Une autre rencontre? [pv Sybille]

Jouant avec le paquet de poudre à lessive qui était entre mes doigt, question de faire passer le temps, quoi d’autre? J’observais d’un air amusé et attentif cette chère sybille faire son entrée dans la pièce. Évidement lorsque je l’avais vu j’avais senti une rage incontrôlable faire son apparition en moi. Mais je n’avais pas réagi. J’étais quelqu’un de calme, de posé. Et il n’y avait certainement qu’elle qui pouvait me faire perdre mon sang froid de la sorte!

Je cesse de faire bouger la poudre lorsque je me rend compte que c’est ce qu’elle cherche aussi ardûment! Comment faire une belle entrée en matière façon Kleden. C’était si simple de s’amuser avec Cette jeune femme. Quoi qu’elle était agressive, je devrais trouver le moyen de l’immobilisée, car elle était forte, plus que moi si sa ce trouvait …

-C’est peut-être cela que vous cherchez? Dis-je en me posant près d’elle, je poursuivis en éloignant le paquet d’elle Car si c’est le cas, vous ne l’aurez pas!

Et d’un geste vif j’attrapais sa mâchoire de ma main libre et fortement je la serrais. Je forçais à tourner son visage vers le mien et je dis sèchement :

-Alors? Petite Sybille n’en n’a pas assez de souffrir?

J’approchais encore plus son visage du mien, fixant ses yeux d’un air furieux, perturbé, malade à la limite. Elle me rendait fou, je devais me retenir de ne pas la tuée, car je savais que ma fureur ne s’effacerait que lorsque je l’aurais entendu souffrir, supplier, pleurer, hurler! Et ensuite sa mort me sera un pur bonheur. Moment d’extase formidable. Mais elle devait avoir mal … Vraiment très mal.

-Elle en veut toujours plus, mais c’est qu’elle est gourmande la petite Sybile!

Et d’un coup sec du poignet je l’envoyais valser par terre où elle s’écrasa lourdement. Moi je restais en place, la regardant d’un air supérieur. Si elle croyait qu’elle me ferait du mal une autre fois. Non, elle allait souffrir comme jamais, je puis lui assurer cela. Et moi je me délecterais de cette souffrance. La soirée risquait d’être longue, et délicieuse …

[Avant qu'il ne te tue, juste avant ne t'inquiète pas, je compte faire apparaître Carl pour te sauver ... Je peux? XD]

Qu'elle me crache à la figure passe encore, mais qu'elle me mode aussi violement la lèvre ... J'aimais le goût du sang, je l'affectionnais même. Mais certainement pas le mien! Salope! Elle verrait de quoi je suis capable, et elle n'oserait plus jamais me mordre de cette façon.

J’attrape un vêtement que je défais en longues bandes larges. J’e m’approche de la jeune femme et je la frappe violement à la tête. Un bon coup pour l’assommer et qu’elle ne me touche pas pendant que je lui ligote les main.

-Tient ma jolie … comme ça tu ne pourras pas me toucher, … moi … mon si beau corps …

Je terminais de l’attacher et je lui repris la mâchoire entre les main. Je lui ouvrit la bouche de force, en prennent bien soin de ne pas laisser mes doigts et mon visage assez près pour qu’elle ne me morde, et je dis d’une voix agressive :

-Il faudrait peut-être que je t’arrache les dents aussi!! Qu’en dis tu?

Je la frappais une nouvelle fois et je fit d’autres bandes pour lui attacher les jambes. Ensuite je m’approchais d’elle et je me positionnais au dessus de son corps, la fixant de haut. Un sourire sadique sur le visage et les yeux brillant d’excitation. Et il n’y a pas que mes yeux qui sont exciter mon corps l’est également … Tu me sentira à l’intérieur de toi Jolie petite Sybille … Et ensuite, lorsque tu n’en pourras plus de me sentir, je te tuerais …

[Est-ce que tu veux que Carl l’empêche de te violer? Ou bien je te viole? XD]

Si elle croyait m’éloigner avec les petits coups qu’elle me donnait. Non, mais maintenant j’étais dans un dilemme, je voulais la violer, l’embrasser. Mais j’aimais que l’on me touche également, sinon il n’y aurait qu’elle qui aurait du plaisir et ce n’était pas là du tout que je voulais en venir! Oui, je voulais qu’elle m’excite. Mais si je la détachais, elle s’empresserait de me blesser le plus qu’elle pouvait. Bien … Je commencerais, et je verrais ensuite.

