Une discution comme une autre [PV avec Hakina]

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[HRP: nous sommes encore dans l'ascenseur allant à ma chambre cependant je post déjà ici.]

Elle avait de bien étranges manières, je devrais malgré tout faire attention, j'ai déjà entendu parler de "femme fatale". En faisait-elle parti, mon père n'était plus là pour me proteger là ni surveiller avec qui je parle etc...

On s'était ainsi enfoncé dans la prison, elle était un peu arrogante tu vois, mais ça fait son charme... Elle avait répondu à la question de manière franche, ce qui me laissais me poser la question: dans quoi je me foutais encore?! Ca me ferais ch**r que les problèmes commence, surtout avec une si belle femme...

Durant le voyage elle n'arrêta de me frôler, ce qui ne me dérange pas tu vois. On s'enfonca alors dans l'ascenseur menant à ma chambre. Là, elle s'appuya contre la parois, à quelque centimètres de moi, elle était bien sur d'elle, je devrait la calmer, elle pouvait être dangereuse vu comment elle s'est défendue des autres gardes, je sentais ses yeux me dévisager, d'un air doux... je me mis alors moi aussi à la regarder, avec douceur, elle était belle, très belle, douce aussi... Normalement, j'ferais pas ça tu vois, ça s'fais pas c'est tout mais elle se dérangeait pas alors... Parrain si tu me voyais... Tu vois quoi...

"Je t'emmène dans un endroit où nous pourrons avoir une conversation tranquilement ma belle."

Pendant que je répondais, elle avait baissé les yeux et regardé mon arme, ça me rappelais qu'elle était prisonnière, condamnée à vivre ici et qu'elle avait commit un crime affreux, bien sûr, j'avais peut-être même commit pire cependant je pouvais me le permettre, mon père veillait...

Elle parla tout à coup de mon "calibre" le double sens était certain, je me contentais de répondre un sourrire aux lèvres:

"Oui ma très chère, un Glock, tout neuf regarde, tu vois?"

Je joignis le geste à la parole pendant qu'elle commenca une autre phrase,
je détachais la sécurité de mon Glock et le pointa vers son cou,
j'étais maintenant limite à toucher ses lèvres avec les miennes:

"Joue pas à la plus maline avec moi, je te respecte mais t'ammuse pas avec
moi, si je me rend compte que tu me roule, ça se passera mal pour
toi... Personne ne m'a jamais enc***r dans ma vie, alors commence pas
ou la partie est finie. Tu sais ma belle, t'es vraiment très belle tu
vois, je voudrais pas que ça finisse mal, tu me plait tu vois ça serait bête, vraiment."

Je redescendit mon arme, la remit dans le fourreau et mis la securité, mes
lèvres était maintenant contre les siennes, attendant de sentir sa
réaction...

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Au moment où j'entendis la phrase "je te respecte", je ne pus m'empêcher de plonger mon regard dans le sien, comme pour le défier de retirer ce qu'il venait de dire... Etrangement, je me sentais proche de lui, et c'est avec un sourire au lèvres que je me dis qu'il possédait la même aura prédatrice que moi. Lui semblait avoir plus de chances, cependant. Doucement, il sortit son arme de son fourreau et la pointa contre mon cou.

Et là, quelque chose, ma folie sans doute, me fit pousser un soupir de plaisir... Oh oui, il me plaisait énormément celui-là, de plus en plus... Trop même. Et il serait dommage d'abîmer un jouet pareil, surtout qu'il pouvait rendre une partie de ma vie entre ces murs bien plus amusante... Non pas qu'il soit le seul parti ici (connaissant la réputation de la prison, je suis sûre que non), mais il n'empêche que je l'avais dans ma ligne de mire et qu'il avait intérêt à ne pas louper le coche...

Le regard brillant d'une démence passionnée qui ne regardait que moi, je le regardais mettre l'arme à sa place avant de remettre la sécurité.. Un accident est si vite arrivé...

Ses lèvres frôlaient à présent les miennes, et mon coeur battait plus vite... Non pas par effet d'un quelconque amour, non, ça faisait longtemps que j'avais dépassé ce stade... Non, plus à cause de l'excitation croissante qui ne cessait de faire voleter des papillons dans mon bas-ventre. Je repris l'une des ses mains et la posa sur mon corps, plus haut que mes hanches, là où la gaine de ma tenue emprisonnait une poitrine qui ne demandait qu'à être prise par ses mains puissantes...

Je frissonnais d'excitation, et c'est avec douceur (ô étonnement!) que je laissa mes lèvres entrer en contact avec les siennes, timidement d'abord, puis de manière plus conquérante, ma langue caressant ses lèvres closent, suppliant la permission de passer cette barrière pour aller explorer sa bouche...

L'attirant plus proche de moi par le col de sa chemise, légèrement gênée par les fers, je l'encourageais à continuer ce que j'avais commencé...

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Elle dirigeait mes mains vers sa poitrine, suite à ce geste je lui glissais à l'oreil dans un soupir d'exitation:

"Entreprenante hein! tu vois..."

