Sadismus Jail
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Sadismus Jail

Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

 

 Walt Drandiel

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Walt Drandiel
858974
Walt Drandiel


Masculin
Nombre de messages : 6
Age : 43
Date d'inscription : 25/06/2008

Walt Drandiel Empty
MessageSujet: Walt Drandiel   Walt Drandiel Icon_minitimeMer 25 Juin - 14:08

Dossier médical

Nom & Prénom-: Walt Drandiel
Sexe-: Masculin
Âge-: 27 ans
Traits physiques-: Je pensais aller en prison... pas passer un concours de beauté.
Enfin bon, si vous n'avez que ça à faire, je suis plutôt athlétique, j'ai beaucoup pratiqué certains arts martiaux, ça m'a rapporté pas mal de muscles et pas mal de fractures, ma mâchoire pourrait avoir une forme plus académique et mon nez et lui aussi un peu déformé.... Mais encore une fois vous n'êtes pas chirurgiens plastiques bande d'abrutis.
Je suis de type caucasien, je suis né au Etats-Unis avant que ma famille ne débarque en Alsace après le décès de mon granp-père.
Mes yeux sont noirs, mes cheveux sont longs et blonds, je sais qu'être une blondasse musclée c'est plutôt déconseillé en prison mais bon, pour me violer va falloir pas mal de motivation... ça vaut aussi pour vos gardiens.
J'aime à croire que j'ai un air intelligent, sûrement plus que vous en tout cas. J’ai toujours un sourire au lèvre , ça met les gens en confiance ou ça les énerve, dans les deux cas ça me va;
Bref, vous êtes laid malingre et con et je suis votre inverse.
Taille-: 1m80
Poids-: 85 kilos
Maladie ou handicap physique- Tout va bien
Autres- Vous aimez vraiment la paperasserie...


