Sadismus Jail
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Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
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 L'Enfer continu...

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Sadé Cuida
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Sadé Cuida


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MessageSujet: L'Enfer continu...   L'Enfer continu... Icon_minitimeLun 7 Juil - 14:58

Et une nouvelle journée se termine. Toutes aussi longues et dangereuses.
Dans mon lit, je me découvre de ma couverture rêche et me tourne sur le côté gauche, le nez devant le mur. Il n'y a que dix barres de gravée... je pensais qu'il y en avait plus. Le temps passe si lentement. Il semble prendre plaisir à me torturer par ses secondes anormalement longue à passer.
Sauf que le temps est le même pour tout. C'est moi qui ne va pas. Mais ce n'est pas un scoop.
Ma main s'approche des gravures sur mon mur, et mon ongle usé se met à gratter une onzième barres.
Mon onzième jour d'Enfer débute, mon onzième jour de peur commence.
Ma respiration, comme à chaque fois que je me lève, est accélérée et trahit mon anxiété. Car la terreur de tout m'envahit tout le temps, chaque instant. Il n'y a pas un moment où je peux être sereine... maintenant encore moins qu'avant.

Je sais qu'il n'y a déjà plus personne dans la cellule. Depuis mon arrivée, j'ai toujours fait en sorte de me lever la dernière. Je ne veux pas tomber nez à nez avec l'un de mes colocataire - si l'on peut dire. Tout comme j'essaie d'éviter un maximum de gens durant la journée.
On pourrait penser que je suis une grande solitaire, mais il en est rien. J'aimerai, au contraire, être entourée... mais vu la situation, je me cantonne à ce cher dicton qui dit qu'il vaut mieux être seule que mal accompagnée.
Encore que la bonne compagnie, quand on a un peu de chance, on peut tomber dessus. Je sais de quoi je parle.

Il faut bouger maintenant. Il y a peu, j'ai tester l'exploit d'aller au réfectoire seule. Je n'ai pas arrêter de baliser pendant tout le temps que j'avais mis à y aller. La suite c'est empiré, mais j'ai eu une once de bonheur dans mon malheur. Je suis tellement habituée à ce que la merde me tombe dessus... faut croire qu'il y a des gens comme ça, qui ne sont pas fait pour qu'on leur foute la paix.
Je m'assoie sur le bord de mon lit. Toujours aussi dur. Je jette un regard désespérée autour de moi, avec l'espoir complètement crédule de voir comme une issue à mon enfer, un ange me tendant la main, un trou dans le mur de Sadismus... ou la paix elle-même, sous toute ses formes.
Ces putains de pensées me font méditer sur ma place sur terre, et un sourire vide tire mes lèvres.
Ta place, elle est six pieds sous terre.
Pas maintenant.

Non, pas maintenant. Je ne peux pas quitter ce monde alors que des gens se tournent vers moi. C'est peut-être de la duperie, pour un jour profiter de moi, comme ils ont tous fait, mais j'ose espérer que non. J'ai toujours espérer, toujours, pour avancer... On ce prend des murs, mais parfois - même si je ne connais pas ces fois là - espérer nous sauve.

Je finis par me lever. J'ai pris quelque réflexe depuis mon arrivée, notamment celle de soulever mon matelas contre le mur après m'être levée. J'ai l'impression qu'il ne pourrira pas, comme ça... ou bien c'est juste pour me donner une contenance. Faible devoirs de ma journée.
Je tend l'oreille. Pas de bruit autour de moi. Personne ne semble arpenter les couloirs des prisonnier. Prisonnière. Moi. Le monde ne doit plus tourner rond...
Bien sûr que si, il tourne rond. C'est seulement de ta faute si tu es là ma pauvre, ils avaient besoin d'un coupable, tu t'es présentée comme tel. Pauvre idiote.
J'avais peur.
Mais j'ai toujours autant peur. Je le montre un peu moins, j'apprend à cacher ma faiblesse, même si c'est encore très dur. J'essaie de suivre les pistes que l'on ma montré à mon arrivée, j'essaie d'avancer sans me faire butter.
Mais tu crèvera quand même, tôt, seule et apeurée, battue à mort. Tu ne pourra rien contre ça.
Et ma petite conscience qui me ramène toujours brutalement sur terre. Je ne pourrai pas vivre sans la voie de la raison qu'elle représente pour moi.
Et je plonge, je m'enfonce, fièrement et avec le sourire, s'il vous plaît.

Je décide de sortir de ma cellule, enfin. Après avoir longuement fait attention à ce qu'il n'y ai personne dans le couloir, je sors et commence à déambuler dans le simple but de m'y habituer, et aussi de me dégourdir les pattes.

