Szayel

(Je tenais à préciser que ça fait plus d'une semaine que je bosse sur cette présentation. J'ai pas pour habitude de faire du rôle play qu'à la première personne, j'ai essayé de m'adapter au mieux que je pouvais.)



Prénom : Je me nomme Szayel, j’ai bien d’autres noms mais celui là vous suffira. Si vous êtes trop curieux lisez le dossier d’interpool, si je me rappel bien ils ont référencé certains de mes autres prénoms.

Sexe : Malgré que je porte du rose et que j’ai les cheveux, eux aussi rose, ainsi qu’une tenue blanche très moulante qui me rends encore plus efféminé, je suis bel et bien un homme. Un soir si tu veux je te prouverais, tu prends rendez vous ?

Âge : J’ai maintenant vingt quatre ans, et quatorze longues années que je fuis les autorités même si ils ont compris qui j’étais depuis juste quatre ans - Depuis l’âge de dix ans je devrais être en prison mais personne n’a jamais su que c’était moi, sauf depuis mes vingt ans -. Je me suis fait attrapé bêtement…

Traits physiques : Des cheveux rose bonbon, une tenue blanche qui font que je suis très efféminé et mon visage fin et ovale n’arrange pas les choses. Ça ne change pas que je m’aime comme je suis ! Je suis grand et maigre et j’arrive à me tenir droit et fière. Ce n’est parce qu’on est grand et maigre qu’on est obligé d’être courbé, les gens ont de drôles de clichés des fois…
Des yeux oranges qui m’ont fait regretter de les avoir eu comme ça à la naissance et qui a fait regretter à d’autre de s’être moqué de moi. Qui plus est, au soleil la couleur orange s’intensifie, c’est encore incompréhensible pour moi-même et ça ne le sera sûrement jamais. Une peau blanche qui fait qu'au soleil on ne voit que ces yeux. Je porte des lunettes pour la myopie, c’est dur de tuer quand on perds ses lunettes. La monture de ces lunettes est faites en os humain, j’ai tué huit personnes pour les faire fabriquer ainsi que les deux barrettes qui tiennent mes cheveux. J’ai du menacer le fabriquant - je crois qu’il n’avait pas compris que c’était des os humain - et j’ai du le manger pour ne pas laisser de trace -.
Maigre ne rime pas avec « pas costaud », j’ai du me forger des muscles pour tenir mes victimes en place, je m’entraîne souvent pour ne pas perdre la musculature que j’ai acquise avec le temps.
J’ai des tatouages sur certaines parties du corps, principalement du à une passion pour le japon. J’ai plus de trente kanji sur le corps, différents mots qui me qualifient. Sur chacune des épaules j’ai une sorte d’ancien sigle japonais signifiant quelque chose qui est important à mes yeux… Ainsi que dans le cou le chiffre huit est représenté dans un style gothique. Pourquoi le huit ? Je ne sais pas, j’aime le huit. Peut être parce que je suis né un huit août.
Étant donné que je suis un fugitif et que les victimes ne se laissent pas tout le temps faire j’ai des cicatrices un peu partout sur le corps. Allant d’un simple coup de couteau à la balle de révolver. Le flic qui m’a tiré dessus aurait du réfléchir à deux fois avant de le faire, aujourd’hui il repose certains de ses ossements dans les égouts et il fait partis des gens qui ont participé à la fabrication de mes lunettes.

Taille : Comme je le disais plutôt je suis grand, je fais un mètre quatre vingt aux dernières nouvelles…. Oui je sais pas trop étant donné que la dernière fois que je me suis mesuré j’avais dix sept ans.

Poids : Je suis maigre, on pourrait qualifier ça de poids normal mais je préfère dire que je suis maigre. Je pèse cinquante sept kilos mais encore une fois je peux avoir pris comme perdus, ça peut changer en sept ans…

Maladie ou handicap physique : Physiquement je n’ai pas de soucis, peut être mes dents… Elles sont comme les monstres imaginaires que sont les vampires mais personne fait attention où alors n’a pas le temps de se moquer de moi sur ce problème. D’avoir les yeux orangés ce n’est pas une maladie mais faut aussi faire attention à ce qu’on dit dessus.

