y a des moments ou n’importe qui me suffirait.

Maladie ou handicap mental- On me reproche une haine à ma famille, une haine dévastatrice et une envie de semer le chaos partout ou je passe. Tendance à la destruction et au satanisme. Je ne crois pas à Satan, je suis juste tournée vers le mal et ce que tout le monde refoule et rends tabou.

Valeurs- La survie et rien d’autre. Sauf peut-être les nuits animées.

Tics- Dès que je ne fais rien, je prends un peu de mon sang (j’ai toujours une égratignure) et j’inscris mon tatouage sur mon mur.

Passé- Mon passé ? Vous n’avez pas à le connaître. Sachez juste que j’ai deux parents que je déteste. J’ai une sœur. Enfin, j’avais… elle est morte peu de temps après m’avoir fait mon tatouage… C’était une artiste hors pair, une fille géniale, encore plus belle que moi… Ma jumelle… Mon âme sœur jusqu’à ce que je rencontre Dereck… Je veux bien parler de lui… C’est en partie de sa faute si je suis ici… Mais il ne le voulait pas… Enfin, revenons en à l’essentiel. J’ai rencontré Dereck à l’âge de 15 ans, dans mon lycée. A cette époque, je fumais comme un pompier, je touchais à toutes sortes de drogues, je fuguais tout le temps, j’étais en chagrin d’amour terrible… Et il est arrivé… Garçon manqué, cheveux brun, yeux bruns, beau ténébreux… Macho comme je les aime… Je me battais avec Mathias, un abruti qui me causait des ennuis. Cet enfoiré avait presque réussit à me faire tomber dans les pommes ! C’est Dereck qui est arrivé… Il ne supportait pas qu’un « ange » comme moi se fasse démolir par un con… Rapidement nous avons noué des liens assez extraordinaires. Il avait 17 ans, passait son CAP mécanique… Dès qu’il s’est acheté une baraque, je me suis barréeavec lui… Hop nouvelle identité, Elyn Keydron… Je préférais mon premier nom, mais je n’avais pas le choix. Sinon mes vieux me retrouvaient et m’enverrait dans une foutue maison de redressement… Donc on a vécu quatre ans ensemble, magnifiques… J’étais anorexique, mais je remontais doucement la pente… Et pffffft ! Un jour il se fait arrêter pour trafic de drogues dures… Le choc. C’est ce jour-là que mon désir immodéré de vengeance est né.
J’ai enquêté des mois dans la rue pour découvrir qui avait trahi Dereck… Il s’en était sorti avec 15 ans de taule… Et je me retrouvais seule dans la rue… Je voulais le venger. On avait trahi ma raison de vivre. C’était il y a un mois… Il y a quelques jours j’ai découvert qui avait trahi mon mec… Il allait mourir… Le pire, c’était que je le connaissais. C’était lui qui m’avait fait plonger dans l’anorexie… Grâce à Dereck j’ai commencé à remonter la pente, mais c’était dur… Je le connaissais. Michael Peterson, racaille de mon lycée, fouteur de merde. J’étais raide dingue de lui, il se foutait de moi et m’a fait plonger dans la drogue, l’anorexie et les joints… Grâce à quelques… « rapports » avec des amis flics, j’ai trouvé son adresse, et la nuit suivante, j’étais dans son lit, sentant ses bras contre ma peau… J’en avais rêvé des mois à l’âge de 15 ans, aujourd’hui j’imagine que c’est Dereck qui me serrait contre lui.
Je me suis levée, milieu de la nuit. J’ai prit mon jeans, je l’ai mit. J’ai attaché mes cheveux comme je le fais tout le temps, et j’ai attendu qu’il se réveille… Deux heures plus tard, il ouvrait les yeux. Il me vit, le flingue surtout. Il comprit que quelque chose d’anormal se passait…

Michael : - Ely… Qu’est ce que tu fous ? C’est quoi ce flingue ? Allez reviens dans mon lit bébé…

Moi : - Ne m’appelle plus jamais bébé. (je lui ai pointé le canon en direction de la tempe, je voyais la sueur perler… Comment ai-je pu aimer une saloperie comme lui ?) Tu vas fermer ta grande gueule et m’écouter…Tu connais Dereck je crois… Arrêté y a un mois pour rafic… En vérité il dirigeait carrément un cartel de drogues… Alors t’es bien loin de la réalité… C’était mon copain et les flics viennent l’arrêter... Très agréable : t’es dans les bras de celui que t’aime et des enfoirés de flics viennent t’arracher au lit, se foutent de toi ouvertement…

Il avait peur… il mourrait de peur et d’envie de savoir qui j’étais vraiment, je le voyais dans son regard : la peur était facile à repérer…

Michael : - Mais qui t’es vraiment bordel ? Tu vas me tuer…

Moi : (Je m’approche de son oreille tout doucement, et je murmure mon vrai prénom… Il sent un frisson se glisser dans son dos.) Je vais te tuer oui… Mais avant je vais te dire quelque chose… Tu te souviens de Marine, la belle pétasse avec qui t’es sorti… Celle qui m’a fait plonger dans l’anorexie ? Je l’ai tué, il y a quelques heures. Dans son lit. C’était chou, il y avait son mari à côté… Il n’a rien fait… Il a juste regardé en faisant « oui » de la tête, en préparant ses valises…

Michael : - Quoi ? Tu l’as tuée ? Et c’est quoi cette histoire d’anorexie ?

Moi : (je rigole d’un rire qui le foudroie sur place… J’ai l’air d’un démon, je le sais… Le prénom que Dereck me donnait me revint en tête « l’Ange Noir »… Le démon qui tue les gens dans le noir, silencieusement, de la pire façon qui soit… Oui, c’est moi… « l’ange noir » se nomme Elyn, et dans une autre vie… un autre prénom) Je suis tombée dans l’anorexie pauvre idiot… Désespérée… Tu ne m’aimais pas… Mais Dereck est arrivé… Un peu mon sauveur tu vois… J’ai tout arrêté grâce à lui : la drogue, les joints… Je commençais même à sortir de ma maladie mentale… Et toi tu as tout foutu en l’air.

J’ai murmuré ces derniers motscomme un démon le ferait et je lui ai tiré une balle entre les deux yeux. Avec le sang qui coulait, j’ai écrit sur le mur « Force et courage » en arabe. Mon tatouage. M’en foutais si les flics me retrouvaient grâce au dessin, ils me connaissaient bien vu le nombre de visites officielles et officieuses que je faisait…

Une heure plus tard, les flics arrivent. Je me souviens de coup de poing, d’un poignard que je tiens et que je plante dans le mollet d’un flic… Je me souviens aussi de la lueur perverse qui surgit dans ses yeux quand il vit que j’étais coincée.

Autres- Fascination immodérée pour les flammes et les fusils.

Dossier criminel

Crime(s) commit (ts)- Meurtres sur les personnes de Michael Peterson et de Marine Perret. Agression d’un policier-
Matricule- 215432
Rang- Ange Noir
No. de cellule- cellule U
Gang désiré – aucun
Personnage sur l'avatar- aucune idée

Très bien ^^ Tu seras dans la cellule ... U.

Bon jeu ^^

Invité

Ya pas un autre membre qui a cet avatar ?

Je sais pas... si il y en a un, mettez moi au courant que je change l'avatar et la description

Invité

Bienvenue Elyn

!