Dossier psychologique

Qualités-: Je suis intelligent, sûrement plus que le préposé au fiches des prisonniers qui répertorie ce que j'écris...
Mon QI est de 125, on me l'a testé 5 fois et 5 fois ils ont été obligé de reconnaître que je suis dans la catégorie des " hautes intelligences"
Je suis loin d'être timide, ma langue est plus souvent dans des orifices que dans ma poche et pour le reste vous allez devoir le découvrir pendant le laps de temps que je vais passer ici...
Défauts-: Je serais tenté de dire que j'en ai pas, mais vous seriez vraiment trop frustré.
On va donc considérer que c'est un défaut de s'ennuyer profondément chaque jours que l'autre con fait, mes psy sont tous d'accord, je flirt avec la dépression depuis l'enfance.
Je pense que c'est pas moi le problème, c'est juste la vie qui est morne et vide, on né on grandi on boit on se drogue on baise on travail on enfante on vieillit et on meurt... merde sans moi!
Bon revenons à ce que vous pouvez comprendre, j'ai parfois du mal à me contrôler, je suis aigri et blasé, notez ça dans mon dossier ça sera très bien.
Aime- Ah... Qu'est ce que j'aime ? J'ai aimé me droguer et me torcher, j’ai aimé la musique, j'ai aimé les femmes, celles que j’ai eues normalement et celles que j’ai prises, j'ai aimé le théâtre, j'ai aimé la violence... J'ai expérimenté tout ce qui me permettait de me sentir vivant, et quand ça marchait... j'aimais ça.
N'aime pas- La plupart des choses qu'on à voulue me faire assimiler, je n'aime pas ce qui rentre dans la masse et je n'aime pas ce qui font tout pour en sortir, ne me voyez pas comme un ado rebelle attardé, je me suis jamais révolté, ce que j'ai fais je l'ai fais pour moi, pour mon être, pas pour l'image que les autres ont de moi, j'en ai tellement rien à carrer des autres...
Oups j'oubliais qui allait me lire, je n'aime pas les légumes ni les arabes et je supporte l'équipe de foot de mon quartier.
Comportement avec les gens-: Va falloir qu'ils me foutent une paix royale ici, je suis assez désagréable en général, l'ironie est une des seules choses qu'il me reste.
Je n’aime pas les gens, je n’aime pas m’attacher et je crois que je suis au mauvais endroit pour que ça change.
Maladie ou handicap mental- Alors selon mes psy une forte tendance à la dépression, je ne suis pas d’accord, je m’ennuis, c’est tout.
On me taxe très souvent de misanthropie, je ne vois pas ça comme un handicap.
Valeurs-: Mon cul, je ne suis vraiment pas du genre à perdre du temps avec un dieu ou à prendre en considération le bien des autres, je m’occupe de mes fesses et c’est déjà pas mal.
Tics-: Rien de ce côté là
Passé-: J’y crois pas, vous allez écrire un livre sur moi ou quoi ?
Bon, j’imagine que je n’ai que ça à faire pour l’instant…
Je suis né dans une famille très bien, des parents catholiques, des grands parents riches et sur le point de crever, des cousines bandantes et innocentes, un frère un peu chiant, rien de bien particulier.
J’ai passé une enfance heureuse, cow-boy , policier, chevalier etc… On me faisait courir dans le jardin à Pâques pour les œufs et je salivais devant les cadeaux du père noël.
Et non, ni viol ni enfant battu, si je suis devenu ce que je suis-je crois que c’est parc que c’été dans ma nature tout simplement.
J’ai commencé à me poser des questions très tôt, pourquoi Dieu a fait mourir papou, grand papa, mamie et mémé ? Et les guerres, c’est Jésus qui les veut ? Si je ne peux pas comprendre la volonté de Dieu, pourquoi Est-ce que je dois écouter à la messe ?
Et l’école, c’est le seul moyen d’être riche ? Si je vais mourir, pourquoi faut il que je mette tellement de temps avant de profiter de ma vie ?
Devant les réponses brouillons ou les silences, me suis fait une idée de la marche à suivre pour être quelque un de bien, la messe le travail la gentillesse et autres critères.
J’ai grandis en les suivants, je voulais être quelqu’un de mieux que les autres.
Seulement voila, ça a vite fini par m’emmerder, à ne plus me suffire.
Quand je parlais de ce vide que je ressentais à mes parents, ils m’ont envoyés chez un psy, psy qui me taxait de dépression.
Seulement voila, tout allait bien pour moi, j’étais un jeunot plutôt populaire, le cadre familial était tout à fait correct, je réussissais en classe même si je ne voulais plus me borner à ça…
Je vous passe les années de thérapie, on m’a expliqué en long en large et en travers pourquoi ma vie était un cadeau et que je devais en profiter.
J’ai essayé de me faire plaisir, de me déblaser comme disait mes amis.
Les arts martiaux, le théâtre la musique, le sport, la littérature, je me suis investi à fond dans ces choses , elles me permettaient de ressentir, d’être réellement…