Une faible douleur au sternum m'envoie des souvenirs plein le crâne et je m'arrête près de la rambarde. Se reposer, oui...
Je lève les yeux et remarque que je suis prés de la cellule d'une des premières prisonnière que j'ai rencontré et qui m'a aidé; sauf qu'elle n'est pas là. Je continu à avancer, regardant dans les cellules. Il n'y a personne que je connais - à vrai dire, il n'y a personne. Etrangement, plus j'avance, plus je me rend compte qu'aucun d'entre eux n'est là, plus je sens le stresse monter, la panique avec. Mes entrailles commencent à se nouer.
Souffle Sadé; il est temps d'avancer un peu seule. Tu verras bien où tout cela te mène.
Je vais devoir trouver des bandes... pour la jambe de mon requin. Je m'en veux tellement de son mal. A cause de moi... j'ai mûrement réfléchit à tout ça. S'il s'est fait blessé, c'est entièrement de ma faute.
Il ne manquait plus que ça pour m'enfoncer d'avantage. Pauvre idiote que tu fais, ma petite souris...
Mais fait attention où tu vas.
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Lynch Payne
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MessageSujet: Re: L'Enfer continu...   L'Enfer continu... Icon_minitimeJeu 10 Juil - 11:46

Je reviens à ma cellule d'un pas lent, le regard vague. Pour le moment, mes idées sont un peu floues, mais elle redeviendront bientôt nettes, je le sais. J'ai ingurgité suffisamment de sédatifs au cours de ma vie pour connaitre exactement leurs effets, à peu de choses près je pourrait dire leur marque. Toutefois, vu les doses que ces enfoirés me filent ces derniers temps, je passe généralement un peu de temps dans ma cellule après chaque injection, à attendre que le gros des effets se dissipent. Une demi heure suffit en général. Je profite de ce laps de temps pour réfléchir aux moyens qui me permettraient de me tirer de cette prison de merde. Justement, je fais l'inventaire de ce dont j'ai besoin dans un premier temps: une arme (ou du moins la certitude que je pourrai m'en procurer une le moment venu), les horaires de ravitaillement de la prison, du fric. il faut aussi se débrouiller pour que les caméras soient HS, ou qu'il n'y ai personne pour vérifier ce qu'elles retransmettent. Je réfléchis aux différents moyens de faire cela. Soudain je sens qu'on me percute, je recule d'un pas sous la surprise, et regarde qui est là. Une minuscule prisonnière, qui m'est rentrée dedans. Abrutie, je vais la... J'ai du mal à m'énerver, je sens mon poing se serrer, ma raison me hurle de lui apprendre ce qu'il en coûte de me foncer dessus, mais je n'ai pas le courage de le faire. Fichus médicaments. Je l'observe attentivement. Qu'est ce que c'est que ce délire, un gamin? Ou plutôt, une gamine? Je marmonne un juron, l'attrape par le col et l'attire à moi.

"-Fais gaffe où tu marche petite merde."


J'ai envie de lui foutre quelques coups histoire qu'elle enregistre, mais ce désir me parait bien faible, et je me contente de la jeter par terre. Une idée me vient. Je sais d'expérience que les personnes frêles et innocentes (quoi qu'elle ne doit pas vraiment l'être si on l'a envoyée ici) peuvent être utiles... Et même très utiles.

"-Hmm... tu pourrais me servir a quelque chose..."


Je suis mon idée. Rien de mieux qu'une "petite fille" dans son genre pour faucher des trucs ou passer des messages, voir filer quelqu'un.
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Sadé Cuida
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MessageSujet: Re: L'Enfer continu...   L'Enfer continu... Icon_minitimeJeu 10 Juil - 18:12

Oui, tu aurais dû faire attention.
Mais je n'ai pas le temps de me rendre compte de quoi que se soit, encore moins de m'excuser platement. Une main forte vient prendre mon col de sweat en m'étranglant à moitié et m'approche d'un visage. Mes yeux sont fermés, je tremble, je ne comprend plus rien. Surtout, ne pas le regarder.

Je n'ai pas le temps de réfléchir, par le temps de me débattre, pas le temps d'entendre ce qu'il me dit. Quelques secondes passent alors que je suis encore suspendue en l'air et je me mets à espérer qu'il va me reposer doucement...
Mes petits membres sont recroquevillés au possible, mes poings serrés, les bras en croix. La peur monte, suivit de la panique, et un sentiment très connu, l'angoisse.
Oui, je connais ces situations. Je les connaît pour les avoir vécues.

