Air frais ou interieur sombre...(PV)

Un homme appararut devant moi. Séduisant mais tout de même... Il avait, à première vue, un ton trop poli pour être ici... Que cache-il vraiment derrière ce visage innoffensif et se caractère supposé poli?

Je sourit d'un rire moqueur et à la fois dédeigneux, pour voir s'il suivrait ma direction ou s'il préférait vraiment la "politesse". Je crachai à ces pieds avant de lui dire d'un ton moqueur et empli de heine;

- Et bien... Voilà un tit "innocent" comme on dit pour ceux qui se crois ici par ereur, et qui parle en politesse... Alors je vais me faire comprendre bien vite; Je déteste que l'on me vouvoit! Et suite à cela, si tu es assez intelligent pour regarder autour de toi, sache qu'il n'y a pas grand chose... d'interressant... à faire au alentours.

"Mais néanmoins... Il y a un peu de bataille, par endroit bien sûr. Mais toi, dit moi ce que tu fiches ici? Dans ce trou à rats, un homme aussi poli et séduisant tel que toi ne doit certainement pas être enfermé pour rien... je me trompe?

J'affichai un vilain sourire à l'intention de cette inconnu. Je verrai sous peu s'il est aussi innocent que son apparence le dicte...

Un sourire moqueur éclaira soudain le visage de la jeune et probablement stupide femme qui se trouvait devant moi, en fait tous les humains sont stupides. lentement, je m'avance d'un pas. mais je m'arrete brusquement puisque la jeune sotte a mes pieds me crache un gros molard bien juteux, si elle tient vraiment a jouer a ce jeux-ci et bien alors pourquoi pas.

Alors qu'elle parle, je me penche lentement et je saisit par deux doigt le crachat et je le porte sur ma langue ou je le dépose et l'avale tout simplement. Un gros sourire éclaire soudainement mon visage, un sourire mauvais, sadique, moqueur, mais toutefois avec un certain charme, en fait mon charme est toujours présent tel un vampire.


-Je déteste que l'on me vouvoit! Et suite à cela, si tu es assez intelligent pour regarder autour de to...

Lentement je passais une main dnas mes cheveux graisseux et affiche un sourire encore plus grand, comme si j'avais jamais servi quelqu'un d'autre que moi. Comme si j'allais porter une simple attention a ce que cette sotte veut.

-Oh mais je me fiche completement de ce que vous pouvez pensez et sachez que bien de choses peuvent etre faite meme, selon-moi bien sur, plus qu'a l'extérieur.

Dis-je lentement de ma voix enroué par l'envie de sang, de plusieurs geste fin, je m'assit a coté de la jeune femme et fixe un cailloux taché de sang coagulé, mes yeux démontre toujours mon envie de sadisme et je ferais mieux de me dépecher avant de perdre le controle du corps.

"Mais néanmoins... Il y a un peu de bataille, par endroit bien sûr. Mais toi, dit moi ce que tu fiches ici? Dans ce trou à rats, un homme aussi poli et séduisant tel que toi ne doit certainement pas être enfermé pour rien... je me trompe?

Voila l'occasion que j'attendais, brusquement j'enfoncais mon ongle qui n'avait été coupé depuis quelques années maintenant, dans sa frele peau, un bruit de succion se fait entendre alors que mon ongle pénétre doucement dans sa peau pale. Pour accroitre la douleur de la prisonniere, je descends doucement le long de sa peau et je m'arrete bientot apres qu'une ligne de pres de 2 decimetre soit tracé dans sa peau. Mes mains se dirige vers la plaie ou se pose bientot mes doigts, rapidement j'écartie la plaie et je plonge mes levres et ma langue a l'intérieur, l'ouverture a maintenant 5 centimetre de largeur, lentement je leche de ma fine langue, l'interieur de sa plaie, je peux sentir ce délicieux nectar qu'est le sang enivrer chaque parcelle de mon corps... Je n'en peux plus, je la veux.

Brusquement je me place par-dessus Keira et j'enleve brusquement son chandail, sans meme regarder si elle possede une brassiere puis, avant meme qu'elle ne puisse réagir, je colle mes levres au sienne et je mords rapidement sa langue, fesant couler toujours plus de sang, me délectant de son corps au passage par mes mains qui se dirige lentement vers le bas de son corps combattif qui refuse que je la viole.

Je le regardai de plus en plus avec interêt, quand je le vis déguster mon crachat. Il me plait, lui aussi, je le sang, aime la violence, le chaos et le sang...

Je me délectai de chacunes de ces paroles, si somptueuse à mes douces oreilles. Il me plaisait, j'avais en ce moment tellement goût de lui. Il me suffisait d'attendre que son propre envis se manifeste, et si jamais il ne se manifestait pas... j'allais m'en arranger.

Mais je n'eut pas à le faire. Suite à mes paroles singlante, il avait l'air de vouloir me montrer, et non me dire, ce pourquoi il était ici. Je sentis soudain une douleur, plutôt un pincement, qui me fit, très peu après, un plaisir fou. Je regardai mon bras droit, le sang commençais à couler à l'endroit où il m'avait transpercé. Je le regardai succer ma plaie. Je sentis à la fois la succion, et le liquide chaud couler le long de mon bras. Mes yeux se fermai de plaisir. Le sang, rouge et si chaud, était là, tout près, et je ne pouvais pratiquement psa me contrôler. Mon corps se crispai, ma respiration s'acéléra un peu.

Je le vit soudain sur moi, qui arracha sans délicatesse mon haut. Un sourire pervers s'afficha sur mes lèvres, juste avant qu'il m'embrasse. Je sentis sitôt la jouissance de la douleur au niveau de ma lèvres inférieur, puis, à ma grande joie, je goutai le sang, suave et chaud. Je commançai à me crisper encore plus, ma respiration acellera encore plus. Je sentis ces mains descendre. Je tentai d'arracher son chandail. Puis, je commançais, sous l'impulsion, à le griffer de mes ongles pointus. Mes yeux toujours fermé, je lui murmurai;

- Tu as interêt à me rendre folle...