Puis est venu le lycée, les psy ont arrêté de parler de crise d’adolescence, pour eux j’étais un dépressif lourd. Moi je ne me sentais pas malheureux, juste vide.
C’est pendant cette période de ma vie que j’ai vraiment arrêté de me soucier des autres, je traçais mon chemin sans suivre les ragots, les clans, les histoires d’amour, les crises de confiance en soi de machin, les scarifications de truc, je m’en foutais.
Les arts martiaux avaient pris une place toute particulière dans ma vie, le Judo et le Juji-tsu principalement. J’aimais l’idée de pouvoir maîtriser réellement un adversaire, d’asseoir ma supériorité brutalement, en plus de pouvoir le faire par les mots.
Je baisais à fréquence honorable pour un jeune adulte, pas de copines, elles avaient vite fait de me taper sur les nerfs. Les histoires d’un soir ont l’avantage de nous épargner toutes ces prises de tête.
Au fil des années je m’ennuyais de plus en plus, le lycée, la fac, les premiers mois en entreprise, j’ai vécu ces moments là en me demandant si il y avait encore des moyens pour leur donner quelques couleurs.
J’ai commencé à remplir mon casier, des bagarres, des agressions, des cuites sur la voie publique, des possessions de drogues.
J’ai fait quelques mois de prison, j’ai étais frappé à ma première sortie: je n’avais pas hâte de quitter la taule, dehors ou dedans c’était plus au moins tout aussi chiant.
Je me souviens de la première fois, il était tard, j’étais bourré, elle passait dans la rue déserte, ça faisait longtemps que je ne m’étais tapé personne, une pute de temps à autres mais ça comptait pas.
Elle a pleuré quand j’ai joui,incroyable à quel point ses émotions étaient secondaires pour moi. C’était une jouissance particulière, sa douleur contre mon plaisir, la joie que je lui volais…
Sur le coup je n’ai pas voulu que ça se sache, j’avais même envie de pouvoir recommencer le plus tôt possible, il fallait pas qu’on m’en empêche, j’avais hâte de recommencer !
Je l’ai étranglé, là aussi ça m’a fait tout drôle, j’ai aimé le faire comme j’aimais me battre , me droguer ou écouter du Wagner, j’étais vivant, pleinement.
J’ai put le faire 42fois au total, la première c’était en Alsace, les suivantes en Allemagne puis en Belgique avant de revenir en France. Je vous l’ai déjà dit je suis plutôt malin, j’évitais de rester trop longtemps au même endroit, le fait de changer de villes, de régions et de pays a brouillé les pistes un bon moment, j’évitais de me faire remarquer, je prenais mon pied et je foutais le temps aussitôt. J’ai étais sincèrement heureux pendant cette péridode.
La 43éme fois, ça ne l’a pas fait… Je n’ai pas ressentis ce sentiment si particulier, il s’atténuait déjà au fil des meurtres mais là il était carrément mort.
Elle n’est pas morte, je l’ai laissé là et j’ai pris une chambre en ville, je suis resté 2 jours dans cette chambre à réfléchir, je ne voulais pas fuir, j’en avais marre.
J’ai pensé à me tuer, y en a qui trouve le repos de cette façon, mais je n’étais pas fatigué et j’avais peur du vide absolu de la mort.
Le troisième matin ils sont venus m’arrêter, je vous dis pas leur tête quand j’ai avoué le viol et 42 autres meurtres dans 3 pays différent.
Puis les procès, la presse, les voyages, les familles éplorées et toutes ces conneries, et maintenant je suis là à ressasser tout ça pour un petit bureaucrate à la con.
Autres-[/u]: Va chercher un dictionnaire et prend une bonne tasse de café, tu devrais comprendre la moitié de ce que j’ai écris au bout de quelques heures.


Dossier criminel


Crime(s) commit(ts)- Plusieurs agressions à main armée (l'utilisation d'arts martiaux étant reconnue comme une arme par la loi), possessions de drogues, plusieurs cas d'ébriété sur la voie publique, 42 meurtres et sévices, un viol.
Matricule-: 858974
Personnage sur l'avatar- (je n'en sais absolument rien, je l'ai trouvé sur google images, son visage m'a paru intéressant et correspondre à ce que je cherchais)
Revenir en haut Aller en bas
Maybeth
9130 Psycho logue/tique
Maybeth


Féminin
Nombre de messages : 6312
Age : 33
Localisation : En boule sous mon bureau en train d'égrener un chapelet...
Date d'inscription : 17/11/2006

Walt Drandiel Empty
MessageSujet: Re: Walt Drandiel   Walt Drandiel Icon_minitimeJeu 26 Juin - 7:46

C'est parfait, tu es validé. Tu seras dans la cellule ... number one !

Bon jeu.
Revenir en haut Aller en bas
https://the-jail.probb.fr
 
Walt Drandiel
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sadismus Jail :: Avant de vous faire châtier :: Présentations :: Présentations validées prisonniers-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser