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Je marchais lentement seul et perdu au milieu de tous ses tueurs. J'etait habituel à la slitude, mais en ce moment je restait sur le qui vive, attentif au moindre geste de la part de tous. On m'avait deja attaqués une fois pour mes cigarettes, l'homme avait finis KO et je lui avait pris son arme. Pas grand chose, mais un beau poignard tout de meme. C'est important d'avoir une arme dans des situations comme celle là.

Je marchais sans accorder la moindre importance au regard tournés vers moi. Au contraire, je soutenais ses regards, aucun d'entre eux ne me faisait peur, ils n'etaient qu'une bande de loups affamés, et moi un chasseur. Les loups pensaient avoir une chance, qu'ils viennent, je les attends. Je marche lentement et si calmement, comme si j'etais dans la rue. Les couloirs sombres et humide s'allongeaient devant moi. Les cameras me suivaient à la trace, un vent glacés soufflaient dans les couloirs.

Je n'en sous-estime aucun, garçons comme filles. Je ne meritait pas d'etre là, mais mon pere payera pour ce qu'il a fait. J'avais vu il y a 2 jours ma mere morte à mes pieds, et me voila dans cette prison. Le seul refuge que j'avait en attendant, je n'avait pas le choix. Il n'y avait qu'ici que je pouvais etre loger et nourris. Pour le reste, j'ai appris à me debrouiller seul, et ça ne changerais pas.

Je trouva enfin le numero de ma cellulle. La 10. Nombre pair, le tout premier nombre. J'entra et regarda autour de moi. 4 lits, enfin pas vraiment des lit, plutot des matelas posés sur des planches attachés les un aux autres. Je prend un des lits du dessus, ignorant qui sera mon ou ma voisine du dessous. Mais vu l'epaisseur du matelas et la planche en bois, j'avais ainsi moins de chance de me faire attaquer, à moins d'etre transpersés par en dessous par un long katana tres puissant. J'allume une cigarette et monte sur mon nouveau chez moi, j'ai connus pire. Je fixe le plafond quand quelqu'un d'autre entra dans ma cellule. Je ne dit rien, je ne fait que tourner la tete en me demandant si ce serait un(e) camarade de cellule, ou quelqu'un venus voler quelque chose.