Autres : Qu’est-ce que je pourrais dire d’autre…hum…Rien, je pense que tout le reste suffit à en savoir pas mal sur moi.



Qualités : D’être surdoué c’est pas mal non ? J’ai un QI au dessus de la normal mais j’ai jamais brillé à l'école et personne ne s‘est posé de questions. En effet j’ai 169 de QI et une très bonne culture générale mais tout le monde s’en fout, je suis un tueur à leurs yeux, je suis pourtant pas méchant. Je suis un des rares gentleman encore en vie sur cette terre. Donc à part être intelligent et gentleman avec les demoiselles… Ah ! Oui je suis curieux, on dit que la curiosité est un bien vilain défaut je préfère dire que c’est l’une des plus belle qualité qu’un homme peut posséder. Si j’étais pas curieux, je n’aurais pas réussis échapper à la police aussi longtemps, bien que maintenant je sois ici…
Des qualités je dois en avoir d’autres mais c’est seulement celle là qui ressorte chez moi facilement, en plus on ne peux pas jugé sois même de nos qualités. On peut se prendre pour une personne pleine de qualités ou de défauts alors que les autres pensent le contraire.

Défauts : Des défauts j’en est à revendre, si une quelconque personne est intéressée qu’elle me le fasse savoir. Mon plus gros défauts c’est la jalousie qui peut entraîner une envie de manger impossible à satisfaire - Comme la fois où la seule fille qui avait daigné sortir avec moi m’avait trompé, je suis arrivé dans la chambre et je l’ai est tous les deux manger, ainsi que la colocataire et en repartant la concierge m’a interpellé, elle a finis elle aussi dans mon estomac… Elle avait un goûts de punaise, j’en garde ,cette fois, pas un bon souvenir. Rien que d’y penser j’ai envie de vomir. -. Après ce n’est pas forcément un défaut, je dirais que c’est naturel pour moi mais pour les autres ça ne l’est pas, donc je vais dire sur ce dossier que c’est un défaut, le fait d’être cannibale. J’aime ça, j’y suis pour rien mais pour les autres c’est pas compréhensible et c’est fort dommage… Et encore une fois je vais pas tergiverser sur la question mais j’en est plein, il faut que je reste bref et correct.

Aime : J’aime beaucoup de choses, certes la viande humaine fait partie de ces choses mais faut pas croire que je mange que de l’humain. Je mange notamment du nutella ! Je voue un culte à ce chocolat qui est si délicieux, j’ai testé avec des morceaux d’humains, le meilleur c’est avec les yeux ! C’est d’un délice ! J’en bave en y repensant.
Outre la nourriture, je suis malgré mon âge un fan du japon, « fan » ça fait un peu gamin mais c‘est ma destination rêve. Je sais qu’un jour j’irais là bas vivre ! Les nippons sont peut être d’un goût épicé, qui sait ?
Je n’utilise pas que mes dents pour tuer, je suis cannibale mais mordre comme un chien c’est pas mon dada, j’utilise des armes blanches que je collectionne, j’importe du japon des katanas, ça vaut une petite fortune mais j’avais un bon boulot. Je dois avoir si je me rappel bien, plus d’une vingtaine de katanas, vous n’imaginez même pas si un voleur entre et les prends, combien il pourrait gagner à la revente. Encore faudrait qu’il ressorte de la maison en vie.
J’étais ce qu’on appel un geek, un accro à l’ordinateur que ce soit sur Internet ou dans les jeux vidéo, maintenant j’ai tout gagné je peux plus avoir d’accès à l’informatique. Je sais pas comment je vais faire ici, je vais devenir fou.
Je peux pas vivre sans manger de la chair humaine de temps en temps mais aussi je ne peux pas me passer de mon ipod rempli de musiques, j’espère au moins qu’on me le laissera en prison ! Après hum… je crois déjà avoir dis pas mal de chose, passons aux choses que j’aime pas.

