Suite du rendez vous un peu chamboulé... [privé Shieft]

Il ne m'avait pas attendu, apres tout je venais peut etre de le blaisser dans son égale masculin. Une femme qui s'interpose pour sauver la vie d'un homme... Oui, c'était peut etre surement ça...

Le merci qu'il m'avait pourtant adressé avant de sortir du la cour m'avait pourtant fait tiquer... Non ce n'était pas son égale que j'avais blaissé... J'avais plutot fait une fissure dans sa carapasse...

Je le retrouvais devant l'infirmerie. Sans le regarder je sortie mon passe et j'ouvris la porte sans un mot. Une odeur de médacament et d'hoptial monta à mes narines, je détestais cette odeur... J'avais bien trop occupé les salle d'hopital durant une certaine periode de ma vie...

Je pousse le bouton pour allumer la lumière, il n'y a personne comme je l'avais prévu... J'avance en silence dans la salle presque toute blanche, et je lui dis alors en lui tournant le dos:

"-assieds toi, je vais regarder ça..."

Je lui désignais une banquette classique comme toute celle qu'on voit chez les medecins. J'ai pris un coton et de l'eau oxygéné pour desinfecter...

Elle arrive enfin. Je l'attend a côté de la porte, mon dos collé au mur, mon regard plongeant vers le sol. J'entend des bruits de pas, venant troublé le silence des couloirs vide. On ne s'adresse aucune parole, ni même un regard. Elle ouvre la porte a l'aide de son passe, et entre la première. je me décolle du mur et en fait de même. La lumière s'allume, montrant la pièce dans ses moindres recoins et une odeur désagréabe me monte au nez. L'odeur des médicaments....

Elle me propose de m'assoir et je me dirige vers la banquette qu'elle désigne. Elle commence a sortir du matèriel pour désinfecter ma blessure.

Cette situation me rappelle mon enfance dans la villa. Quand je jouait avec la fille de mon protecteur et que je me blessait; la jeune fille m'emmenait dans l'infirmerie me soigner et je chialais quand je voyais la bouteille d'alcool. C'est fou que je repense a ça maintenant....

J'attend patiement qu'elle me soigne, même si je peux le faire tout seul. Je ne lui adresse aucun regard, aucune parole. Il régne dans la pièce une atmopshère bizarre. Aucun de nous deux ne parle et ne se jète de regard. Comme si notre petit jeu était terminé.

Je le trouve renfermé, et assez distant... Il est etrange comme si ce qui s'était passé l'avait fait reflechir... Il n'a plus de sourire sur ses lèvres, comme si un vole s'était abatu surson visage.

Je temponne la blaissure avec le coton imbibé d'alcool, ca va la plais n'est pas grande, pas besoin de points...
Il ne me regard pas, et jene sais pas quoi dire... Je pousse un soupire et je me détourne à nouveau pour jeter le coton, et je dis en lui tournant le dos:

"-pas la peine de faire de points, la blaissure n'est pas des plus grave... Ca cicatrisera comme ça. "

Je reste un moment le dos tourné à lui, ne sachant pas quoi faire ou que dire, le petit rendez vous amusant que je croyais avoir se transforme en petit entrevu assez nul...

"Hum..."

Eh bien, tu parle d'un rendez vous, je suis seul avec elle, il n'y a personne dans la pièce, et depuis que je suis arrivé, je n'arrète pas de jouer avec elle. Maintenant que j'ai un moment favorable pour faire plus ample connaissance et peut être en profiter un peu, je ne fais rien, je ne la regarde même pas et je n'ai aucune conversation. Pas étonnent qu'il est si difficile de me faire des amis !

Elle me soigne, en apliquant le coton imbibé d'alcool sur ma blessure. Ca picote, mais je ne dis rien. Je sens que la situation l'embète, elle est la pour un rendez vous, et voila que je ne suis même plus intèressant. Non, il faut que je change, ou du moins que je devienne plus sociable. Oui, mais ça va a l'encontre de ma nature, je ferais un petit effort.......non c'est dur, je n'arrive pas a parler au gens a part si je cherche a avoir quelque chose, ou leur confiance. Je ne fais que les manipuler pour arriver a mes fins. Aprés tout peut être que c'est mieux comme ca, si je veux sortir d'ici le plus vite possible, je suis bien obligé qu'elle m'accorde sa confiance, et voir plus......c'était le but de se rendez vous, mais maintenant j'hésite........

