Hakina

Dossier médical

Nom & prénom- REDRUM Hakina

Sexe- Féminin

Âge- 19 ans

Traits physiques- Je possède une coupe de cheveux au carré, bien que de longues mèches de cheveux de couleur gris mat légèrement argenté courent le long de mon visage. Mes yeux sont sombres, et mon regard (en général) reste inexpressif. Je possède une plastique de rêve et n'hésite pas à se servir de ces "charmes" pour arriver à mes fins...
Je porte également en permanence des gants noirs, serrés au poignet

Taille- 1m67
Poids- 54 kilos
Autres- Il est particulièrement difficile de différencier la gaine de ma robe avec une possible peinture corporelle...

Dossier psychologique

Qualités- On dit de moi que je suis déterminée, personnellement je ne trouve pas, ou pas spécialement. Je sais seulement bien garder mon sang froid. Trop peut-être, ce qui m'a valu une réputation d'être cruel, dans le métier. Je ne vais pas m'en plaindre . Néanmoins je suis très méticuleuse, et je possède une assez bonne mémoire visuelle.

Défauts- Je n'ai visiblement pas été assez méticuleuse, ce qui m'a mené à ma perte. Enfin, si l'on peut dire. Mon plus grand défaut est sans doute d'être un jour tombée amoureuse: c'est ce qui m'a menée à Sadismus. Maintenant, certaines personnes pourraient interprêter mes qualités comme étant des défauts et mes défauts pour des qualités. Tout dépends du point de vue, je pense. Et à ce niveau, vous vous ferez une opinion de moi bien assez tôt.

Aime- J'aime me jouer des hommes, de mes victimes (parfois même les deux); j'affectionne particulièrement ce sentiment de puissance qui s'empare de moi à chaque fois que je plonge mon regard dans leurs yeux suppliants. Puis, une fois morts (mais pas uniquement à cet instant), je me complaîs à m'observer dans le miroir, à examiner ce corps qui en a mené tant à leur perte... Tant pis pour eux. Après tout cela vient la solitude. Des êtres tels que moi ne sont pas destinés à la chaleur d'un compagnon...
J'aime également être traquée, donner à mon poursuivant l'impression qu'il m'a eut, puis le surprendre pour son plus grand malheur, mais mon plus grand bonheur à moi...

N'aime pas- Je ne supporte pas ceux qui s'imaginent être en mesure de me dicter ma conduite... D'accord, maintenant que je suis incarcérée, va falloir que je me calme, mais bon. Tous ces êtres ôtant leur liberté aux autres. Pas la liberté, incarcération liberté, etc... Mais la plus simple liberté qui soit: celle d'exister, celle du libre arbitre. Je peux être très docile, mais je n'aime pas que l'on pense de moi que je suis innofensive...

Comportement avec les gens- Cela dépends des gens. J'ai trop souffert durant ma vie pour accorder ma confiance à n'importe qui et je me joue plus des autres désormais... On ne peut jamais savoir à quel moment je suis sérieuse, et à quelle moment je vous perturbe pour le plaisir, vous faisant craindre le pire alors que je n'ai nullement l'intention d'agir.

Valeurs- la survie et la connaissance de soi
Tics- observe ses victimes durant leur climax/agonie
Passé- A peine née, je fus vendue. Oui, vous avez bien lu. Mes parents étaient pauvres et stupides assez pour revendre leur enfant au marché noir. Ainsi, toute petite, je suis arrivée chez les Kray. Je n'eu même pas le temps d'entrevoir mes parents que je passais déjà entre les mains d'autres personnes. Ces derniers furent très gentils et m'élevèrent comme on élève n'importe quel enfant, mais ce "bonheur" ne devait pas durer. Après avoir passé mon enfance à vivre dans ma nouvelle famille, celle qui m'avait accueillie et qui m'avait tout appris, je suis entrée dans la période de ma vie qui se nommait "adolescence". Et de ce fait mon corps changea, et de manière flagrante. Ma féminité fut accrue, mes charmes également, pour mon plus grand malheur. Ou était-ce réellement un malheur??