Toujours positionné au dessus d’elle, j’attrapais sa chemise de prisonnier, qui n’avait absolument aucune esthétique en passant. Et sans délicatesse je tirais vivement dessus, laissant de cette façon bien apperçevoir une bonne partie de sa poitrine, que je me délectais et que je ne me lassais pas d’observer sans relâche, ou du moins jusqu’à ce que mon regard baisse plus bas. Jusqu’à sont ventre plus précisément. À cette vue que je restais bouche bée, Enceinte?

-Tu croyais être en mesure de me le cacher, petite Sybille?

Et doucement , même vraiment délicatement au début, je passais ma main sur son ventre, le caressant gentiment. Puis, quelques instants plus tard, ma pression sur sont ventre ce fit plus insistante. Je relevais des yeux furieux sur la jeune femme et je dis :

-Je vais te détacher Sybille. Mais avise toi seulement de me blesser, ou de ne pas faire ce que je te dis …

Je resserrais encore un peu ma prise, simplement comment avertissement pour finir de l’effrayer. Je voulais qu’elle me prenne au sérieux, car je n’avais absolument aucun problème à tuer un enfant. Je l’avais déjà fais et je n’hésiterais pas une seconde. De toute façon, lorsque je tuerais la jeune femme, l’enfant crèverait en même temps …

-Et je t’assure que tu n’auras pas le bonheur de connaître cet enfant.

Je lui lançais un regard empli de persuasion. Qu’elle n’essais même pas de jouer les malignes avec moi, sinon elle ne vivrait pas longtemps, et sont bébé encore moins.

Je souriais affreusement, victorieux. Je pourrais enfin lui faire tout ce que je voulais sans qu’elle ne me frappe ou me blesse. Habituellement j’avais le don pour trouver ce à quoi les gens tenaient et à m’en servir contre eux. Mais dans une prison ce n’était pas aussi simple. Peu de gens avaient réellement quelque chose à laquelle ils tenaient réellement. Mais Sybille, elle , elle était enceinte. C’était parfait, tout ce que je pouvais espéré. J’avais bien vu dans ses yeux qu’elle ne voulait pas perdre cet enfant. Mais malheureusement ce qu’elle ignorait, c’était qu’après l’avoir violer, j’allais la tuée … Hmm Peut-être que je tuerais l’enfant avant, juste pour la voir souffrir assez, qui sait! Tout dépendait de mon humeur …

Je restais contre elle. Délaissant un peu son ventre. Mais lui jetant tout de même un regard persuasif avant de le lâcher. Si elle m’attaquait, elle pouvait être certaine que je ne me gênerais pas pour tuer l’enfant maintenant! Je n’avais absolument aucune pitié pour ses choses là. Encore moins les enfants. Quels êtres infectes. Ils ne méritaient pas de vivre selon moi.

Je fis glisser son pantalon, sans grande douceur, enlevant également ses sous-vêtements. J’en avais assez d’attendre, j’allais la violer, sur le champ et ensuite je la tuerais violement. Simplement la tuer ce n’était pas assez, je voulais qu’elle me suplit d’arrêter, même si sa ne servirait à rien, car je la tuerait bien.

-Alors douce Sibylle … Dis-je en lui caressant la peau du ventre jusqu’aux cuisses. Je poursuivis tout en disant : Tu sais quoi faire pour que je m,arrête … Ne te l’ais-je pas assez répété dans les douches?