N'aime pas : Faut que je refasse un roman comme pour tout ce que j’aime ? Je peux pas tout dire. Souvent ce que j’aime pas ça en devient des phobies. J’ai le vertige, ne me faites même pas monté sur une chaise ou tout ce qui à tendance à trop bouger, ça peut paraître très ridicule mais je m’en fou, tout le monde à des peurs même les grands criminels en ont… Après le vertige j’aime pas aller en mer pour la simple raison que j’ai peur des requins, pourtant grand carnivore mais je peux pas ! En plus dans la mer il y a plein de poissons bizarre, des choses qui grouillent et j’ai horreur de ça !
Bref si on continue dans les insectes, animaux et compagnie vous pouvez rajoutez les insectes qui piquent, les petites araignées - c’est dure à tuer quand c’est petit  -, et plein d’autres choses diverses et variées.
C’est sur qu’on peut aller loin dans ce que j’aime pas donc je vais arrêter avec mes peurs, ça vous suffit !

Comportement avec les gens : C’est très aléatoire, je ne suis pas un mauvais bougre non plus. Certes je suis cannibale mais je suis quand même sociable quand il le faut. J’ai bien eu une petite amie malgré que je l’ai mangé mais c’était pour une bonne raison que j’ai expliqué plus haut dans le dossier.
Je ne pense pas avoir de soucis avec les gardiens, sauf si ils me tapent ou m’énervent mais normalement c’est leur boulot de rester au maximum calme et de ne pas avoir trop de rapport avec les prisonniers.
Et avec les autres prisonniers je pense qu’il n’y a que le soucis que je sois une personne cannibale sinon je vois pas ce qui pourrait les déranger chez moi. Je pense plutôt bien m’entendre avec tout le monde.

Maladie ou handicap mental : Une maladie ? On peut qualifier le cannibalisme comme tel ? Je ne pense pas. Je me suis rendu compte de ce « problème » - Je trouve pas que ce soit un problème, c’est bon la chair humaine - lorsque j’étais enfant où j’ai tué mon petit frère alors âgé de six ans et moi de dix. Je sais très bien que j’aimais le sang mais jamais chez les autres, je ne sais pas ce qui m’a plut ce jour où il s’est égratigné le genou en jouant au foot mais quelque chose à fait que j’ai eu envie de lui lécher le genou, c’était la première fois que je goûté le sang d’un autre. Son sang m’est resté dans la bouche toute la journée et pendant la nuit je l’ai tué puis complètement dévoré. Je n’en garde que des bons souvenirs, mes parents croient que mon petit frère s’est fait enlevé ou qu’il a fait une fugue, ils trouveront peut être un jour dans le jardin les ossements d’Il Forte - le fameux repas, le petit frère - depuis j’en est mangé plein, certains personnes avaient plus de saveur que d’autre, enfin vous ne me comprenez pas…

Valeurs : Des valeurs ? Il y en a tellement qu’un homme peut avoir, il existe aussi différents types de valeurs… Ça va être long si je fais tout, on va se contenter d’un simple petit résumé de ce que je respecte et de ce que ne respecte pas, ou plus..
Je suis pour l’égalité des sexes, une femme a autant le droit de faire un boulot qu’on prévois d’être unique pour les hommes. Je suis aussi pour l’égalité devant la loi, on doit jugé tout le monde de la même façon, on doit pas faire d’exception car un tel est malade ou encore l’autre était pas en état de gérer ses sentiments lors du meurtre même si je sais ce que ça fais de perdre le contrôle de soi-même.
J’aimerais respecté la fraternité mais je peux pas à cause du fait que je suis cannibale, les gens n’aiment pas ce genre de personnes. Les humains tuent tout ce qui est inexplicable et donc je suis voué à mourir si je veux vivre en communauté avec les autres. Et en l’occurrence je suis pour le respect d’autrui, on ne me respecte pas, ça arrive mais cela ne dure généralement pas longtemps…
La justice, un bien grand mot que certains ne comprennent pas complètement. Je ne parle pas de la justice en tant qu’institution judiciaire avec la loi et tout le reste qui va avec mais de l’idée de la justice. En effet je suis pour le fait de donner à chacun ce qu’il doit recevoir, un tueur doit être tuer - en l’occurrence j’en est mangé des tueurs -, un violeur doit être privé de ses appareils génitaux etc…
La guerre ne devrait pas existé, se battre pour un bout de terre ou pour de l’argent ne serre réellement à rien, je suis pour la paix !
Sur l’amour je préfère pas trop me prononcer, j’ai eu deux histoires qui sont malheureusement terminé très mal et donc l’amour, le coup de foudre, je n’y crois plus.
Il y a encore plein de choses que je respecte et d’autre que je respecte pas mais je trouve déjà tout ce que j’ai dit très long…