Je pris alors fermement ses seins et commenca à les caresser fermement, cette femme ne demandait pas de la douceur et ça, je l'avais compris. Sa langue caressait mes lèvres, que j'ouvris, ainsi, par ce geste, j'avais scellé mon futur... Je m'adonnais alors à elle. L'exitation, que j'avais contrôler jusque là montait sans que je n'y puisse rien.

Elle était tellement douce, et forte en même temps, ferme et sûr d'elle. Elle semblait si fragile mais si assurante. Je plongeais mes yeux en elle et essayait d'en lire ce qu'elle attendait de moi. Que pouvait-elle bien vouloir?...

Tout à coup, un son bref me rammena à la réalité, j'avais été coupé du temps le temps ou j'étais avec elle, je décollais alors ma bouche à contre coeur et lâchais ses seins devnus plus ferme à cause de l'exitation. je me décollais d'elle et portait la main à ma ceinture, sur ma matraque. Les portes de l'ascenseurs s'ouvrirent alors, je relâchais mon attention et regarda de plus belle la jolie femme avec qui j'avais fais connaissance.

J'avais la chambre 11. J'avais vérifié j'étais seul dans la chambre et personne dans le couloir, il n'allait pas y avoir de problème. Je la menait donc dans ma chambre, j'avais ma main sur sa hanche qui imprégnait un si joli mouvement quand elle marchait, elle était sublime, un ange, vraiment ce ce dont elle avait l'air en tout cas... Pourvu qu'elle ne joue pas avec lui, il fallait encore se méfier une dernière fois...

Nous voila alors arrivé dans ma chambre, je refermais alors la porte derrière moi et me retourna pour annoncer:

"Je ne me suis point annoncé encore ma belle, je me nomme Stefano, de l'illustre famille Giovanni. Et toi c'est? Je suis désolé de faire ça mais..."

Je sortis à nouveau mon arme et la poussa sur mon lit, elle avait les mains entravées par ses menottes et ne pouvait réagire dans l'immédiat je rajoutai donc:

"T'a pas interêt à jouer avec moi mon ange sinon ça va vraiment mal se passer, écoute, tu vois tu es exquise, tu as de la chance mais n'en profite pas tu aurais beaucoup à perdre à ce jeux avec moi tu vois... Alors, pourquoi fais-tu ça, pour me mettre dans ta poche ou parce que tu en as envie? je n'aime pas trop les situation trouble alors je te demande ça et c'est regler il n'y aura pas de remous, sinon...Tu vois."

Je rangeais mon pistolet, pour la derniere fois je l'esperais, et enchaîna:

"Alors, à qui ai-je l'honneur ma belle?"

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Lorsqu'il me jetta sur le lit, je n'avais qu'une seule envie: attirer à moi ce corps de prédateur et faire avec toutes des choses dont énormément de personnes seraient rouge rien qu'à entendre. Mais, bien que cela m'agaçait car cela retardait mes plans, je le comprenais très bien... Aussi me suis-je assise avant même de lui laisser le temps de me surmonter en me bloquant dans le lit (chose qui ne m'aurait pas déplu, soit dit en passant). Doucement, je répondis à sa question avec toute la franchise qu'il m'était possible d'avoir...

"Je ne fais pas ça pour "te mettre dans ma poche". Si je voulais soudoyer des gardiens, tu penses pas que je prendrais l'un des faiblards de tout à l'heure. Je suis ici parce que j'en ai envie, maintenant... Parce que j'ai l'impression, au fond de moi, que toi et moi ne sommes pas si différent que ça.. Seulement maintenant... il faut savoir si TOI, tu en as envie.. ou alors comptes-tu parler et passer ton temps à me menacer? Tu as dû remarquer que cela ne me surprenait pas, non??"

Elle reprit son souffle avant de continuer, d'une seule traite, encore... Elle croisa les jambes (hj: façon basic instinct xD) avant de reprendre:

"Qui je suis? Certes, je veux bien te le dire. Je suis Hakina Redrum... Tadaaam, rien d'exceptionnel, hein? Enfin, en apparence.."

Doucement, je me recoucha sur ce lit douillet, quoi que clairement pénitenciaire et je profita de mes liens pour mettre mes bras par dessus ma tête, me tenant à la tête de lit, donnant réellement l'impression de me laisser faire... Cette position laissa clairement voir ma silhouette, et permit de découvrir un peu mes jambes. En regardant bien, on pouvait apercevoir un petit string noir...
Puis, je tendis une jambe et je commençais à doucement faire des caresses à l'entrejambe de Stefano, juste assez pour la sentir visiblement réagir à ces soins. Puis, je soupira et fit mine de me relever pour partir, espérant de tout mon être qu'il me désire assez pour m'arrêter et continuer ce qui avait si bien commencé à mon goût...

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La jeune fille semblait aprecier jouer avec moi, aller loin mais pas trop. Elle lui avait dis ce pourquoi elle était là, je l'avait regardé dans ses yeux et avait senti le désire en elle, elle n'était pas là pour essayer d'avoir quelque chose. Ces phrases eurent pour effet de me détendre et d'apprécier vraiment le moment, les courbes avantageuses de cette jeune femme, une des plus belle que j'avais vu, assurément.