Je fis monter ma bouche jusqu’à ses lèvres, l’embrassant doucement, Je dis ensuite d’une voix basse :

-Déshabille moi …

J’avais parlé d’un ton sec, c’était un ordre. Je voulais que ce soit elle qui enlève mes vêtements. Je lui détachais les mains, attendant de voir ce qu’elle ferait. Je posais une main sur son ventre, toujours en signe d’avertissement. Je voulais qu’elle fasse ce que je lui demandais, et elle n’avait pas du tout le choix en fait.

Je la regardais d’un air triomphant, C’était moi le gagnant, elle ne pouvait plus rien contre moi maintenant que je tenais son enfant. Tenir, un grand mot, mais je pouvais le tuer n’importe quand, c’était simple. Qu’une trop grande pression sur son ventre et s’en était terminé pour le bébé …

Je la regardais m’enlever mes pantalons et mes sous-vêtements. Hmm, elle devrais y mettre plus d’ardeur et de passion si elle ne voulait pas me mettre en colère. Mais pour l’instant que laissais passer ce petit écart de conduite.

-Allons Sybille … Je ne t’en demande pourtant pas tant que ça … Reste calme.

Je me collais un peu plus contre elle, voulant sentir sa peau contre la mienne, son corps contre mon membre qui commençait déjà à s’éveiller. Il ne m’en faudrait pas beaucoup pour être excité. Déjà la perspective de la violer et de la tuer ensuite … C’était tellement alléchant!
Je montais mon visage près du sien et je lui passais une main dans les cheveux. Je dis d’une voix basse et douce :

-Caresse moi … Je veux te sentir …

J’encrais mon regard dans le sien. Bien que j’ai utilisé une voix douce et gentille, elle n’avait pas à penser que je l’étais vraiment. J’aimais simplement la douceur dans mes rapports sexuels. Si elle était incapable, j’utiliserais la force, mais laisser moi vous dire que cela me contrarierait. Et que le mieux à faire n’était pas de me contrarier …

-Aller! Dis-je d’une voix plus forte.

Je me décollais légèrement. Je voulais qu’elle me touche, qu’elle caresse mon membre, qu’elle me caresse tout entier. Je voulais la sentir bien soumise avant de la pénétrer. Je me fichais qu’elle ne soit pas elle-même excité, mais moi je voulais l’être, c’était moi qui importais, je voulais m’amuser, prendre du plaisir, pour ensuite en terminer avec elle.

Moi je fis balader mes mains contre elle. Passant sur ses cuisses, découvrant son entre-jambe que je commençais à caresser lentement, si elle mouillait un peu, ce serait encore mieux … Moins douloureux pour elle, mais c’était à son aise …

Je relevais la tête, adorant le contact de ses mains contre ma peau. Si elle n’avait pas arrêté et c’était mise à hurlée pour une imbécile, je l’aurais certainement pénétré à ce moment là. Mais évidement elle devait tout gâchée. Ne songeait t’elle qu’à elle? Je la rattrapais par les cheveux lorsqu’elle décida de reculer, donc par la même occasion s’éloigner de moi. Je l’attirais vers moi et je posais ma main sur son ventre, serrant douloureusement. Qu’elle puisse sentir tout ce que je lui ferait à elle et son enfant si elle ne ce décidait pas à fermer sa grande gueule.

-Tu veux donc qu’il meure Sybille? Demandais-je sèchement. Un air dément dans les yeux.

J’approchais mon visage du sien. Juste pour être près de son oreille, et je lui soufflais sèchement.

-Tu es donc tellement égoïste?

Je serrais un peu plus ma poigne. Assez pour lui faire mal. Mais je ne le tins pas ainsi très longtemps. Par contre je restais collé contre elle. Allait t’elle finir par comprendre où était t’elle si idiote? Non, je doute qu’elle le comprenne un jour, alors je lui ferais comprendre moi. Je positionnais lentement mon bassin en face du sien. Et d’un mouvement vif je la pénétrais complètement. Peut m’importait qu’elle souffre. J’en avais assez de jouer maintenant.

-Alors? Ne me dit pas que de me sentir à l’intérieur de toi ne te fais pas ... Mourir Sybille ... Dis-je d’une voix doucereuse.