Tics : Enfin une catégorie sur laquelle je ne sais pas trop quoi dire ! Ma mère avait remarqué que je passé souvent ma langue sur mes lèvres, j’ai personnellement jamais fait attention. Le seul tic que je connais chez moi c’est que je mordille souvent le labret droit - c’est à dire pour ceux qui connaissent pas, le coin de la lèvre inférieur -. Quand j’étais jeune j’ai pris un mauvais coup sur la bouche et du coup j’ai une sorte de boule qui s’est formé et je mordille tout le temps..

Passé :

Je vais vous raconter un moment de ma vie choisi par moi-même, c’est un moment très important à mes yeux et qui fait que tout ce qui est étrange chez moi devient « normal » . Ce passage est sur ma découverte du cannibalisme.



Si mes souvenirs sont bon c’était un samedi après midi - désolé de pas être sur du jour c’est un des rares détails que j’ai oublié -. Il faisait chaud dehors, une envie d’aller dehors parcourais tout mon corps, je tenais plus en place devant mon ordinateur. Pour une fois que j’avais envie de sortir fallait que j’en profite. Je suis aller chercher mon petit frère de six ans pour lui apprendre quelques techniques que je connaissais au foot, en plus ça l’aurait bien occuper toute l’après midi.
Nous voilà avec mon ballon de foot signé par Thomas Price, le gardien du Bayern de Munich - Grand fan de cette équipe, maintenant je trouve le foot dénuer d’intérêt -, on sors dans le jardin. Le soleil tapait fort, on est rentré à nouveau pour prendre chacun une casquette. Bien sur ma casquette était au fond du bac de chapeau !
Enfin on ressort de la maison, casquette sur la tête, ballon dans mes bras. Je sors avec l’aide d’Il Forte la cage de but. Je me met au cage pour qu’il s’échauffe un peu. Il était jeune mais il a de la frappe, j’encaisse pour le moment aucun but mais j’ai l’impression au fil des tirs qu’il prend de la précision ainsi que de la force. J’ai eu raison, au bout du vingtième tirs et quelques, le ballon fuse je saute en essayant de bien étendre ma main pour stopper le ballon mais à ce moment il prends un effet inattendu il remonte vers le haut et rentre dans les cages. Je me rappel l’avoir regardé longuement, le voyant sauté dans tous les sens exprimant sa joie.Je ne pu que le félicité de ce superbe tir, il en revenait pas trop lui-même - Il aurait eu une grande carrière de footballeur professionnel… -.