Ca me ressemble pas, si je ne me reprend pas, je vais finir par foirer la chance de sympathiser avec elle. Aprés qu'elle m'ait dit que ce n'était pas la peine de faire des points, elle me tourne le dos. J'e profite alors pour me lever, et je dépose mais mains sur ses hanches, et ma tête se trouve juste a côté de la sienne.

"Je crois qu'on est en rendez vous non ?.....il n'y a pas grand monde ici alors personne ne se doutra de ce qu'on fera...", dis je en lui chuchotant a l'oreille.

Il est assez difficile a cerner comme mec celui là... Il y a peine deux secondes, il était comme ailleurs, dans un monde de remords ou de tristesse, et là, il redevient entreprenant... Etrange...

Je me laisse faire, et je continue à ranger ce que j'ai sortie pour le soigner... Je crois qu'il oublis un peu qu'il est prisonnier, et moi gardienne... Enfin il faut dire que je l'ai bien chercher aussi ... Mais c'est tellement le foutoir dans ma tete à cause des dernières paroles de Ralph...

Je sens son souffle dans mon cou... Et ses mains sur mes hanches... Mais que faire, prendre un peu de bon temps ou bien rester neutre... Le faire miroiter que je vais me mettre nue devant lui et qu'il pourrait faire ce qu'il veut de moi... Ou alors ne rien faire...
Je dis alors comme si plus rien ne m'attirait chez lui:

"-oui, personne ne sera rien... Si rien ne se passe..."

"Effectivement, si rien ne se passe personne ne saura rien...", je rit légèrement et en même temps je rapproche le corps de Vlana contre le mien pour qu'il se colle.

Mes mains profitent des belles formes de la jeune femme tandis que mes lèvres goutent sa peau si douce et pourtant si froide. Je lui embrasse le cou et la colle encore plus contre moi. Jusqu'a présent elle ne c'était pas débattu, mais là, je ne sais pas comment elle va réagir. De toute façon je suis fatigué, et j'ai envie d'allé dormir. Mais je conte pas m'en aller sans lui faire un gros calin et un joli bisou.....mes mains se promènent sensuellement le long de son corps, puis, je la tourne pour qu'elle me regarde. Mes mains descendent et se retrouvent sur ses magnifiques fesses. Je la plaque encore contre moi, pour qu'il n'y est plus aucun espace qui nous sépare.

"C'est pas trés courant qu'un gardien se laisse mener comme ça...."

J'en profite bien car je pense que ce sera la dernière fois que je pourrais la toucher comme ca. Je la regarde toujours absorbé par ses yeux, et l'embrasse avec plus d'ardeur que la première fois. Il est aussi plus long que l'autre fois, il faut dire comme il n'y a personne je me lache un peu. C'est une superbe femme il faut l'avouer, alors je me fait plaisir. Au bout d'une minute a l'embrasser sans savoir, si elle est consentante ou pas, je retire mon visage un légé sourir au lèvres. J'adore ça. J'ai une certaine envie d'allé plus loin maintenant, mais j'ai aussi une grande envie d'allé dormir, et puis des femmes, c'est pas ce qui me manque le plus. Je retire mais mains, et lui caresse le visage.

"Bon, je crois que notre rendez vous touche a sa fin, j'ai une grosse envie de dormir, donc je vais retourner bien sagement dans ma cellule. Pas la peine de me raccompagné je sais où elle se trouve maintenant......."

Je dépose une dernière fois mes lèvres sur les siennes, pour en garder encore le gouts, puis je passe a côté d'elle.

"Merci pour ce petit moment fort sympathique, j'éspère que toi aussi tu t'es bien amusé, peut être a une prochaine fois...."

Je sors de là, et me dirige droit vers l'aile des prisonniers, la laissant seul dans l'infirmerie. Je ne sais pas si elle a remarqué mais j'ai deux facette.....

Alors que ses mains se faisaient baladeuse sour mes hanches, puis sur mes fesses, je me laisse faire comme une enfant timide qui se demande ce qui est en train de lui arriver... Il me tourne avec lenteur vers lui, et plonge ses yeux dans les miens... Son visages c'est approché, et ses lèvres ont pris possession des miennes... Impassible au debut, j'ai fini par lui rendre son baiser, avec la meme fougue que lui...

Lorsqu'il me dit qu'il était fatigué, j'ai eut un sourire en coin, petit joueur... Bref, je l'ai regardé partir sans rien dire, mais avant que la porte ne se refemerme j'ai soufflé à son intention:

"-bienvenu en enfer..."