Je ris sadiquement, un rire sec. J’adorais cette situation. C’était moi maintenant qui avait le dessus et non elle. Que personne ne dise le contraire. Je plaçais tout mon poids contre ses mains au sol et je commençais de bons mouvements de bassin. Je voulais qu’elle hurle, qu’elle ai mal physiquement et mentalement. Et je voulais être le responsable de toute cette détresse.

Un monstre, moi? Non, je doutais fortement que ce soit le bon terme à utiliser pour me décrire. J’utiliserais plutôt, magnifique, extravagant, sensuel ... Hm que de beaux adjectifs, et ils me ressemblaient tous. Je m’adorais tellement! Mais cette Sybille ne semblait pas prête à apprécier tout ce que j’étais en train de lui donner. Alors que pourrais-je bien faire qui lui démontrerait tout l’étendue de ma sublime bonté? Peut-être que si je la faisais souffrir un peu, elle apprécierait le doux contact de mon corps?

Hmm, Oui, un peu de souffrance, c’était ce qui manquait dans cette relation à sens unique. Peut-être pas pour elle, mais sincèrement, je ne me souciais plus du tout de ce qu’elle pouvait penser. J’aurais certainement pu être plus doux, mais non, elle ne pensait qu’à elle et ne pouvait s’empêcher de beugler comme une idiote. Alors je lui montrerais moi. Et elle comprendrait, oh oui, elles finissaient toutes par comprendre.

Je donnais un coup de bassin plus violent et je lui attrapais la tête. Je la poussait violement contre le sol, pour qu’elle sente une violente douleur au crâne et le sol comme il est froid et humide. Je ne l’avais pas frappé assez fortement pour qu’elle tombe évanouit, mais elle l’avait certainement bien sentit ce coup là, ah ... Douce chaleur sous mes mains, du sang, elle saignait de la tête, hm tant pis, pour elle. Moi je jubilais, j’étais le plus fort, j’étais le meilleur, et ça personne ne pouvait dire le contraire!

Je penchais ensuite ma tête, approchant mon visage du sien et je lui léchais doucement la joue. Hm le goût du sang, j’adorais, et le sien n’était pas mauvais du tout en fait ... Je donnais toujours des coups de bassins, qui devaient être désagréables pour elle. Non, je ne daignais même plus d’être doux avec Sybille ... Elle ne le méritait même pas.

-Non ... Tu n’es pas assez gentille ... c’est malheureux pour toi, et ton horrible gamin ...

Je secouais la tête d’un air faussement désolé. Je détestais les enfants, alors même si je lui laissait penser qu’il s’en sortirait si elle était gentille, je comptais bien le tuer, et elle également, je ne suis pas quelqu’un d’assez bon pour laisser en vie cette espèce de pétasse qui ne sait rien faire d’autre que de hurler que je suis un monstre ... Hmpff ... Un monstre moi? Non.

-Kleden Bacher ... Souvient toi de ce nom, même dans la mort ...

Je lui redonnais un autre coup à la tête, et puis un autre. Je ne comptais pas arrêter, certainement jusqu’à ce qu’elle meure, je poursuivais le viol tout en la frappant ainsi. Joindre mort et sexe, hmm quel agréable combos ...

[Voila, il serait le temps de faire intervenir quelqu’un là ^^’]

[HRP: C'est un peu rapide, mais j'ai plus trop de temps >.<"]

"- C'est horrible…
- Hmm… De quoi ?"

Je pose la question… Mais le ton n'y est pas vraiment. Les histoires de mon voisin de chambre, c'est pas que je m'en tape… Mais là, j'ai envie d'un peu de tranquillité. Doucement, je souffle un long trait de fumée bleutée, cale à nouveau ma clope entre mes dents.
Petite pause dans la journée. Lucas et moi sommes assis à même le sol, contre le mur du couloir des employés, savourant un bref instant de répit.

"- Ma copine… Elle me trompe."

