Sadismus Jail
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 Ian Lane

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Ian Lane
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Ian Lane


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MessageSujet: Ian Lane   Ian Lane Icon_minitimeLun 9 Juil - 8:03

Dossier médical


Nom & Prénom- Ian Lane

Sexe- masculin (non je ne me trompe pas soyez en assurez)

Âge- 16 ans

Traits physiques- J’ai l’air d’une constitution particulièrement délicate avec mon corps épais comme une brindille et mes traits fins, alors qu’en réalité je ne suis pas si fragile que ça. Mes yeux ont une teinte violette soulignée par mes longs cils. Cette teinte se reflète légèrement sur mes cheveux noirs qui encadre mon visage la plupart du temps car je préfère les porter mi-long.

Taille- 1m65

Poids- 43kg (comment ça maigre ?)

Maladie ou handicap physique- niet

Autres- J’ai une petite paire d’ailes angéliques tatouée au niveau de ma hanche droite.
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Ian Lane
657284 Innocent et naïf
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MessageSujet: Re: Ian Lane   Ian Lane Icon_minitimeLun 9 Juil - 8:03

Dossier psychologique


Qualités- Doux et calme, je ne m’énerve pas contre quelqu’un sans avoir d’excellente raison à cela. La colère n’est pas une émotion très naturelle pour moi-même si j’ai bien peur que cet état de fait risque de changer quelque peu… Je suis également extrêmement patient et peux rester parfois des heures à atteindre sans que cela ne me gêne le moins du monde. Je suis très attentionné envers les personnes que j’aime et beaucoup aussi envers celles qui m’entourent tout simplement mais j’ai appris que certaines personnes n’aiment pas qu’on s’occupe d’elle, danse ce cas je ne le fais pas ce qui ne m’empêche pas de m’inquiéter pour elles. Je ne mens en aucun cas, même si je ne dis pas forcement toute la vérité.

Défauts- Je suis malheureusement très impulsif et il m’arrive souvent de faire quelque chose sans avoir du tout réfléchit aux conséquences et de le regretter après même si ça ne sert à rien. Il peut ainsi m’arriver d’être brutal. Je suis un peu trop rêveur au point que ça peut devenir un défaut. Il m’arrive de m’absorber dans mes rêveries alors même que quelqu’un me parle ce qui peut blesser cette personne. Mais j’ai beau essayé, je reste rarement concentré longtemps sur un sujet précis, mon attention vagabonde trop, sauf quand je suis en proie à une forte émotion. On me reproche également d’être trop naïf et de croire tout ce qu’on me dit mais ayant pris l’habitude de prendre pour argent comptant tout ce que me disait Tonton qui ne mentait jamais j’ai du mal à concevoir qu’on puisse ne pas dire la vérité. Je suis également très curieux, un peu trop pour mon propre bien parfois. Je garde habituellement le silence mais quand quelqu’un me parle je ne peux pas m’empêcher de lui poser des t(as de questions sur tout. C’est assez exaspérant parait-il.

Aime- J’aime beaucoup lire, depuis que j’ai appris, si j’en ai la possibilité, il est rare que je passe une journée sans me plonger au moins un peu dans un quelconque ouvrage. Mais j’aime encore plus ne m’allonger dans l’herbe en regardant le ciel et en rêvassant sans rien avoir à faire d’autre. D’autre part j’apprécie énormément d’observer des hommes des animaux où des insectes occupés à toutes sortes de choses, je trouve cela fascinant d’observer la vie. Enfin j’adore Tonton et j’aime toujours ma famille même si j’ignore totalement ce qu’ils ont devenus, il n’y a que mon grand frère pour lequel je n’éprouve qu’indifférence accompagnée d’une pointe de rancœur à cause de son abandon.

N'aime pas- Je hais le feu, j’en ai peur et je m’en tiens donc le plus éloigné possible. Je déteste les flics, comme Tonton me l’a enseigné mais aussi parce qu’ils n’ont rien dit quand mes grands parents sont morts et parce qu’ils ne m’ont pas cru. Je n’aime pas les armes à feu ni leur odeur ni les gens qui les utilisent. Je n’aime pas les parjures et les menteurs que je méprise. Autrement je n’aime pas tellement les gens brutaux, là encore parce qu’il me font peur. Et, enfin, je crois que je n’aime pas beaucoup cousine même si je sais que ce n’est pas très bien parce que Tonton l’aime bien lui.

Comportement avec les gens- Je suis toujours poli et serviable avec les gens que je ne connais pas tant qu’ils ne m’ont pas donné de raison d’agir autrement. Plutôt timide et n’appréciant pas excessivement la compagnie de mes semblables je préfère en général rester seul et engage rarement la conversation avec qui que ce soit. Néanmoins il m’arrive de poser des tas de questions même à quelqu’un que je ne connais voir qui me fait peur si ma curiosité est trop forte pour que je la réprime.

Maladie ou handicap mental- non

Valeurs- J’accorde une grande importance à la parole donnée qui doit toujours être respectée, il n’y a en effet à mes yeux rien de pire qu’un parjure. Je crois également beaucoup en l’honneur et la justice tes que me les a enseignés Tonton et m’efforce autant que possible de suivre cette ligne de conduite.

Tics- J’entortille une mèche de cheveux autour de mon index gauche quand je rêvasse, et me mordille la lèvre lorsque je suis embarrassé. Lorsque je réfléchis intensément je mêle les deux tics.
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Ian Lane
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MessageSujet: Re: Ian Lane   Ian Lane Icon_minitimeLun 9 Juil - 8:04

Passé- Je suis né dans une famille heureuse, avec des parents aimant et des frères et sœurs joyeux. Mon père était chef d’une petite entreprise de pose de volets et de portails électroniques et ma mère était secrétaire pour un dentiste du quartier. J’avais deux grandes sœurs et un grand frère. Mon frère était l’aîné et il entrait à la faculté d’économie l’année de ma naissance, froid et distant avec moi comme avec les femmes de la maison il ne vouait un certain respect qu’à mon père qui payait après tout ses études. Mes sœurs étaient de respectivement 10 et 3 ans mes aînées et elles au contraire me chouchoutèrent comme il se doit. Les premières années de ma vie se passèrent comme dans un rêve… et comme un rêve beaucoup trop vite. Aux alentours de mon cinquième anniversaire, l’entreprise paternelle commença à devoir faire face à de nombreuses difficultés. L’atmosphère à le maison s’en ressentit rapidement et devint de plus en plus pesante et étouffante. Mon frère ne fit plus que des apparitions aussi rares qu’un brin d’herbe sur un iceberg, voir plus. Ma sœur la plus âgée renonça à faire des études pour travailler tout de suite dans une entreprise d’assemblage de pièces d’automobiles et la plus jeune se vit charger de l’entretient de la maison. Puisque ma mère enchaînait les petits boulots en plus de son travail permanent, ce qui la rendait d’ailleurs à moitié folle. Elle se mit à fumer en permanence et à insulter tous ceux qui avaient le malheur de croiser son chemins ; un jour on la retrouva même ivre morte couchée sur le paillasson devant l’entrée.. Je me retrouvait seul pour m’occuper de mes deux petits frères, des jumeaux de 3 ans mes cadets. Pendant un an la situation se maintint ainsi et j’avais l’impression que mes oreilles bourdonneraient toujours des cris qui raisonnaient chaque soir dans notre petit appartement délabré. Les voisins allèrent d’ailleurs se plaindre au propriétaire qui menaça de nous faire expulser. Un an plus tard la situation s’aggrava radicalement à cause d’une entreprise concurrente bien plus compétitive et mon père couvert de dettes fut retrouver pendu dans son bureau, il s’était vraisemblablement suicidé. Dès lors ma vie devint quelque peu chaotique, le quelque peu en moins.
Nous n’avions plus de nouvelles de mon frère depuis longtemps, il ne vint même pas à l’enterrement de mon père qui fut célébré dans la plus grande hâte et de manière on ne peut plus humble. Nous nous sommes réfugiés chez mes grands parents pendant quelque mois, notre appartement et tous ses meubles ayant été saisis. Jusqu’à ce que le mafieux à qui mon père avait emprunté nous retrouve. Je ne sais pas alors trop ce qui c’est passé. Mes grands parents maternels ont été enterrés le lendemain, moi qui trouvais que l’enterrement de mon père avait été vite expédié je du réviser mon jugement en la matière au point de le trouver parfaitement remarquable, et les policiers qui étaient venus sont vites repartis sans prendre autre chose que le nom du chef des hommes imposants installés à l’entrée. Ma mère et ma sœur la plus âgée sont devenues serveuses dans un bar dont je ne me souviens plus le nom si je l’ai jamais su et je ne les ai jamais revus. Mes petits frères ont été adoptés par un couple habillé de façon très classe d’après ma soeur qui a donné une grosse mallette de billets en échange avec moult de sourire des deux côtés et ma sœur et moi nous sommes retrouvés à l’orphelinat. C’était un endroit étrange, sale et branlant mais la propriétaire était très gentille. C’était une femme replète qui souriait tout le temps et se souvenait rarement de ce qu’elle venait de faire, une autre femme, plus jeune et beaucoup plus sévère, l’assistait dans sa tâche et faisait en réalité tout à sa place. L’étrangeté du lieu résidait dans le fait que les enfants dès qu’ils atteignaient l’âge de 11 ou 12 ans s’en allaient, ils partaient travailler pour le patron de ma mère et ma sœur eux aussi. La dame sévère m’assura que c’était une chance d’avoir un travail assuré pour quand on serait grand car ce n’était pas facile à trouver. Le gardien avait en cette occasion fait une remarque sur moi que je n’avais pas compris en me fixant de manière étrange et en se léchant doucement les lèvres ce qui m’avait mis mal à l’aise. La dame lui avait ordonné de la fermer. Deux ans plus tard ma sœur partit et je me retrouvais seul à nouveau mais sans mes frères cette fois. J’avais alors 8 ans révolus. Je passais encore deux ans dans cet orphelinat, j’aimais bien être là bas. La propriétaire nous faisait classe et c’est là que j’ai enfin appris à lire et écrire. Auparavant mes parents disaient que notre situation familiale ne nous permettait pas de m’envoyer à l’école puisque je devais m’occuper de mes frères. De plus aider la femme sévère à faire la cuisine ou le ménage m’amusait et elle finit par me regarder d’une manière moins froide. Elle était un peu étrange elle aussi, elle disait qu’elle m’aimait bien et pourtant elle pleurait à tous mes anniversaires. Je ne me rappelle m’être fait punir sévèrement qu’en une seule occasion, une des autres enfants m’avait demandé en rigolant si il pourrait m’emprunter mes putes de mère et sœurs un de ces jours, la dame sévère nous avez retrouver alors que je n’avais presque réussi à l’étrangler. J’aimais donc particulièrement cet endroit bien que le souvenir de ma famille disparue vint souvent me tarauder. Mais à mes 10 ans, la vieille bâtisse fut incendiée et nul ne sembla se soucier de savoir si il y avait des survivants ou pas. J’étais parti faire une commission pour la femme sévère qui ne m’avait toujours pas dit son nom, il fallait juste l’appeler Madame. Quand j’ai vu le grand brasier à la place de ma maison je suis resté planté là sans pouvoir faire un geste. Je n’ai jamais su si quelqu’un d’autre parmi les habitants de la maison était encore en vie.
C’est là que m’a trouvé un vieux clochard le lendemain, allongé par terre je m’étais endormi. Il m’a emmené dans les combes d’une vieille église en me disant que je tombais vraiment bien parce que c’était exactement ce que l’autre cherchait. J’étais tellement épuisé émotionnellement que je le suivais sans faire la moindre objection. L’autre se révéla être un homme d’une trentaine d’année qui devait approcher des deux mètres pourvu d’un sourire chaleureux et de grandes mains calleuses. Il me souleva comme si je ne pesais rien et m’emmena sans s’occuper le moins du monde de mes protestations dans un appartement qui sentait les feux d’artifices. Il me fit asseoir à une table légèrement branlante, ouvrit le frigo d’une manière si brusque qu’il me fit sursauter et posa devant moi un bol de soupe d’une manière tout aussi douce ce qui fait que j’avais de jolies tâches de soupe un peu partout sur mes vêtements. Je me dis que la femme sévère allait grogner puis qu’en fait elle ne le saurait probablement jamais et je me mis à pleurer. Il m’ordonna de manger, ce que je fis. Puis me déshabilla et m’envoya sous la douche en me projetant contre le mur de celle ci. Il me faisait peur a ma sortie de la douche il y avait de nouveaux vêtements. Il me dit que à partir de maintenant je m’appelais Ian et que j’étais son neveu. Il ajouta qu’il allait m’apprendre plein de choses. J’objectais que je m’appelais Lou mais il m’assura que non plus maintenant et que je m’y ferais. Je replongeais rapidement dans le sommeil sur le canapé, désormais je m’appelais Ian et j’étais le neveu d’un tueur professionnel mais ça je ne le savais pas encore, je ne l’ai appris qu’à mon procès.