Je la regardait intensémment, elle devait avoir tellement de secret... Pour être ici... Elle lui donna son nom je répondis alors:

"Rien d'exeptionnel? tu rigole ma belle, tu es sublime et ça, c'est exceptionnel tu vois!"

Elle se releva de son lit et fit mine de sortir, à coup sur pour savoir si j'avais envie d'elle, ah les femme... Comme je les aime, oui c'est ma passion les femmes, c'est tellement fragile mais fort en même temps.

Elle se dirigeait donc vers la porte j'entravais alors son chemin de tout mon corps. Je l'attrapais alors, mis mes mains sur ses hanches, même ses fesse plutot et l'atirais vers moi et la gratifia d'un baiser dont elle devrait se souvenir, je la poussais alors contre un mur en continuant de l'embrasser, le choc ne fut pas fort mais elle dut le sentir. j'avais remarqué qu'elle désirait un peu de fermeté, j'allais lui en donner si c'est ce dont elle a envie. Le désire montait en moi et je ne cherchait en aucun cas à la cacher, j'avais maintenant une main sur ses seins, si beau, si fermes, et une autre sur ses fesse... Elle était vraiment exceptionnel, d'une beauté rare... J'éspère qu'elle comprenait que ce que je faisais était empreint de respect malgré ma fermeté, cette femme me plaisait beaucoup, vraiment et je voulais avoir une bonne relation avec elle pas juste maintenant... J'éspère qu'elle l'entendait aussi comme ça...

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Il me prit par les fesses et m'embrassa d'une manière furieuse qui avait tout pour me plaire... bien que s'il avait pu le faire sans me coller au mur, ça aurait été parfait. Je ressentais bien vite la brève douleur qui m'assaillit un instant, mais surtout ses mains qui se posaient sur mes hanches, avant de descendre sur mes fesses pour les empoigner fermement. Seigneur, que j'adorais ces hommes... Et celui là n'allait sûrement pas finir à mon tableau de chasse... non non non. C'était trop... particulier pour être réduit à cela.

Lorsqu'il me prit aux fesses, je ne put m'empêcher d'enlacer mes jambes autour de sa taille, passant une main dans ses cheveux, laissant tomber un chapeau, tandis que l'autre main descendait entre nos deux corps soudés afin de voir s'il était nécessaire de "forcer" un peu les choses...

Ma main glissa doucement dans son pantalon, trouvant bien vite ce que je cherchais.. J'appréciais le fait que le sexe était déjà bien droit dans ma paume, mais il y avait certainement moyen d'y avoir mieux...

Relâchant mon emprise autour de sa taille, je remit le pieds au sol et ne put m'empêcher un instant de descendre un peu de force sa tête vers mes seins, tandis que ma main commençait un massage que je me ferais un plaisir de continuer quelques minutes plus tard...

C'est ainsi que, pantelante, excitée à un point incroyable (ce qui ne m'arrivait jamais aussi vite, je coulais déjà comme une fontaine alors qu'il n'avait fait que me toucher), je me mit à genoux face à lui et sortit son "calibre" comme je l'avais si innocemment appellé plus tôt et le prit en main pour un massage en bonne et due forme, liberé de la contrainte d'un vêtement. Puis, remontant mon regard vers celui de Stefano, j'approchais le sexe de ma bouche, que j'ouvris doucement d'un air joueur, sans pour autant entamer la gaterie qui se profilait... J'attendais un mouvement brusque de Stefano, de son bassin contre moi ou de sa main sur ma tête... C'était tout simple, je voulais qu'il me montre son impatience à ce que je goûte... à ce qu'il goûte...

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Les choses allaient de bon train et j'aimais ça, elle allait vite et j'aimais aussi ça, elle savait ce qu'elle voulait elle était décidée. Je n'en pouvais plus, le fait de la voir si excitée m'excitait à mon tour et le désire montait en même temps. On continua quelque instants à s'embrasser avec fougue, je déscendit aussi la tête vers ses seins, les débarassa de ce qui les enfermaient, les libéra même. Là, elle prit le contrôle de la situation, elle se mit a genoux et prit mon "calibre" comme elle aimait l'appeler.

Elle était a genoux, je ne pouvais me retenir je mis une main derrière sa tête et la poussa en direction de mon sexe pour une gaterie. Les choses commençaient à avoir une bonne tournure, elle savait s'y prendre, ça oui. je commencais à soupirer de plaisir, que je trouvais que ça avait assez durer, je la fis se relever, la coucha sur mon lit. Je mis une jambe de chaque coté d'elle et lècha ses tétons à nouveau, passant de ses tétons à sa bouche, je commençais alors à approcher son entre-jambe. Je la caressais doucement à travers son string, je sentais qu'elle voulait, Elle coulait déjà beaucoup, comme rarement j'avais vu, je lui glissai alors à l'oreil:

"Alors excitée? t'en veu plus?"

Sans lui laisser le temps de répondre je descendit, fit glisser son string et approcha ma langue de sa partie intime... Je m'attendais maintenant à une réaction de sa part...