Mon collègue lit son courrier, la mine dépitée. Imperturbable, j'aspire une nouvelle goulée de nicotine goudronnée –quoi ? Ca vous étonne ? Bien oui, je fume, maintenant… Trop de conneries dans ma tête. Ca m'aide..

"- Qu'est-c'tu t'en fous ? Tu te tapes des taulards, de ton côté, alors…
- Ouais… Mais c'est pas pareil.
- ... T'es con.

Je bascule la tête en arrière, sens mes cheveux humides glisser dans mon dos –ai-je précisé qu'ils avaient repoussé ? Je les préfère nettement ainsi. Je sors de la douche, et je suis à moitié fringué. Juste mon froc de gardien. Même pas de chaussures.
C'est la pause.
Lucas, pas si affecté, se penche pour allumer sa cigarette directement à la mienne. Il tire une taffe, s'appuie à nouveau contre le mur, à ma droite.

C'est pas pareil… Pasque les taulards en ont rien à carrer. Z'ont rien d'autre à foutre. Regarde… Y a peine un quart d'heure, j'en ai calculé un dans la laverie, en train de malmener une rousse… Y s'amusent. C'est tout ce qui leur reste. Alors, qu'est-c'tu crois que… Tobias ? Où tu vas… ?

Je ne prends pas la peine de répondre… Je suis déjà à l'autre bout du couloir, cavalant comme un dératé. Mes pieds nus claquent au sol, je dérape de temps à autre, me rattrape à un mur… Mais ça ne m'affecte pas…
Il a dit…"rousse".
Et si…
Mon Dieu.
Je cours.

En deux minutes à peine, je suis devant les portes de la laverie. C'est à peine si je défonce la porte. En un instant, l'espace d'un souffle, je vois toute la scène. Comprends tout. Petite plume, au sol, à moitié dévêtue et…-je frissonne de dégoût, et de colère- un homme, sur elle, en elle. Je constate avec horreur que Sybille est sévèrement blessée… Je…
J'ai l'impression d'exploser. Dans ma tête, il n'y a plus grand chose… Juste… Juste une envie de… De fracasser ce crâne de mes propres mains.

Sans crier gare, je me jette sur l'inconnu, le saisis à bras-le-corps. Nous roulons. Le plus loin de Sybille. Avec un cri de rage, je prends le dessus, m'assieds sur son ventre. Je lui assène un crochet du droit, de toutes mes forces… Et croyez-moi, j'en ai brisé, des os, comme ça… Je recommence, libérant toute ma fureur sur cet…sur ce salaud. Mes jointures commencent à me faire souffrir… Mais je n'en ai cure. Je frappe… Avec l'envie de…tuer. Je ne réfléchis plus. Je ne pense plus à l'interdiction de meurtre. Sybille… Il l'a touchée… Il l'a violée… Il… Il…

Mes mains se plaquent sur sa gorge, et commencent à serrer. Mes ongles meurtrissent son cou, et je porte tout mon poids sur sa cage thoracique.

Crève…

Sifflement rageur, mâchoire crispée… Mes cheveux pendent devant mon visage, dissimulant périodiquement mes traits. Je veux…qu'il…souffre.

J'avais l'impression qu'elle allait bientot mourir, cela devenait presque moins plaisant de la frappée. Signe avant coureur de toute la faiblesse de son corps, qu'elle ne controlait plus rien. Mais elle n'a jamais rien contrôlé, puisque moi je me chageais de tout depuis le début. Je comptais en finir, maintenant avec elle. Je savais que je ne faisais rien dans les règles de l'art, mais j'en avais assez, je ne voulais même plus jouer. Je voulais simplement voir son corps inerte par terre et savoir que j'étais le responsable de tout ceci.

J'étais au bord de me vider lorsque quelque chose d'étrange se produisit. Je n'eu même pas le temps de prendre concience de ce qu'il se produisait que j'étais déja projeté par terre, avec, visiblement quelqu'un de furieux sur moi qui s'amusait à me briser la machoire ... Non! Je n'avais pas fait tout ce travail pour m'éviter des blessures avec Sybille pour rien. Mais je ne pouvais rien faire, je sentais mon visage s'en sanglanté à une vitesse phénoménale sans que je puisse le moindrement réagir.