Les quatre années qui suivirent furent riches en événements. Tonton comme il avait insisté pour que je l’appelle ce que j’avais fait sans trop de protestations, tenta de m’inculquer de nombreuses choses. Mais il s’avéra que je n’étais doué que pour deux choses, la souplesse et l’équilibre. En dehors de ça je ne parvins jamais à lancer un couteau dans ne serait ce qu’une direction prédéfini, le recul d’une arme à feu me jetais toujours à terre et le coup partait n’importe où sauf là ou il fallait. Si j’étais doué pour esquiver les coups qu’il me donnait il soupirait d’un ton désespéré que les miens avaient beau être rapide ils possédaient autant de force qu’un moucheron épuisé dans une tempête de neige et par conséquent ne faisait pas grand mal. Si j’arrivais à me faufiler dans l’ombre sans émettre un son, dès qu’il me repérait ou que j’essayais de le prendre par surprise il me mettais hors course en moins d’une minute. Le fait que je sois armé et lui non ne semblait pas changer du tout cet état de fait et même au contraire je m’empêtrais avec mes armes et il me vainquait dès lors plus rapidement encore. Si je montrais une certaine aptitude aux langues étrangères, une fois celles-ci acquise je ne pouvais discuter avec quelqu’un sans lui poser de très nombreuses questions sans aucun rapport avec les renseignements qu’on m’avait demandé de recueillir. J’allais même parfois jusqu’à oublier de ramener les dits renseignements. Mon incapacité à me concentrer sur une seule chose à la fois pendant longtemps était de ce point de vue un obstacle de taille. Tonton s’absentait assez souvent pour des durées variables quand il recevait des enveloppes sans adresses ni expéditeurs. Il revenait ensuite avec de l’argent ; il me confiait pendant ce temps à un jeune femme chinoise qui me dit de l’appeler Cousine et qui reprenait en main mon entraînement. La première fois que Tonton me laissa, elle me frappait quand je ne réussissais pas un exercice en me disant que normalement j’étais mort. Quand il revint le lendemain, Tonton me découvrit couverts de bleus en larme dans mon lit et il cria sur cousine pendant presque deux heures avant de se calmer. Elle ne me frappa plus jamais. Ce qui ne l’empêchait pas de me regarder froidement en me faisant bien comprendre sa désapprobation devant ma vitesse limitée en course à pied même si je pouvais tenir en revanche très longtemps et devant mes autres diverses incompétences. Tonton me faisait souvent de grand discours sur l’honneur et la justice tels qu’il les concevait, entre autre ne jamais dénoncer un collègue, ne jamais collaborer avec la police, toujours tenir parole… Je sentais bien que Cousine ne m’aimait pas, elle me le faisait sentir dès que Tonton n’était pas là par de petits actes mesquins qui me rendaient la vie impossible. Un jour même elle rentra très tard alors qu’elle était sensée veiller sur moi, elle sentait l’alcool très fort. Elle me réveilla en me jetant hors de mon lit et me cracha dessus en me hurlant qu’elle était sa partenaire depuis es années et qu’elle ne voyait pas ce qu’il trouvait à ce gamin incapable qui ce faisait même surprendre par une ivrogne pendant son sommeil. Elle continua en hurlant toujours que je n’étais qu’un parasite et arma son poing. Je me recroquevillais alors dans l’attente d’un coup qui ne vint pas. Obéissant à Tonton elle ne me frappa mais s’effondra soudain en sanglotant violemment. Je lui apportais une couverture en pensant qu’elle allait prendre froid si elle restait là mais elle me repoussa violemment et je retournais me coucher en la laissant tranquille. Nous ne reparlâmes jamais de cet incident mais c’est cette nuit là que je compris qu’elle voulait que je parte, mon treizième anniversaire était alors derrière moi.