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C'est avec délice que je ressentis la pression de sa main sur ma tête, m'encourageant à commencer. Alors je m'y mit de bon coeur, comme je savais le faire, je savais que ça lui plairait... Même si je ne pouvais m'empêcher d'espérer que ça soit délicieux pour lui. Après tout, ça changeait d'un homme à l'autre... Alors j'empoignais délicatement ce membre qu'il me tardait de goûter et le mit en bouche.

Je lui fit la totale... J'englobais goulûment ce membre incroyable, je massais les bourses qui contenait cette semence qui, ce soir, m'appartenait.. Je léchais, j'aspirait, je lui faisais une des meilleures fellations qu'il m'était possible de prodiguer à un homme... Et je fut récompensée par la durceur croissante du membre... Bientôt, lorsque j'espérais pouvoir bénéficier d'une première délivrance, il me releva bientôt et me jeta doucement sur son lit...

Puis, il m'enjamba. Je ne pus m'empêcher un gémissement de plaisir à l'idée d'être collée entre ce lit et lui. Durant un instant, je l'observais. Il avait l'air si massif vu de bas, c'était excitant à souhait... Passant mes mains sur son torse, je fis tomber sa chemise, avant de passer mes mains derrière son cou et de l'attirer à moi pour l'embrasser à nouveau. Mais bientôt, ma bouche ne sembla plus lui suffire alors il me prit à la poitrine... Rien qu'à ça, j'ai eu l'impression d'atteindre un premier climax. C'était très intense. Pendant qu'il me mordillait, il caressa mon clito avec l'un de ses doigts et lorsqu'il s'aperçut à quel point j'étais prête, il me demanda, presque stupidement, si j'en voulais plus... Puis sa tête disparut de mon champs de vision.

C'est alors en me cabrant de plaisir que je ressentis sa langue contre mon intimité et je gémis

"Ouiiii... Plus.. Toujours" dis-je dans un souffle, avant d'appuyer sur sa tête pour faire entrer son muscle bucale dans mon intimité...

Sentir ce membre chaud et humide en moi ne fit que faire mon coeur plus rapidement. Le laissant un instant la tête entre mes jambes, je soulevais ces dernières pour les passer par ses épaules et les poser sur son dos, garantissant ainsi un maximum de place pour lui...

Silencieusement, j'espèrait que les choses allait bientôt passer à la vitesse supérieure, mais au vu du pied que je prenais, je me demandais ce qu'allait être la suite...

Invité

Ainsi elle en voulait encore plus. Elle faisait plus que de m'encourager à jouer avec ma langue sur son clytho et toute la longueure de ses lèvres. Je n'en avais pas encore du tout finis, ça ne faisait que commencer. Lorsque je pensais qu'elle avait suffisamment attendu je me releva et entrepris de la penetrée. J'approcha mon membres durcit à m'en faire mal de son entre jambe. J'avais maintenant le choix, la douceur ou pas?...

Je ne choisis pas la douceure, je rentrai avec violence mais avec passion en elle, j'avais tellement envie d'elle je n'en pouvais plus d'attendre. Je lui donnai alors tout ce que j'avais et usais de tout mon savoir au niveau de plaisir féminin. J'alternais les coup rapide et les coups lents et longs. J'y méttais tout mon désire pour elle, elle était si belle dans le plaisir. A ce moment c'était une des rare fois de ma vie ou le plaisir de ma partenaire importait plus que le mien, c'était si rare pour moi, si nouveau... Je voyais l'acte sous un autre angle maintenant. Elle était si parfaite...

Au bout de quelques minutes j'entrepris de la mettre au dessus, ainsi elle pourrait décider d'elle-même du rythme. Je me mit alors sur le dos sans sortir mon "calibre" d'elle et la laissait alors faire.

Je n'en avais pas besoin mais lui glissa lors du changement de posititon:

"Fais toi plaisir ma chérie."

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Je dût me retenir pour ne pas crier de plaisir lorsque ce grand membre me "força". Certes, j'étais prête, mais pas à un tel sexe. De belle taille, je me demandais s'il n'avait pas encore augmenté de diamètre pendant qu'il me faisait le cuni. Quoiqu'il en soit, la douleur fut délicieuse et je m'en mordit les lèvres. J'aime les hommes qui savent si prendre, et celui-ci avait à mon avis un niveau de maître... Je n'en revenais pas à ma chance d'être tombée sur lui dès mon arrivée ici...

Pendant un instant, j'hésitait à me cantonner à des relations avec lui uniquement, mais d'un autre côté, je n'allais pas être 24h/24 en sa compagnie non plus, alors j'hésitais... pour un bref instant... Parce qu'il prenait un malin plaisir à jouer avec mes nerfs... Une fois lentement, une autre rapidement, les coups se succèdaient à un rythme qu'il se plaisait à rendre excitant. Et ça marchait...

Bientôt, je n'eus plus de soucis de crier, je me disais que je n'étais pas la première prisonnière à se faire baiser par un gardien, et puis, dans une prison, ce n'est pas comme si les cris devaient être inhabituels... Surtout dans CETTE prison.

