Sadismus Jail
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 Premier jour

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Syndar G
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MessageSujet: Premier jour   Premier jour Icon_minitimeDim 24 Juin - 9:11

Mon premier jour en prison... Je me rappelle quand j'étais arrivé dans le centre pour enfants surdoués, j'avais eu cette impression d'absence de liberté, tous les enfants avaient été réunis dans une même pièce avec leurs parents et la directrice avait énoncé le règlement de l'école. Les parents souriaient, puis beaucoup passaient leur main dans les cheveux de leur enfant avec un petit regard encourageant sensé faire comprendre qu'on allait y être bien, que c'était le mieux pour nous qu'on avait de la chance d'être là...

La vérité c'est que ce centre je l'avais ressenti comme une prison. Je me rappelle la première fois où j'en avais parlé avec mon meilleur ami de l'époque... celui que j'ai tué à la fête qui m'a mené tout droit à cette prison d'ailleurs. Si j'avais su qu'un jour je serais là rien que pour l'avoir rencontré. Le jour où je lui avais évoqué mes idées quant au centre il avait esquissé un léger sourire signifiant qu'il était tout à fait d'accord avec moi. On s'était alors dit qu'on devrait faire notre possible pour rendre ce séjour le moins désagréable possible dans ce qu'on appelait la prison.

Qui aurait pu s'imaginer que je serais un jour dans une vrai prison ? Que notre amitié si soudée finirait si mal... Alors que je regarde les murs les couloirs aujourd'hui, je me dis que ce centre était un petit morceau de paradis, mais je ne peux pas m'empêcher d'y penser, les règles qui m'ont été énoncée tout à l'heure ont réveillé en moi ces nombreux souvenirs enfouis. Je me rappelle nos sourires, nos quatre cent coups. Mais je sais qu'il est inutile de se morfondre sur le passé, celui ci ne peut être changé et cela ne mène à rien.

Pourtant mon futur ne semble pas très prometteur non plus. Cette prison n'a aucune commune mesure avec les centres que j'ai traversé...
Alors que je venais de pénétrer ces couloirs, je m'étais arrêté au milieu. Et mes réflexions sur mon passé avaient pris fin ici. Ma main s'était machinalement approchée du mur à ma droite que je regardais comme si j'avais eu devant les yeux une pièce de musée. J'avais effleuré le mur du bout des doigts, sa froideur... Mon dos fut parcouru d'un léger frisson alors que dans mon esprit je me rendais compte petit à petit de ce qu'allaient être les prochaines années de ma vie.

Je pensais à tous ces livres d'histoire que j'avais lu, l'homme toujours accroché à des espoirs perdus qui ne mènent à rien. Et aujourd'hui c'est moi qui espérait. Un espoir que je savais stupide, mais je ne voulais qu'une chose, n'avoir jamais mis les pieds ici. Je rêvais déjà de m'évader mais je savais que cela m'était impossible. Je me demandais également sur qui j'allais bien pouvoir tomber dans cette prison. On m'avait qualifié de schizophrène et condamné à venir ici après le massacre que j'avais fait. C'était peut être un moindre mal en comparaison à certains prisonniers ici qui n'avaient peut être même pas de moments de lucidité.

Alors que j'avais continué à penser, ma main était désormais totalement appuyée contre le mur, je la retirai de là pour reprendre ma route dans ce couloir. Je ne pouvais m'empêcher de penser aux couloirs de la mort que j'avais vu dans tant de film... Cette prison était tout ce qu'il y a de plus lugubre. Je poussais un soupir alors que j'avançais dans le couloir, allant à la cellule Z comme on me l'avait indiqué. J'étais étonné de voir que les gardiens n'étaient pas très présents et que les prisonniers auraient tout à fait pu s'entretuer dans les couloirs. Du moins jusqu'à que je m'aperçoive que des caméras étaient placées partout et surveillaient nos moindres fais et gestes.

Mes rêves d'évasion partaient quelque peu en fumée alors que je notais que chaque porte disposait d'une caméra. Comme abattu par la prise de conscience de ce qu'allait être mon nouvel environnement, je m'étais baissé puis assis, adossé contre un mur froid du couloir et le regard dans le vide. Je me prenais à espérer que je trouverais entre les murs de cette prison des gens avec qui le temps semblerait moins long. Car le temps s'était considérablement allongé depuis le massacre de la fête étudiante...

Tous ces instants qui passent inconsciemment lorsque le bonheur est à l'ordre du jour, tous ces instants paraissent une éternité quand celui ci a cédé la place au malheur. Tous ces moments qu'on avait pour réfléchir au pourquoi de notre malheur. Et du temps, en prison, j'allais en avoir tant et plus. En baissant les yeux, mon regard se posa sur mon uniforme de prisonnier. Tout ici, absolument tout te ramenait à ta situation. Aucun moment de répis, seule cette idée omniprésente que tu es là pour payer d'une façon où d'une autre et que rien ne te sera épargné.

Des bruits de pas se firent entendre s'approchant de l'endroit où je m'étais assis, avec ma posture d'homme abattu. Et naturellement je m'étais dit : *Alors, dangereux psychopate ou pas ? Les paris sont ouverts...*
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MessageSujet: Re: Premier jour   Premier jour Icon_minitimeLun 9 Juil - 10:33

Le bruit de mon poing s’abattant avec une régularité d’horloger contre le mur de la prison du coté des prisonniers ainsi que ma manière de battre le pavé de mes talons me condamner à l’indiscrétion la plus totale…

Hum… Pour ne pas me rassurer tout cela à l’air fichtrement solide, trop même à mon goût, j’aurai préféré du classique béton, avec pourquoi pas un peu de simili plâtre pour combler et pas des pierres de type médiévale ! Bien sur les matériaux des couloirs et des plafonds et bien moins solide mais là n’est pas mon problème…

Et pourquoi j’ai un comportement aussi suspect devant les caméras du couloir, tout simplement parce que après un arrêt mon visage parait abattu comme si je me résigné… Hors mes gardiens ne peuvent voir les menus détails qui me trahirait, vu la piètre qualité du matériel… C’est donc l’air déprimé et les mains dans les poches que je me dirige vers la porte de ma cellule, la Y afin de prendre un peu de repos avant de me retrouver de nouveau en présence de l’aquaphobe de service ou du taré à lunette… D’une démarche un peu chaloupé, les mains dans les poches et le regard vague, peuh ce qu’il faut pas faire pour trop mer son monde…

Tien il y a quelque un d’autre dans ce couloir ?

Voyons voir, hum je lui donne à l’estimé la vingtaine, il est un peu plus petit que moi et sa musculature étant caché par les amples uniformes que nous portons tous deux me voila bien pour évaluer sa stature même si à la physionomie de son visage je ne pense pas qu’il soit très gros ! Ces cheveux d’un gris argentés se reflètent agréablement dans mes pupilles, étant moi-même à moitié albinos je ne suis pas particulièrement perturbé par la couleur plus qu’inhabituelle de sa chevelure.. Les aléas de la génétique réservent toujours des surprises, la couleur de ses yeux marrons tranchant nettement avec le reste… Même si pour l’heure il m’a l’air passablement abattu le jeune…

Quelques pas me séparent encore de lui, mais ils me sont largement suffisant pour percevoir quelque chose d’anormal dans son attitude, je ne comprend pas, vraiment…

Pourquoi tous les poils de mes bras se sont hérissés sous mon uniforme… Je ne suis pas en danger directement pour le moment ?

Véritablement intrigué, je ne suis plus qu’à trois mètres de lui, il y a deux secondes à peine je me serais juré qu’il n’avait rien à faire en ce lieu, qu’avait il put bien commettre de si terrible pour méritait d’être débarqué ici ? Si c’est un serial killer alors je suis capable d’un génocide ! Je le regarde fixement, mes yeux et mon cerveau tentant un peu vainement de percevoir ce qu me dérange autant chez cette personne, hum mais bon arrêtons de phytotron et c’est bien le cas de le dire inutilement…

L’air de quelque un de normal je me penche vers lui et lance d’une voix calme et posé, avec un allemand légèrement rehaussé d’accent slave :


Nouveau ici… C’est également mon cas en fait, je me nomme Viktor et toi ?

Tien je l’ai tutoyé peut être le fait qu’il m paraisse plus jeune que moi en fait…

Son visage me rappelle vaguement quelque chose, et je ressent comme une légère innocence dans ses traits, quelque chose de doux… Je trouve amusant de me retrouver face à une personne que je pourrai qualifier de normale… Et étrangement je dois ben dire que ce jeune homme m’intrigue énormément… Hum et je dois me retenir passablement d’échanger quelques coups avec lui, cela fait trop longtemps que je ne me suis pas battu pour de vrai, et les quelques pompes et autres abdos que je peut faire dans a cellule ne me suffisent guère pour me calmer…

Je sens mon sang bouillir en moi…

Sauf en cet instant je suis étrangement calme et même lucide, agréable sensation de ne pas avoir l’impression qu’on espionne le moindre de mes mouvements afin de capter mes intentions ou même mes pensées à travers mes actes…
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Syndar G
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MessageSujet: Re: Premier jour   Premier jour Icon_minitimeMar 10 Juil - 2:12

Les bruits de pas commencent à se distinguer notamment depuis qu’on entend plus taper sur les murs. Et apparaît alors un homme plus âgé que moi. Le premier élément que je note est son teint pâle et ses cheveux… Les mêmes que les miens, mais plus clairs encore. L’homme qui s’approchait était sans doute albinos léger. Je me demandais s’il avait noté le regard approximatif lorsque j’avais relevé la tête avant que mes yeux ne se posent réellement sur lui. Comme si j’avais été sous les effets d’une quelconque drogue… Je savais que mon « second moi » faisait souvent ce genre de choses comme un amusement supposé frapper la curiosité des gens et leur faire se poser des questions quant à son intégrité mentale ou à l’état dans lequel il se trouvait. Quand j’étais « lui », j’aimais tromper les gens sur tout ce qui me concerne et je jouais de tout. Mais là… Pourquoi avoir fait ça, je n’en savais trop rien, peut être avais je essayé de « lui » ressembler…

J’avais été qualifié de schizophrène par le psychologue qui s’était occupé de moi après… l’accident, mais si mes personnalités se mettaient à essayer de se ressembler les unes aux autres. Au fond il ne valait mieux pas… Je n’ai aucune envie de devenir en permanence cet espèce de sociopathe sans scrupules. L’homme s’était penché vers moi et avait engagé la conversation en allemand. Aussi jugeais je opportun de me lever, il eut été malpoli de rester assis. L’homme qui se tenait devant moi semblait avoir quelques années à son actif de plus que moi. Il semblait vouloir faire de cette conversation un échange normal de par son attitude. Mais le cadre ne l’était pas, rien de tout ceci ne pouvait être « normal ». Aussi, ne voulant pas être maladroit sur mon premier contact hors administration dans cette prison, je me présentai, lui répondant dans la même langue que j’avais pour ma part apprise dans les centres spécialisés… J’avais noté ce petit accent des pays de l’est dans sa façon de le prononcer, de Russie ou un des pays voisins :

- « Enchanté, je suis nouveau en effet en ces… murs. Je m’appelle Syndar. »

Je n’avais pas fini ma phrase en baissant le ton, prêt à reprendre de plus belle, je pointais les caméras les unes après les autres au dessus de chaque porte.

- « Là, là, là, là, et là, et encore là… là. Des caméras partout. Je… Je ne supporte pas cet endroit, aussi si tu connais un lieu plus agréable où on puisse discuter sans que toute l’administration de ce lieu malsain ne crie au complot. Je veux bien te suivre. »

Une petite étincelle dans mon regard et l’expression de mon visage lorsque j’avais énoncé ma dernière phrase semblaient avoir été remarquées par l’homme qui s’était présenté à moi sous le nom de Viktor. Je n’avais d’ailleurs pas tellement réfléchi, il s’était présenté sous son seul prénom et j’en avais fait de même, j’avais pu noter avec le temps que les gens appréciaient en général que l’on agisse de la même façon qu’eux si on le faisait sans le faire remarquer outre mesure. Aussi lorsqu’il m’avait tutoyé contrairement au personnel de la prison, non seulement cela m’avait plu, je n’aime en effet pas tellement la distance que place le vous entre les gens, mais je m’étais mis à faire de même avec lui. Prenant d’ailleurs garde à ne pas le désigner avant de m’être présenté afin de ne régler la question du tutoiement qu’après les présentations faites afin de ne pas le brusquer. Un léger détail mais j’étais parfois très… méticuleux pour des détails qui semblent insignifiants pour beaucoup de gens.

J’avais un moment hésité à lui glisser quelques mots en russe pour le tester sur ses origines, mais j’avais finalement opté pour l’allemand que je parlais avec un très léger accent français, mais accent tout de même. Je me demandais tout à coup s’il n’était pas celui qui donnait ces coups contre les murs, ayant noté la concordance entre son arrivée et l’arrêt des coups réguliers. Mais peu importe, quoiqu’il ait voulu faire en tapant sur les murs je le comprends. S’accrochait il à l’espoir fou de pouvoir franchir ces murs avec les seuls moyens dont on dispose à l’intérieur de la prison où frappait il de rage… Je le comprenais dans les deux cas. J’avais moi aussi cette envie furieuse de frapper sur les murs comme pour extérioriser ce sentiment d’impuissance. Et déjà l’espoir d’évasion m’avait traversé l’esprit. D’ailleurs ce que je pensais en ce moment même était que si par chance cet homme avait les mêmes idées que moi, on aurait plus de chance à deux.

Je me prenais soudain à placer énormément d’espoirs en cet homme que je ne connaissais à peine, à vrai dire je ne connaissais que son prénom, mais il dégageait une espèce de sentiment de quelqu’un de très responsable qui a un vécu et qui sait y faire… J’avais noté la façon dont il m’avait jaugé d’un coup d’œil comme le font les bons pratiquants d’arts martiaux. Il y avait surtout ce sentiment de sécurité que j’avais en sa présence. Et peut être que cela me faisait un bien fou que le premier prisonnier que je croise semble être maniéré et courtois.

Je me moquais totalement de ce qu’il avait bien pu faire pour arriver ici. Ce que je savais c’est ce qu’il était à présent, peu importe son passé, la raison pour laquelle j’étais là ne me correspondais pas, du moins… pas au moi actuel. Et je n’étais pas là pour le juger. Je ne sais pas si la lueur d’espoir futile que j’avais eu s’était vue au travers de mes yeux, aussi continuai je sans sourciller attendant sa réponse et surtout de voir s’il allait m’amener à un endroit moins… affreusement surveillé.
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MessageSujet: Re: Premier jour   Premier jour Icon_minitimeVen 13 Juil - 11:21

Les fous et monstres sont rarement ceux que l’on croit, je m’en suis souvent rendue compte au cour de quelques uns de mes périples, j’ai appris dans la douleur parfois que notre monde et notre vision ne doit pas être blanche ou noire mais plutôt grise… Vous ne me suivez plus ? En voyant Syndar ici, je repense à cela, la d’où je venais même le pire des hommes se battait pour ses idées et avait une famille auquel il tenait… Je ressent la même chose en cet instant, merde qu’est-ce qu’il fout là ! Sa voie à carrément trembler en me répondant, ce qui n’est pas forcément une bonne chose ne prison certains sujets plus obscur en auraient profiter pour le violenter de suite… Plonger dans mes réflexions, oui je sais je réfléchis trop, il me surprend en tendant soudainement son doigt pour m’indiquer toute les positions des caméras situés dans le couloir dans lequel nous nous retrouvons, très intéressante réaction et capacité de raisonnement…

Je suis particulièrement surpris par cette personne, et les paroles qui suivent ne m’aide pas à revenir de ma surprise, administration malsaine en effet je pense et éprouve la même chose à l’égard de ce lieu à quelque détail près, premièrement j’apprécie cet endroit qui me procure régulièrement de nouveau défis et loisirs comme la douce mademoiselle Swan… Hum doux souvenir…

Je revient à mon nouveau camarade d’infortune comme l’on disait il y a quelque temps de cela, un endroit moins surveiller, question intéressante s’il en est… Qui en elle-même indique que mon jeune ami en est à sa première incarcération, hum comment lui expliquer tout cela sans me faire choper… A si j’ai une idée je place une main sur son épaule et me met à déblatérer se genre de connerie :


"Tu sais dans une cellule on serai en parfaite sécurité… Les murs et portes ayant une épaisseur notable empêcheront que l’on surprenne notre conversation ! Tu as remarqué comme les chiffres des dizaines situés sur la droite sont différents des chiffres des unités situés sur la gauche au dessus de chaque cellule ?"

Je prend un air enjoué et articule parfaitement ces phrases, que ceux qui savent lire sur les lèvres me regarde comprenne et rit de moi, la main droite collait à mon torse je fait les signes suivants :

J’indique III à gauche, une pose…

Puis I à droite et V à gauche…

Ensuite IV à gauche, et enfin V à gauche…

Et si mon jeune ami à compris le code militaire que je vient d’utiliser ce dont je ne doute pas vu ses prédispositions intellectuelles la suite devrai lui paraître évidente :

Je pointe comme pour montrer quelque chose sur la droite suivit de IX coups rapides sur la gauche comme pour montrer les fenêtres… Puis II coup à droite et I à gauche, encore IX coups rapides à gauche et je finis par la même succession qu’au début de mon second message.

On se relève doucement, enfin il copie plus ou moins mes mouvements, et tout deux essayant de prendre un air plus ou moins naturel je me dirige vers l’autre coté des cellules en direction de la sortie et de la cour… Et toujours de cette voie qui m’irrite particulièrement je lui dit :
Je suis affamé, et si on faisait un tour à la cantine ou la salle commune on pourrait discuter avec d’autre prisonnier pour nous intégrer à un gang ou essayer de gagner un peu de respect ou de notoriété c’est l’une des choses les plus importantes dans une prison…

Je prie intérieurement pour qu’il comprenne rapidement ou je veut en venir… Car j’escompte bien me faire la malle d’ici à quelques temps, lorsque j’aurai finis de faire ce pourquoi je suis ici, pas question de disparaître mystérieusement une fois ma mission accompli… Je ne suis pas stupide, je sais que je serai exécuté une fois ma tache accompli, je ne suis qu’un instrument et lorsque je serai inutile…

Je me raccroche un peu à l’air innocent et plein d’espoir de mon camarade, à vrai dire je me rattache un peu à lui comme un noyé à une bouée… Il vient de me rendre un peu d’espoir et de cela je lui suis très reconnaissant !


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