Mais ça ne dure pas. Une force surhumaine m'envoie à quelques mètres plus loin, m'éclatant sur le sol. Je n'ai pas ouvert les yeux. Je n'ai pas cherché à amortir les coups. Je rebondis sur le sol, réprime un gémissement de douleur, et me met en boule sur le sol. Sans aucun contrôle de moi-même, je tremble. Comme si j'étais frigorifiée, mais c'est à peu de chose prés. Frigorifiée dans l'âme, la peur dans l'être, l'angoisse dans le corps.
Je m'efforce à penser aux autres. J'ai besoin d'eux, là maintenant. Les paroles optimistes des deux filles, le soutient du jeune homme. Mais ça fuse dans mon esprit, effacé par le présent, écrasé par la réalité. Je n'entend plus rien, ne vois plus rien.
C'est normal...

Ouvre les yeux.
Ca, jamais! Si les règles que j'avais apprises ne comptent pas pour les autres, elles comptent sans aucun doute pour lui. Sa force, sa violence; j'avais réussis à l'oublier pendant un instant. J'avais réussis à oublier que j'étais en danger. Négligente!
Oui, négligente, je suis fautive de ma situation, je ne mérite plus rien, je dois obéir au mieux, ne pas le fâcher, ne pas l'agacer.
Tremblante, je force sur mes bras endolorie. Ma respiration est saccadée et me rappel mes côtes cassées. Je grimace, réprime un autre gémissement, et finis par me mettre à genoux.
Ne pas lever les yeux.
Alors je baisse la tête. Face à lui, tête baissé, genoux à terre. Il ne peut rien me reprocher, j'ai tout appris pour éviter le pire... tout devrait aller bien.
Sauf que rien ne va plus.

Mon coeur s'emballe, proche de la crise, mes poumons s'enflamment, mes côtes hurlent, et moi je baisse la tête.

Il me dit que je pourrai lui servir. Servir à quoi? Je connais trop ça. Je ne suis plus faite pour ça. J'ai goûté à mieux...
Mais ne sois pas si ambitieuse ma petite. N'oublie pas ce que tu es avant tout.
Non, j'oublie pas.

"Ou...ou...oui..."

Ma voix déraille, elle faiblit. Je sens qu'elle va partir. Je tremble tant, j'ai du mal à tenir sur mes genoux. Je sens son regard sur ma nuque, j'ai peur, je ne sais pas ce qu'il va faire. Je ne regarde même pas ses pieds. Mes oreilles bourdonnes, le sang bat mes veines. Non, je ne m'en sortirai pas indemne.

Si je pouvais me fondre dans le sol, disparaître...
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Lynch Payne
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MessageSujet: Re: L'Enfer continu...   L'Enfer continu... Icon_minitimeVen 11 Juil - 16:09

Je me gratte pensivement la barbe. Étrange, je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi pathétique et pitoyable, qui se soumet autant à la domination d'autrui, qui n'a même pas un geste de protestation. Elle n'a même pas fait d'effort pour atténuer la chute. Elle pousse l'humiliation jusqu'à se mettre péniblement à genoux à mes pieds, courbée. Finalement c'est peut être pas gagné... puis je vraiment en faire quelque chose? J'observe le corps tremblotant à mes pieds, l'examine. Je pourrai sans doute l'utiliser, oui, mais pas avant de lui avoir appris un minimum malgré ses dispositions naturelles: elle n'attire absolument pas l'attention, et fais même preuve d'une grande discrétion. C'est tout juste si je l'ai remarquée une ou deux fois, et alors, je l'ai immédiatement négligée. Oui, je peux utiliser cela.

"Ou...ou...oui..."

Je suis surpris. je prends soudain conscience que c'est elle. Elle a osé parlée! Pour marquer sa soumission, certes, mais tout de même... Je prends soudain ma décision. Je la saisis d'une poigne ferme par l'épaule et la relève. Une plume, je me demande à nouveau qu'est ce que cette gamine fout ici. Bah, ça ne m'intéresse pas finalement. Je lui soulève le menton et observe son visage sous tous les angles. Puis plante mes yeux dans les siens. Je souris légèrement.

"-Tu vas m'obéir. Je vais me servir de toi, et tu ne poseras pas de question, tu te contenteras d'obéir à mes ordres. Compris?"


Je la relâche et la jauge d'un bref coup d'œil. Elle est certes discrète, mais très vulnérable. Vu qu'à mon avis, on peut l'incapaciter pour des mois en quelques coups bien placés, mieux vaux m'assurer qu'on ne la toucheras pas.