En plein acte, il se mit à bouger étrangement, mais il ne me fallut pas longtemps pour comprendre son intention... Je l'y aida donc, avant de l'enjamber à nouveau. Lorsqu'il me dit de me faire plaisir, je faillis répondre que j'étais en plein dedans, mais les mots et le souffle me manquait...

Ce bref instant d'inactivité m'avait frustrée, aussi repris-je nos ébats à un rythme rapide, mais soutenu, prenant plaisir à entendre mes fesses claquer sur son bassin...

Alors que mes mains étaient d'abord posée sur son torse, m'aidant pour mes "petits sauts" sur son membre, l'une d'elles alla emprisonner celle de Stefano avant de la porter à ma bouche. Après avoir brièvement embrasser la paume, j'humectais doucement un de ses doigts, sensuellement, le regard noir de désir insatisfait encore. Puis, je pris sa main et la déposait sur ma croupe, toujours en mouvement et d'un regard lui demanda de me toucher à cet endroit... J'allais le lui demander verbalement mais un premier spasme de jouissance s'empara de moi, m'arrachant un cri un plaisir...

Je voulais le sentir, en moi, sur moi, partout...

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Alors qu'un premier spasme de plaisir la prenait, elle avait leché mon doigt, je savais ce qu'elle voulait, s'était vraiment une vicieuse hein... Son spasme l'ayant fait s'arreter de faire des mouvement sur mon sexe, j'en profitais pour donner un coup, un seul mais jusqu'au fond, de toute la longueure de mon membre, le plus loin que je pouvais et, en même temps, inséra mon doigt dans son anus. Je crois que c'est ce qu'elle voulait, de tout de manière, je sais que bien peu de femme n'aime pas ça, elles ne veulent juste pa l'avouer.

Je continuais ce traitement un petit moment, elle s'était complétemement arrêtée, elle criait carrément maintenant, je prenais alors un moment à nouveau pour la contempler, elle était tellement belle je ne m'en lassais pas. Je contemplais ses seins, ils semblaient dur à lui en faire mal, les tétons érigés. Je regardais et appréciais la galbe de ses courbes, elle était belle, et tellemen douce en même temps avec un caractère si determiné.

Non, je m'arretais alors de penser ainsi, j'étais tombé une fois amoureux dans ma vie et ça avait commencé de la même manière. Moi, Stefano, le mangeur de femme ne pouvait pas tomber AMOUREUX d'une femme qu'il venait de rencontrer, dans une prison qui plus est! non ce n'est pas possible.

Un cri me ramena à la réalité, c'était celui de ma douce, un de plus, plus puissant que les autres, j'avais continuer a donner de long coup et a faire bouger mon doigt en elle, bientot, un deuxiemme le rejoignit...

Invité

Je souriais en posant sa main sur mes fesses, et je m'attendais à une réaction positive de sa parti... Ce que je reçus dépassa de loin mes éspérances: après un petit rictus satisfait, il profita de l'un de mes nombreux mouvements descendants pour donner un coup de rein, un seul... Lui qui poussait vers le haut et moi qui était en pleine "descente" eut pour effet d'enfoncer son membre si profondémment que j'étais certaine qu'il devait avoir frappé mon utérus. Et ma seule réaction fut de me cabrer, une fois encore, en appréciant pleinement de le sentir aussi fort, et sous le coup, je ne put faire autre chose que me mordre la lèvre inférieure...

Ajoutez à cela qu'il m'avait finalement mis le doigt dans l'anus et je peux vous dire que j'étais en route pour le 7e ciel. Je sentais son regard sur mon corps et j'eus l'impression de me mettre à brûler... Ce qu'il pouvait faire chaud dans ces cellules...

Je me mis à me caresser, comme si je cherchais à attraper ce regard qui se posait sur moi, et je fus récompensée par l'insertion d'un second doigt.

Celui-ci n'avait pas été humidifié, aussi la pénétration fut plus douloureuse, mais plus jouissive en même temps.. Et bien que ce fut agréable, cela ne me suffisait plus... C'est la raison pour laquelle je me détachais (à regret, presque) de lui, et me retourna lentement, frottant mon anus contre ce sexe encore humide.

Je continuais mon mouvement jusqu'a finalement être à quatre pattes, mais de manière opposée à lui. S'il voulait que ça continue, il allait devoir se bouger...

Je cambrai mes fesses, les rendant plus offertes que jamais, et dans un souffle sensuel, lui dit:

"Encule-moi mon beau... Remplis-moi... Possède-moi complètement"

J'étais sûre qu'il réagirait à mes mots, et je reculais vers lui de manière provocatrice, le défiant de mettre plus de temps avant de me prendre sèchement...

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Elle voulait que je l'encule comme j'avais compris. Y'aurais pas de problème à ça tu vois. En plus j'adore prendre une fille par l'anus, le problème c'est que y'en a qui baratine comme quoi c'est pas moral et tout, bref.

Elle s'était mise à quatre patte, je me releva et à la place de me mettre derrière elle me mit devant de manière à retrouver mon sexe en face de son visage, je voulais qu'elle me suce pour l'humidifier aussi, je sais que normalement il en fallait un peu plus, mais elle aimait avoir un peu mal alors, que demander de mieu?