Je s'en ses mains sur mon cou, m'empechant de respirer. Il m'écrase la cage thoracique. Non, un être tel que moi ne peu pas mourir, pas ainsi.

Crève…

Je laisse echapper un rire. Mais entre vous et moin, son poid sur mon corps et ses mains m'ensserant le cou, mon rire ne doit pas porter autant que je le voudrait. D'autant plus que je crois que je crache du sang en même temps. Hmm ravissant.

-M ... Elle crè ... vera aussi. Dis-je d'une voix étouffée.

Je continuais de rire. Oui, qu'il prenne son temps pour me tuer, ainsi j'aurais au moins eu la satisfaction de tuer cette pute aux cheveux roux. Je voulais qu'elle crève, même si pour cela je devais y laisser ma peau.

J'entrepris de lui donner des coups de genoux dans les côtes. Bien que ma position était peu favorable, lorsque l'on est au bord de la mort, des forces innespérées apparaissent. Je crois que je n'avais jamais frappé aussi fort de toute ma vie, alors il devait bien les sentir mes coups dans son corps, son corps que j'aimerais bien tordre également, comme il s'amuse si bien à me le faire, salopard ...

Elle est coriace, cette immonde vermine… Sous moi, le détenu s'agite comme un dément, me bouscule, et me frappe. Il y met toute sa force… Toute son énergie… Profite-en, pauvre taré… Profite-en avant de crever. Tandis que mes doigts s'enfoncent dans son coup, je sens ma respiration qui s'accélère… Flot d'adrénaline. Cela faisait longtemps… J'ai hâte de sentir ta chair se relâcher d'un coup sous mes doigts, jolie petite proie… Mais si tu pouvais te débattre un peu moins… Tu ne souffrirais peut-être pas autant.
Dommage.

"M ... Elle crè ... vera aussi.."

Je me fige, fouille le regard du détenu. Il dit vrai. Et…et il rit. Il rit… Enflure ! Sans réfléchir, je lui crache au visage. Pas très fin, je vous l'accorde. Mais ça soulage, en temps de crise.
En parlant de crise… Cet homme est en train de me blesser sérieusement, à force de rouer mes flancs de coups. Il a une force extraordinaire… Et une de mes côtes finit par céder. Soufflé par le choc, je perds l'avantage, glisse sur le côté, et perds ma prise sur son cou désormais marbré d'ecchymoses. En un souffle, je tente de crier… Mais c'est peu concluant.

Sybille… Ne… Ne ferme-pas les yeux… Pense à quelque chose, blesse-toi un doigt, parle-moi… Mais reste consciente… S'il te plaît…

Je suis stoppé net par la reprise de l'action… Et je ne suis plus en position de supériorité. Il faut qu'elle tienne. Le temps que je… Que je lui brise le crâne. Toujours au sol, je regarde mon adversaire avec une haine non dissimulée. Mon sang commence à s'agiter... Je ressens à nouveau des choses que je n'avais plus éprouvées depuis ma petite entrevue avec Gleb... Un sourire malsaint s'affiche sur mes lèvres. Même ma voix retrouve ses intonations d'antan... Chargée d'excitation, d'envie d'un plaisir si proche... Exaltée.

Viens-te battre, fillette… A moins que t'aies peur de crever ?

Le salopard, Il me blesse, il va me faire des marques! Je déteste les marques! Je sens mon cou, je sens que je vais avoir des ecchymoses. Il va me le payer, je vais lui faire payer ça. Vous pouvez me croire. Il me crache à la figure, sa me fait rien, aller, gaspille ta salive, je vais te la faire ravaler moi pourriture.