"-Si, avec qui que ce soit, tu as un problème, qu'on te menace, qu'on te frappe, ou même qu'on te regarde trop attentivement, préviens moi aussitôt. Je règlerai le problème. Personne n'abimeras mon billet pour la liberté."

Je songes que je la terrorise sans doute plus que n'importe qui et qu'elle doit me considérer comme une sacrée menace. Ce en quoi elle n'a pas tort d'ailleurs. Mais qu'elle me craigne, c'est normal, et même nécessaire, du moment qu'elle obéit et m'est utile, je ne lui donnerai aucune raison de me haïr. Mais j'attends qu'elle parle et accepte son sort.

"-Compris?"

Tout doit être clair. Et j'ai une excellente idée pour tester son obéissance et ses capacités. J'aurai besoin de vêtements de gardiens pour mon évasion...
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MessageSujet: Re: L'Enfer continu...   L'Enfer continu... Icon_minitimeVen 11 Juil - 17:00

Il revient me chercher à terre. Pour me frapper? M'écraser? Me tordre le cou? Non.
Une vive douleur à l'épaule m'indique qu'il vient de me l'étreindre et me porte pour que je me mette sur mes pieds. Je n'ai plus de place pour la peur, c'est l'angoisse qui tord désormais mes entrailles. Tête basse, je regarde ses chaussures dans broncher, tremblante, faible.
Ma respiration est difficile. J'ai encore mal à la poitrine. On m'a dit que ça prendrait un peu de temps avant d'aller mieux. Mais il ne faut pas lui montrer que je souffre. Ils n'aiment pas quand on leur montre nos souffrance. Je le sais.

Sa main vient me prendre le menton et m'obliger à le regarder. Mes yeux dérivent, évitent au possible, mais il n'y a rien à faire. Je finis pas le regarder en face. La peur doit être gravée dans ma pupille. Je tremble encore d'avantage. Qu'il ne me fasse pas mal, s'il vous plaît...
Qui est-ce qui tu es entrain de supplier?
...
C'est bien ce que je pensais.

Obéir. Il me demande d'obéir. Je hoche la tête, faisant de grand "oui", les yeux écarquillés. Il lâche mon visage. Je baisse les yeux vers le sol en continuant mes "oui" de la tête. Les mains jointes, nerveuses.
Je me souviens... oui, oui... me servir de toi... oui, oui... obéir... oui, oui.

Je sens son regard peser sur moi. Pourvu qu'il ne me frappe pas, qu'il ne me fasse pas de mal. Mes yeux s'humidifient dangereusement, mais je ravale mes larmes. Non pas par fierté, plutôt par nécessité. Il ne faut pas leur montrer que tu pleures.

Mais alors je ne comprend plus rien. Le voilà qu'il me dit qu'il faudra que je lui dise si j'ai un problème avec quelqu'un... je ne sais plus comment réagir. J'ose pendant un quart de seconde lever les yeux vers son visage et je remarque qu'il semble sérieux. Il me regarde de haut en bas. A-t-il peur pour ma santé? Il n'est peut-être pas si mauvais que ça, juste un peu bourru. Je devrais me détendre un peu. Ca pourrai le vexer de me voir si apeurée devant lui alors qu'il ne me veut aucune mal.

Je hoche la tête. "Oui". Mais ne parle pas. Ca ne sert à rien, je n'ai plus de voix. A chaque fois que l'émotion est trop forte, ma voix s'envole. Il n'y a rien à faire. Je me redresse un peu, au prix d'une douleur à la poitrine. Je réprime une grimace et souris faiblement.
Non, je ne parlerai pas.
Ne pose pas de question, ne parle pas. Ecoute simplement, et obéis. Oui. Obéis. Oui.

Néanmoins, je me demande juste ce qu'il veut que je fasse. Il n'y a certainement pas que le devoir de l'avertir si j'ai des ennuis avec les autres. Il doit y avoir quelque chose d'autre. Quelque chose d'autre, oui...

A son "compris", je répond encore par un geste de la tête. Je me rend tout juste compte que ça pourrai l'énerver plus qu'autre chose, alors je me force à l'ouvrir un peu.

"Ou...Oui"

Faible, indistinct, lointain.
Mon coeur tape contre mes côtes et me fait mal. Mais ce n'est pas le moment.
Ce n'est jamais le moment.
On dirait que ton Enfer n'est pas finit.
Non, il continu son petit bonhomme de chemin, fier de me traîné aux pires endroits. J'aurai dû être prudente. Je n'ai pas été prudente. J'aurai dû. a
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