Elle trouva l’occasion qu’elle espérait d se débarrasser de moi quelques mois plus tard, sous la forme d’une enveloppe sans adresse ni expéditeur. Entre temps j’avais eu 14 ans mais ne m’étais pas amélioré d’un chouïa au grand désespoir de Tonton et désormais pour la plus grande joie de Cousine. Si auparavant elle devait se dire que tant qu’à être là j’aurais au moins pu servir à quelque chose, elle insista désormais à chaque occasion sur mon incapacité à emmagasiner les connaissances élémentaires qu’il tentait patiemment de m’apprendre depuis 4 ans. Contrairement aux autres fois l’enveloppe resta longtemps à la maison Tonton avait une mine de plus en plus sombre et Cousine et lui se disputait souvent. Tonton devint soudainement moins patient et finit par tant s’énerver un jour qu’il me frappa. Il ne l’avait jamais fait et je le regardais ahuri sans comprendre. Il s’excusa platement et me dit que je pouvais faire ce que je voulais du reste de ma journée. Ce soir là il sortit avec Cousine, me laissant seul. Quand il revint au petit matin il sentait fort l’alcool. Il m’expliqua en bafouillant qu’il n’avait pas le choix que sinon il ne pourrais jamais accomplir ce contrat sans se faire prendre et qu’il était désolé. Je ne comprenais pas grand-chose à ses bafouillements et le regardais sans rien dire. Soudain il se mit à pleure lui aussi et je me souviens m’être demandé si l’alcool rendait triste. Il me prit dans ses bras et me serra contre lui toute la matinée en me répétant comme une litanie. Puis l’après midi il m’emmena dans un parc d’attraction, je n’y étais jamais allé et je trouvais cela merveilleux. Je ne comprenais pas bien pourquoi Tonton avait l’air si triste. Le soir Couine nous rejoignit. Elle était habillée toute en noir et avait apporté des vêtements de la même couleur pour nous deux. Elle ne semblait pas vouloir m’embêter et au contraire m’adressa même un petit sourire triste. A la nuit tombée nous escaladâmes un bâtiment visiblement bien protégé après avoir pénétrer dans une propriété privée infestée de gardes. Je suivais sans peine, c’est quelque chose que j’arrivais bien à faire. Arrivés en haut sur le toit, tonton et Cousine enfilèrent des gants puis me donnèrent une à une chacune de leurs armes. Ils les nettoyaient soigneusement puis ils me les donnaient, je devais les prendre et les rendre. Ensuite ils me laissèrent seuls pendant longtemps, si longtemps que je finis par m’endormir. Puis Cousine me réveilla, elle voulu m’entraîner dans la maison mais Tonton s’y opposa en disant que c’était à lui de le faire. Ils n’avaient plus leurs armes, je me dis qu’ils les avaient perdus. Elle me sourit d’un air désolé et lui dit qu’elle l’attendait. J’entrais avec Tonton, il y avait des gens morts partout et une odeur de sang écoeurante flottait dans l’air. Horrifié je m’accrochait à le jambe de Tonton, celui-ci me mit dans les mains un couteau ensanglanté et me poussa vers une pile de cadavres après m’avoir chuchoté un dernier désolé et en me murmurant de rester là. Je restais là comme je lui avais toujours obéis, la police me trouva là avec des armes portant mes empreintes abandonnées partout dans la maison au milieu de la boucherie. Ils m’arrêtèrent. On me dit que j’avais tué plus de 200 personnes. Je dis que ce n’était pas vrai mais nul n’en avait rien à faire. Je ne parlais ni de Tonton ni de Cousine, ça aurait été mal. On me condamna à la perpétuité à Sadismus Jail.


Autres- /

Dossier criminel


Crime(s) commit(ts)- Assassinat supposé de plus de 200 personnes bien que le suspect n’ai jamais avoué, les preuves sont accablantes.

Matricule- 657284

Rang- Innocent et naïf

No. de cellule-

Gang désiré – /

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Maybeth
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MessageSujet: Re: Ian Lane   Ian Lane Icon_minitimeMar 10 Juil - 5:48

Très bien ^^ J'adore ton personnage :)

Tu seras dans la cellule ... L.

Bon jeu ^^
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MessageSujet: Re: Ian Lane   Ian Lane Icon_minitimeMar 10 Juil - 6:58

Merci Maybeth ! 38
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MessageSujet: Re: Ian Lane   Ian Lane Icon_minitime

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