Mes coups finissent par porter, il roule sur le coté et lâche finalement mon cou. Je respire une bonne bouffée d’air, et je touche les marques qu’il m’a fait de la main. C’est douloureux, et je déteste souffrir. Par contre je reste un bon moment par terre, je suis étourdit. Mais lui aussi il a mal, je ne vais pas me laisser crever de cette façon. Il me crie de venir, me traite de « Fillette » Non, je suis loin d’être une fillette. Croit moi connard.

Je me redresse et je lui saute dessus, Vivement. Je le frappe fortement à la tête et je lui envoi un coup de genou dans l’entre-jambe. Désolé … je ne voudrais pas t’empêcher d’avoir des enfants sale gardien.

-Hmm … Depuis quand un gardien s’amuse t’il à protéger une détenue? À Moins que tu ne veule que prendre ton pied également … Dis-je d’une voix doucereuse.

Je le frappais à nouveau à la tête. Je comptais tuer cette garce, si il voulait en profiter un peu avant que je ne la tue c’était bien son choix, je n’allais tout de même pas l’en empêcher tout de même mais il devrait me le dire avant que je ne le tue lui-même … Et pour le moment, j’étais bien partit n’est-ce pas? Alors Kleden, ne le prend pas à la légère, il a une sacrée bonne poigne, et je ne devais pas ignorer ça.

Je poursuivais les coup sans relâche ignorant l’autre débile derrière moi. Mais je serais bien triste si elle venait à mourir des blessures que je lui avais déjà infligées. Je n’avais même pas eu le temps de prendre mon pied, et j’aurais préféré la tuer lentement …

[dsl … c’est moche … mais sinon je posterais jamais ^^’ terminez en rapidement avec kleden XD ]

Je…vais…te…crever.
J'ai mal. Mais lui, aussi. Un partout… A peu près. Tu veux jouer ? Viens par-là… viens mourir… viens pour moi, ordure ! Je sais pas qui t'es. Je sais pas d'où tu sors.
Et j'en ai rien à foutre.

Nous sommes là, tous les deux. Rien que nous deux. Pourquoi ? Je ne suis pas sûr de m'en souvenir. Et puis… quelle importance ? Je ne me souviens plus que de l'essentiel : cette envie…de sentir son cou grincer sous mes doigts…

Ah… Bordel ! Ce crevard vient de me cueillir d'un poing sur la tempe… Je n'ai même pas le temps de recouvrer mon équilibre… Je suis déjà plié en deux, sous le choc d'un coup bien plus…bas. Je serre les dents, tente de reprendre mes esprits… mais, une fois de plus, c'est lui qui gagne. Il me prend de vitesse, renchaîne sur un crochet du gauche, et m'envoie valdinguer comme une vulgaire poupée de chiffon… Pas si faible, la blondinette, finalement…

Avec un manque de grâce monstrueux, je dérape, et, tentant vainement de me raccrocher à quelque chose, entraîne une pile de fringues –propres, je l'espère- dans ma chute. Je finis mon…"parcours", en heurtant violemment l'angle d'une machine à laver. Une insidieuse sensation de brûlure m'avertit qu'une parcelle de la peau de mon dos est joliment entamée… Génial. J'vais quand même éviter d'me faire saigner par un lave-linge ? J'ai vu plus classe.
Bref.

Citation :

"…À moins que tu ne veule que prendre ton pied également …"

De…QUOI ?! Mon visage se crispe. Pauvre crétin. Se rend-il compte qu'il ne fait qu'aggraver son cas ? Il me provoque… Et je marche. En un instant, je suis de nouveau debout, prêt à en découdre. Mais lui est déjà sur moi, et me harcèle de coups plutôt bien placés. Je suis presque coincé… et c'est mauvais. Plutôt que de me retrouver acculé contre un mur, je préfère me jeter sur lui, quitte à déguster.

Nous tombons. Cette fois-ci, nous sommes tous les deux au sol. Mon rythme cardiaque accélère encore… C'est exactement ce genre de situation qui nécessite le plus d'attention… et de rapidité. On est trop facilement immobilisé par la plus simple des prises. Et, à partir de là, c'est mort. Plus rien à faire, sauf coup de chance.

Prendre mon pied ?

Mes doigts ripent sur sa peau nue. Manqué. Et je vais avoir du mal à le saisir sans fringues comme point de prise… En attendant, je reçois un fabuleux coup de coude dans le sternum. Pas le temps d'avoir mal. Je lance mon poing, fait mouche. Et impossible de s'arrêter là. Il faut enchaîner tout de suite… Ne jamais laisser ni le moindre espace, ni le moindre temps entre ses assauts. L'obliger à avoir peur, à se sentir dépassé. Juste compter sur mon instinct personnel.

Merde… Une nouvelle fois, j'ai glissé. Putain de sol mouillé. J'essaie de m'éloigner, mais c'est déjà trop tard. C'est une brèche, et il en profite. Il plante ses doigts dans ma blessure toute fraîche au dos, et me saisis par les cheveux. Qui a dit qu'un tel combat était propre ? Je lâche un cri, entre gémissement de douleur et grognement de colère.

Non… Mon pied, je le prendrai…

Je lance ma main en avant… et lui enfonce généreusement l'index dans l'œil. J'ai eu de la chance… Comment ça, pas classe ? Peut-être. Mais…ça marche. Le… détenu –je ne connais pas son nom, et n'ai vraiment pas envie de m'en inquiéter- me lâche enfin, et, par instinct, porte ses mains à son visage.

C'est… tout ce dont j'avais besoin. La suite ? Et bien…Tout se passe en un instant. Tuer un homme… A quoi bon y revenir longuement ? Je dirai seulement… que j'ai à mon tour saisi ses cheveux. Que j'ai violemment frappé sa tête contre le sèche-linge le plus proche. Que voulez-vous… assommé comme il l'était, comment aurait-il pu résister à ma poigne ? Je me suis calé dans son dos, ai passé mes jambes autour de ses hanches, histoire de l'immobiliser correctement… et ai violemment tourné sa tête vers la gauche.
Un simple craquement. Pas même sinistre. Juste un craquement… et c'est un corps sans vie qui me retombe dessus. Je me dégage, me relève, essuie vaguement mes paumes contre mon pantalon. Je porte un regard neutre sur ma victime.
Silence de mort.
Un coin de mes lèvres s'élève doucement.
Si peu.
Avant que je n'éclate de rire.

Mon pied, je le prendrai quand tu seras mort.

Je me calme un peu. Cela faisait si longtemps… J'avais oublié cette si délicieuse sensation… Dommage que je n'aie pu le brûler lentement… C'eût été bien plus drôle. Bien plus beau.

Mort.

Quelques secondes s'enfuient.
A quoi je pensais, déjà ?
Hmm… Oui.
Avec une sorte de…lucidité nouvelle, je me saisis d'un drap, en couvre Sybille, avant de la soulever dans mes bras. Direction… l'infirmerie.

Un bruit ? Tiens… Je pose mon regard sur le nouveau venu. Un taulard quelconque. Jamais vu. En tout cas, je ne m'en souviens pas. Délicatement, je repose ma fragile charge au sol. Je fais quelque pas, et, sans aucun préavis, plaque le détenu contre le mur. J'avance mon visage, et, la bouche tout contre son oreille, murmure quelques paroles lourdes de menaces…

Va leur dire… Va dire à tous ceux que tu croiseras que s'ils touchent à cette fille… Je les étrangle avec leurs propres tripes…

D'un mouvement sec, je le dégage derrière moi. Il se rétame magistralement au sol, à quelques centimètres du cadavre du blond. Un instant pétrifié, il finit par se relever, faire trois pas en arrière… et s'enfuit, sans demander son reste.
Le message est passé.

Je me charge à nouveau de mon précieux fardeau, et passe la porte d'un bon pas. Ce n'est qu'après avoir parcouru une dizaine de mètres, dans le silence le plus total, que je flanche. La tension, et la peur accumulées durant cet… incident, percent enfin. Mes mains sont secouées d'un incontrôlable tremblement, mon visage, souffreteux.
J'ai peur. A retardement. Pas bien grave.