Je crois qu'elle comprit car elle engloba mon sexe pour me lécher une seconde fois, cependant, elle semble déçue que je la fasse attendre, pour mon plus grand plaisir. Une fois quelque coup de langue donné, je me positione alors dérrière elle et présente mon calibre devant son anus, je commencais alors à la ramener lentement vers moi, j'ais mes mains sur ses hanches, mais je me suis tout de suite repris et l'ai prise d'un coup sec et violent, je sais que ça doit faire mal mais elle semblait aimer ça. Je contine alors tout de suite a faire des vas et viens, j'adorais ça, ça oui. Elle avait un dos magnifique, au diapason du reste de son corp. Bien marqué et fin. Magnifique tu vois...

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Il m'en mettait plein la vue lui, et j'adorais ça... Lorsqu'il me prit par la hanche pour me pénétrer, j'étais dégoûtée de la lenteur à laquelle il allait... Mais il dût se rendre compte de ce que je voulais vraiment, car à peine entamais-je un mouvement pour m'empaler sur son membre qu'il s'enfonça de lui même, d'une traite, et ce jusqu'à ce que ses bourses butent contre mes fesses...

C'était douloureux, mais par tous les dieux, qu'est-ce que c'était bon. Je n'ai jamais été accro à quoi que ce soit dans ma vie, si ce n'est le sexe, mais le sexe que Stefano me faisait partager allait bien au delà de tout ce que j'avais connu jusqu'alors. Et j'adorais ça... Il ne fallait pas que cette fois soit la première et la dernière. Non, il fallait que ça continue... Je percevais le respect qu'il éprouvait pour moi derrière ses gestes adorablement brusques et rien que ça me faisait plaisir.

Son bassin martelait mon cul au fur et à mesure de ses mouvements, que j'aidais à rendre plus profonds, plus rapides... J'haletais à présent, mais je ne pus m'empêcher de laisser les mots suivants échapper ma bouche...

"Vas-y!! Commence ça, putain t'es bon, toi... Ouiii! Stefanooooo!!!!"

Je perdais la tête dans cet océan de sensations et ne put m'empêcher de me doigter, mes doigts coulant rapidement sur mon sexe en liquéfaction... Alors que je me masturbais doucement, je prenais un plaisir à ressentir son sexe me pillonner de l'intérieur, à le sentir contre la paroi.. En moi...

M'accrochant au drap, l'empoignant violement, je le laissais continuer ses coups de burin alors que je commençais à visiblement transpirer... Etrangement, je trouvais le moyen d'écarter les cuisses encore plus...

"Ouiiiii..." criais-je à fréquence régulière... J'espérais qu'il allait prendre l'initiative de me prendre de manière différente... J'avais suggéré la sodomisation, à lui de suggérer quelque chose d'autre... Il ne fallait pas que ça finisse si tôt... Non...

Invité

Elle n'en pouvais plus je le voyais bien, je me conchais lrgérement sur elle pour lui pelotter les seins en même temps que je la prenais par le cul. Elle adorait ça. Je décidais alors de changer, j'alternais maintenant entre sa chatte et son cul, un coup l'un un coup l'autre. J'éspèrais qu'elle allait aprécier, nos corps étaient maintenant suintant de sueur, l'un comme l'autre nous n'en pouvions plus.

Je decidais alors de changer de position. je me retirais et me levais en l'engoignant à faire de même, je la gratifia alors d'un baiser remplis du désire dont je débordais et pris une de ses jambes et lui fit comprendre de mettre son autre jambe dans mon dos, de manière à ce que je la porte, ce qu'elle fit. j'introduit alors a nouveau mon sexe en elle et m'appuiais contre le mur la laissant faire de petit saut pour bouger. Pendant qu'elle s'empalait à nouveau pour son plus grand plaisir et le mien sur mon sexe, je lui donnais des baisers dans le cou.

Je glissais alors deux doigt à sa bouche, la fit les lècher et les réintroduits dans son anus, je voulais la mener au bout, lui donner mieu que ce qu'elle n'avait pu subire. Je voulais la combler, me montrer plus qu'à la hauteur. Qu'elle n'en puisse plus et me supplie d'en finir. Je continuais ainsi un petit moment ce traitement, altérant les baisers fougeux et les bisoux dans le cou...

Invité

Il alternait avec brio entre la sodomisation et la pénétration "simple" (même si avec un membre pareil, ça ne pouvait pas être simple...) et j'adorais ça. Lui même aurait pu le deviner par des soubresauts de plaisir...

A coup sûr, j'ai déjà été emportée par la vague de plusieurs orgasmes, et avec lui, je pense que j'allais battre mon record personnel. Fébrile, je compris tout de suite son intention et "sauta" dans ses bras avec plaisir, passant mes bras (toujours menottés) par ses épaules pour l'attirer à moi. Il me colla à nouveau au mur, et mon poids allié à la pesanteur fit en sorte que je m'empale un maximum.