Il était donc temps de passer à l’entrainement technique et arrêter de s’amuser à essayer de marquer un but à son grand frère. J’ai décidé de sortir de la maison, on avait pas assez de place dans le jardin de la maison. On a mis une dizaines de minutes pour arriver au mini terrain de foot. Il avait été agrandi par le maire de la ville, maintenant on avait un terrain de cinquante mètres de longueur sur trente mètres de long. Il y avait déjà des jeunes qui jouaient mais heureusement pour nous ils ne prenaient qu’une partie de terrain, on pris alors la deuxième moitié de terrain, la seule disponible. Il fallait que je commence par lui enseigné par un passement de jambes assez simple mais qui lui permettait d’apprendre de belle base pour de futurs techniques bien plus compliquées. Il se débrouillait très bien, au bout d’un moment je lui appris à faire une belle reprise de volée mais au début je le faisait pas sauter en l’air pour par exemple faire une retourné acrobatique - Il n’avait que six ans - mais encore une fois il se débrouillait très bien, il devait être en grande forme ce jour là. Il fallait que je lui montre ce que c’était une retourné acrobatique. J’étais fort pour ce genre de figure, ça me posait aucun soucis apparent pour la faire. Une fois que lui est montré je me mis sur la ligne de corner et je tape dans le ballon de la meilleur façon possible pour qu’il puisse en faire une correcte pour un enfant de son âge. Il se positionne , saute, tape dans le ballon mais malheureusement n’arrive pas à se réceptionner et tombe lourdement sur le sol. En grand frère que je suis ! J’accours sur lui pour voir si il ne sait pas blesser, il n’était pas à l’agonie mais il avait mal à la jambe droite. Il avait sa main dessus donc je pouvais pas vraiment voir ce qu’il avait. Dans ce genre de situation on se demande si il a un membre cassé. Ce n’était pas le cas, il avait une simple égratignure sur le genou, pas de quoi faire un drame, un peu de sang sortait.
Ce jour là je sais pas ce qui m’a pris, une envie soudaine de lécher le genou, j’ai d'abord essuyé le genou en mettant juste de la bave sur mon doigt. Puis j’ai lécher le sang qui coulait. J’avais pour habitude de mon sang, le petit goût de fer qui reste dans la bouche pendant quelque heures. Mais là le sang d’Il Forte n’avait pas cette saveur à laquelle je m’étais habitué, c’était tellement bon que je me suis mis à beaucoup sucé le sang de mon petit frère, jusqu’à qu’il pousse un gémissement parce que je l’avais mordu sans faire exprès. Je l’avais juste pincer avec mes dents, je ne l’avais pas blessé mais il me regardé avec de gros yeux. Je me suis tout de suite excusé et on est rentré à la maison pour soigner son genou.

J’ai du mal à me souvenir de l’heure, des jours, je dois avoir un problème à ce niveau là. Mais il était environ cinq heures quand on est rentré, on est aller chacun de notre côté en attendant le repas. Je suis pas sur de moi mais sur le visage d’Il Forte on voyait bien qu’il ne me regardait pas du tout comme avant. Il était huit heures quand maman venait chercher chacun de ses hommes, j’étais encore une fois le dernier qu’elle venait chercher - Surement le meilleur pour la fin -. J’étais à l’étage à ce moment là, il fallait descendre les escaliers. Le sang d’Il Forte, enfin le goût de son sang était encore dans ma bouche, je faisais que penser à cette accident et au moment où j’ai mordu sans vraiment le vouloir.
Papa était rentré tard, d’habitude il rentrait vers sept heures mais apparemment ce soir là il y avait du avoir une chose importante à faire. C’était pas le premier soir qu’il faisait ça et je me demandais si il trompé pas maman. J’osais pas lui en parler, il m’aurait surement frapper si j’avais osé dire une tel absurdité. Il Forte était déjà assis à table, il me regarda longuement avant de regarder ailleurs comme pour éviter mes yeux orangés.
Je me met en face de papa, il a un air renfrogné ce soir, je sais pas trop quoi lui dire. Je me retient et demande à maman ce qu’il y a de bon à manger. Et j’aurais mieux fait de pas demander étant donné que c’était choux de Bruxelles. Je lui avait déjà dit plusieurs fois que je n’aimais pas les légumes mais rien à faire…
Le repas se passe plutôt bien, j’ai réussi à pratiquement tout finir malgré quelques hauts le cœur. Je vais en courant à la salle de bain, je voulais passé premier ce soir. Malgré que je me sois bien lavé les dents - à m’en faire saigner -, je pensé perdre le goût que j’avais dans la bouche. Et bien non, j’avais toujours cette sensation d’avoir une chose étrangère en moi, c’est délicieux en plus.
Je me dirige vers mon lit, je croise Il Forte, tête baissé, je comprends toujours pas pourquoi… Serait-ce le fait que je l’ai mordu sans faire exprès ? Ou le fait que je me sois mis à sucer son sang ? - Je ne saurais jamais - Il était maintenant neuf heures, il faisait presque nuit, je pris un manga et me mis à le lire tranquillement. Je pensais pouvoir rester calme en lisant mon livre mais non, j’étais obnubilé par ce sang. Il fallait que j’en reprenne. La chambre de mon petit frère était à l’étage, au fond du couloir - Moi étant la première pièce de ce couloir -, mes parents étaient au rez de chaussé donc je pense pas qu’ils nous entendent, plutôt qu’ils m’entendent. J’arrive enfin dans la chambre, il était en train de dormir paisiblement. Je monte dans le lit, il commence à gémir donc je me stop immédiatement pour ne pas qu’il se réveille. Il se rendort, je pose délicatement mes mains autour de son cou… je commence à serrer de toute mes forces, il se réveille en sursaut, des yeux à faire peur mais je suis tellement motivé par ce sang que je n’y prête aucun attention. C’est la première fois que je voyais la vie quitter un corps, au début le spécimen se rends compte de ce qu’il lui arrive, il essaye de lutté mais c’est vain surtout pour un jeune garçon de six ans. Et plus on serre, moins le corps lutte et au bout de quelques secondes le corps est inerte, il ne bouge plus c’est alors que je me suis rendu compte que j’avais commis mon premier meurtre.