Le fait est qu'un jour, Monsieur Kray succomba à ces délices oubliés depuis longtemps et voulut de moi d'autres "reconnaissances"... Et bien que je tenais énormément à cet homme, je ne me sentais pas faite pour cela... Mais Monsieur n'avait pas l'intention d'en rester là. Aussi, prétextant vouloir me parler, il me mena à sa chambre, et là, le cauchemar commença..

Mon innocence fut volée cette nuit là, et alors que je me débattit, Monsieur susurra à mon oreille que si je continuais, il me mettrait à la rue, pour que je tapine "officiellement". Alors je laissais faire. Cette nuit là, et toutes celles qui suivirent. A l'instant même où il se sentait "apte", il lui faisait "honneur". Et bien qu'à la longue, je dut m'avouer ne pas être insensible à l'acte sexuel, la manière à laquelle j'y fut mêlée me bloquait toujours.

Jusqu'au jour où Monsieur et Madame partirent une semaine en vacances. N'estimant pas utile de payer pour une enfant qui n'était pas de leur sang, ils me confièrent leur demeure. Mais c'était sans compter sur la jeune voisine. En effet, cela faisait quelques temps que je ressentais quelque chose dans le bas-ventre à chaque fois que je croisais le regard enflammé d'Ayuki. Peut-être interprêtais-je mal les choses, mais la venue de la jeune femme en soirée m'assura du contraire.

Au début, je me demandais la raison pour laquelle Ayuki avait ce petit sourire en entrant dans la demeure.. Mais bientôt, je n'ai pensé plus à rien d'autre que ces lèvres sur mon corps, à cette chaleur mêlée, ce plaisir partagé, le temps d'une nuit. Juste une nuit...

Car Monsieur et Madame Kray revinrent à l'improviste. S'ils étaient persuadés de trouver la maison à feu et à sang, ils furent bien étonnés, mais dégoûtés également de ce que les deux jeunes filles faisaient. Madame se pressa à aller alerter les voisins pendant que monsieur s'approchait dangereusement d'Ayuki, levant sa main pour la frapper... ou autre. Je ne l'entendit pas de cette manière. J'ai bondit sur lui, le faisant tomber à la renverse. Tout allait bien, jusqu'au moment où je m'aperçut du sang: Monsieur s'était heurté la tête contre le rebord de la table basse et s'était ouvert le crâne. Agissant dans la panique, je suis sortie, bousculant tout le monde, et disparut dans la nuit.

Alors que j'aurais dû ressentir un minimum de culpabilité vis à vis de l'acte que je venais de commettre, il n'en fut rien. Au contraire, je me sentais libre... Je ressentais un sentiment de jouissance à l'idée d'avoir ôté la vie de mon tortionnaire.

Bientôt, je découvrit que cette impression de puissance me manquait, aussi traquais-je les hommes coupables de vices les plus horribles les uns que les autres. On entendait de temps à autre un hurlement d'effroi couplé au rire dément d'une jeune femme...

Et cela continua. Parfois, je me contentais de sortir avec ma future victime, de profiter de sa puissance sexuelle, avant de l'étrangler en plein acte, au summum de la jouissance... Mais cela n'arrivait pas à tous, seulement à ceux que je désirais..

Je fut finalement arrêtée parce que je n'ai pas pu achever ma dernière victime, mon coeur se déchirant à l'idée de le blesser... Durant le procès, je suis parvenue à être jugée inapte d'estimer la portée de mes actes et fut condamnée à une réclusion à perpetuité à Sadismus. Feignant l'innocence, je suis arrivée là un jour d'automne...

Tout se passerait pour le mieux...

Autres- J'ai un curieux don pour attirer les violeurs... Cela ne m'affecte plus, mais c'est certes une étrange particularité qu'il peut être utile de souligner.

Dossier

Matricule- 230 363
Cellule no. [attribuée plus tard]
Rang- Armes- // "La Déesse Noire" (si possible?)

Fais moi des phrases complètes s'il te plait, dans les sections, aime, aime pas... qualités, défauts ... et essaie d'y faire trois lignes... phrase complète aussi dans les valeurs si possible.

Aussi, n'oublie pas ton avatar :)

edti : préviens quand ce sera ok^^

entendu, je modifie ça tout de suite...


EDIT:

Valaaaa

Très bien ^^ Tu seras dans la cellule ... GG. ^^

Bon jeu ^^

marchi ^^