J'aidais même ce fait en ne me tenant qu'un minimum dans son dos. Il m'embrassait dans le dos, sans doute allait-il y laisser sa marque. Je m'en foutais.. Au contraire, je ne demandais pas mieux. Je voulais sa marque, je le voulais lui, et il s'offrait à moi...

Que dis-je?! Bientôt, si ça continue, c'est moi qui vais m'offrir à lui. Je serais sienne, physiquement et mentalement sienne, et il sera mien.. Non, arrête de rêver Hakina, ça n'arrivera jamais... Profite, mon beau...

Toutes à mes pensées, je me met à griffer son dos, en quête d'une prise, et je resserre mes jambes, l'attirant ainsi encore plus proche de moi. Je ne comprenais pas comment il pouvait encore tenir debout, c'est dingue. Quel homme.

Mes marques glissaient sur son dos couvert de sueur, avant qu'une de mes mains passe dans ses cheveux, le caressant doucement... Puis je pris une poigne de cheveux et attira son visage juste en face du mien, en le regardant dans les yeux, je lui dit sèchement, d'une voix pleine de passion

"Fais-moi jouir..."

Et il prit cela assez bien, car alors qu'il replongeait vers mon coup, il me mit un coup de butoir plus vif que les autres, et je n'eus d'autres options que de mettre la tête en arrière, contre le mur, et de griffer ce mur dans une tentative désespérée de m'accrocher à un élément réel dans cette sensation de rêve continue...

"Vas-y... Encore.. Putain, j'aime... J'aiiiiime!" hurlais-je, d'une voix rauque d'exhaustion....

Invité

Je lui en mettais plein les yeux (enfin pas que les yeux :P). Je n'en pouvais moi même bientot plus. Je decidais de changer de position une dernière fois, je la fis se mettre à quattre pattes, cette position plaisait d'habitude aux femmes qui aimaient le même genre de chose que ma douce. Je pensais qu'elle n'allais pas rester indiferente a cette position qui, mentalement, offre d'autres perspectives pour la femme. Je me mis alors derrière elle, elle a quatre pattes donc et la prit à nouveaux violamment, j'allais bien jusqu'au fond, elle devait sentir mes bourses fraper son clytho et l'exiter, elle devait sentir mon membre tout dur en elle. Je fis des allé et retour long, vraiment long tout en gardant de la rapidité, je ne me controlais presque plus je voulais tout lui donner.

Je décidais alors, malgré ce que j'avais pensé, de changer encore de position, pour la position du missionaire, simple, mais dans laquelle j'avais plus d'amplitude et pouvait la remplire entièrement. Je la retournais donc et la mit avec violence et fermeté sous moi. Je l'empalais alors à nouveau, mon sexe glissait tellement facilement en elle elle coulait comme une fontaine. Je lui lâcha alors:

"Vas-y, là tu peu jouir hein ma belle!"

Et je commençais à la ramoner de plus belle, du long de tout mon membre. Elle mit ses jambes de part et d'autre de moi, j'entrepris alors de lui lécher les tétons. Je les coinçais entre mes dents, les mordillais, ce qui devait lui faire un peu mal mais tellement plaisir. je n'en pouvais plus, je haletais, je transpirais et nos corps glissais l'un dans l'autre du fait de la transpiration, nos deux visages foudroyés par le plaisir...

Invité

Je n'en pouvais plus, mais c'était tellement jouissif que je m'en foutais... Bientôt, Stefano me mit à terre, m'obligeant à me mettre à quatre pattes. Souriant dans l'expectative, il ne me laissa pas le temps de penser et s'enfonça en moi, me prenant en levrette. Je sentais son membre en moi, sa vitalité, son amour presque, dans chaque geste qu'il faisait.

Ses puissantes mains étaient posées de part et d'autres de mes hanches, et me faisaient revenir toujours plus fortement m'empaler. J'adorais, et mes cris durent le lui faire comprendre... C'est alors que, sans prévenir, il prit l'une de mes jambes et la tira.

Sans se détacher de moi, ce geste eut pour effet de me faire tomber sur le côté et j'en gémit de plaisir. Bientôt, il prit mes jambes pour les écarter un maximum, accentuant ainsi les sensations.

Pendant qu'il se plaçait comme il le désirait (en l'occurence, la position du missionnaire, classique, mais sexuellement très efficace), je gardais les jambes tendues et levées. Puis, après quelques coups de butoir supplémentaires, je le regardais tendrement, couché sur moi, imbriqué en moi...

Lorsqu'il me dit que je pouvais jouir, je ne le laissais pas terminer sa phrase, j'étais trop proche de cet état pour attendre. Aussi, en un soubresaut, je resserrais mes jambes au maximum, le collant à moi, le poussant encore un peu plus profondément, et je fus envahie par de nombreuses vagues de plaisir successifs, dont l'une qui me fit hurler de plaisir son prénom, de telle manière que j'étais sûre que la moitié de la prison m'avait entendue...

Tremblante, je le laissais continuer, certaine que sa propre délivrance n'allait pas tarder, et impatiente de l'avoir en moi... J'hésitais un instant entre le laisser me charger le vagin, ou alors le reprendre en bouche pour goûter à son plaisir...

Je préférais attendre de voir ce qu'il préférait...

Invité

J'étais presque à la fin de mon plaisir qui avait déjà durer, je pense si longtemps. J'ai perdu la notion du temps et ne réalisait plus ce qui se passait en dehor de elle et moi. J'étais donc toujours sur elle, tout au fond, elle avait rabattu ses jambes et me tenait au fond de son vagin. Je ne me retenais pas plus longtemps bien que je pensa un court instant à me vider autre part que dans son vagin. Cependant, j'avais tellement d'affection et de respect pour elle que je me suis dis que pour la premiere fois entre nous j'allais finir en elle.

Je voulais finir en elle d'ailleur. Qu'elle sente mon sperm au fond de son vagin. Je lachais donc tout en tressaillant de plaisir et en criant son nom. Je n'en pouvais plus j'étais fatigué et transpirant, nos corps glissait l'un contre l'autre mais nous étions unis plus que jamais. Nous étions tous les deux dans l'orgasme, au niveau le plus haut du plaisir. Je n'avais jamais ressenti ça avec une femme et j'espère que elle non plus... A ce moment là j'eu très peur de la decevoir, même si les encouragement qu'elle m'avait donné m'assuraient qu'elle avait prit son pied, je m'en faisais. Je voulais être à sa hauteur, lui rendre l'honneur qu'elle me faisait... Durant mon orgasme intenste, je la fixais, dans ses beau yeux, tout en elle était douceur et beauté. Etais-je tombé amoureux? Et elle alors, que voulait-elle? que se faire sauter? tout ça se passa en un instant dans ma tête et le retour a la réalité ne fut pas brutal. j'étais toujours bien au fond d'elle, entrain de reprend mes esprit. Je me sentais bien ainsi, si proche d'elle, de la femme la plus belle que j'aie vue... J'aurais voulus que ce moment dure indéfiniment... Je lui soufflais alors juste dans un soupir de plaisir:

"Merci chérie"

Invité

Je le serrais toujours contre moi lorsqu'il se déchargea en moi. Nos spasmes musculaires de jouissance étant maintenant partagés, nous avons repris un instant pour reprendre notre souffle... Je bougeais encore, comme lors du coït, mais beaucoup plus lentement... Je ne voulais pas qu'il me lâche... Je ne voulais pas qu'il me quitte. Pendant un instant, cette pensée me terrifia.

C'est alors que j'entendis sa voix... Douce, aimante presque. Je me demandais ce qu'il éprouvait.. Il me remercia, et j'en ai profité pour poser mon front contre le sien en disant:

"Non. Si quelqu'un doit remercier ici, c'est moi..."

Après quelques secondes, je le regardais à nouveau dans les yeux. Je ne voulais pas me l'avouer alors, mais j'aimais Stefano. Je voulais rester avec lui, être tenue dans ses bras, sentir son corps contre le mien, ou en moi suivant le cas échéant. Je ne voulais pas quitter cette pièce.

Pendant un instant, ma vue se brouilla, et je pensais être occupée à pleurer, mais ce que je prenais pour des larmes n'étaient que les restants de gouttes de transpiration provoquées par nos ébats..

J'espèrais sincèrement que mon regard lui dirait ce que je voulais lui dire, ce que je ressentais... Je l'espérais vraiment, parce que je n'avais jamais été très adroite avec les mots.

Puis, mes yeux se posèrent sur ses lèvres, légèrement tremblantes. Et ce fut comme une invitation que je ne pouvais refuser. Je l'embrassais doucement, d'un toucher emplis de douceur, mais d'honnêteté aussi... Je voulais être avec lui...

Je voulais tant qu'il comprenne...

Invité

Elle me répondit de manière douce et gentille, avais-je rêvé ou ai-je entendu une voix presque aimante? j'étais toujours en elle mais me sentais bien (et mon calibre pas pret de dégonfler :P). C'était, à ce moment, plus que du sexe, en tout cas pour moi. Je la regardais alors avec douceur, son visage, son coeur, les moindre contour de son corps je les regardais, je l'aimais...

Non, c'est pas possible ça ne m'est plus arrivé depuis si longtemps, en plus je la connais même pas... Elle est si belle et douce... je passe ma main sur son corps, je touche la courbure de ses seins, descend sur son ventre parfait, le tout sans lacher ses yeux... Vas-t-elle se rendre compte que je suis entrain de tomber amoureux? et elle? je sens tellement de douceur mais est-ce de l'amour ou de la compassion?... Je me lançais alors, je devais savoir... Au moin avoir un espoir...

"Chérie, j'ai envie d'être longtemps avec toi..."

Je n'allais pas y aller trop fort mais je devais au moin avoir un espoir... J'étais vraiment bien pour une des rare fois de ma vie avec quelqun... Oui c'était le mot, je suis bien... je me lovais encore un peu plus près d'elle, pour avoir le plus de partie en contact avec elle, on était collé l'un contre l'autre, sur mon lit et je me sentais effroyablement bien... Ce sentiment m'effroya car, l'amour pour moi, surtout le coup de foudre presque, c'était seulement dans les livres que je lis pas...

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