A mon âge c’était dur de se débarrasser du corps. C’était pas forcément le plus gros problème étant donné que je voulais regoûter son sang. Je ne savais pas comment m’y prendre, je regardais ce jeune corps et toute les possibilités qui s’ouvraient à moi. Il fallait que je trouve un moyen de ne pas trop le saigner, sinon le lendemain matin j’aurais eu de grave ennuis. Alors il fallait que je trouve un moyen de faire ça dehors. Le problème c’est qu’on était à l’étage, comment je pouvais descendre sans faire de bruit ? J’ai tout de suite pensé à la fenêtre, heureusement que la chambre des parents était loin, sinon ils auraient entendu le corps qui tombait. Il ne restait plus que je descende - En clair le plus difficile -. Vu qu’il n’était que dix heures il y avait des chances qu’ils soient réveillés - Les parents -, je fais attention dans les escaliers, je ne vois pas de lumière dans le salon. Je m’approche de la porte de leur chambre, c’est alors que j’entends des sortes de gémissement, de froissement de couverture, ce devait être encore un soir où il font l’amour. Cette semaine là ça devait être la quatrième fois qu’il le faisais… Me voilà enfin dehors, je dois faire encore le tour de la maison avant d’arriver devant mon futur repas. Je l’attrape et me voilà partis pour notre cachette secrète, personne n’irais chercher là dedans. Un avantage comme un autre d’être née dans une famille aisée, un jardin spacieux - mais pas assez bien pour le foot -, avec de multiples possibilités de cachettes.
On arrive enfin sur place, je dépose ce jeune corps. La première question qui me passe à l’esprit : Je mords ou ? Je me suis vite lancé, en commençant par le bras, c’était dur, je réussis à ne faire que deux petits trous dans la chair qui pourtant, était tendre……

Vous attendiez la suite non ? Et bien.. Je ne la donnerais pas, en effet ce moment doit être un des plus beau de ma vie, je ne divulgue pas autant de choses d’un coup, ça gâcherait les bons souvenirs que j’en est.

Autres : Après cette première expérience, je me suis renseigné sur Internet pour comprendre ce que j’avais fait. J’ai compris en lisant sur un site que j’étais un cannibale, c’est-à-dire un homme qui consomme d’autres hommes. On peut me qualifier aussi d’anthropophage . J’ai pu me rendre compte que je n’étais pas le seul sur terre à faire ça. Ce n’est pas accepté, c’est même puni par la loi mais je ne peut pas, ne pas manger de la chair humaine de temps en temps !



Crime(s) commit(ts) : J’ai commencé lorsque j’avais dix ans avec mon petit frère, j’ai continué après, avec différents corps. Huit personnes ont servis pour mes lunettes. J’ai tué un flic. J’ai tué une ancienne copine et son amant, ainsi que la concierge de l’immeuble. Hum… Et plein d’autres, je ne l’est pas compté.

Matricule : 888888

Rang : Octavo Espada

No. de cellule : A vous de décider.

Personnage sur l'avatar : Szayel Apporo Grantz de Bleach

C'est excellent, 'ai adoré ta fiche et je ne tarirai jamais d'éloges à ton suet ... *remarque que tous les cannibales de Sadismus sont des dieux d'écriture* cooooool ...

Brefouille ^^ Cellule 4. Bon jeu !