drôle de numéro [Libre]

Je venais d’arriver, de mettre les pieds dans Sadismus que je déambulais déjà à travers les couloirs comme une gamine qui cherchait un truc pour s’amuser. C’était pourtant exactement ce que je cherchais. Sauf que moi je n’étais pas une enfant, et au contraire d’un « truc » Je cherchais un prisonnier ou un gardien avec qui discuter, et si le cœur nous en disait peut-être se découvrir davantage. Sinon, et bien je pourrais toujours évacuer mon manque en torturant un prisonnier moche … Ou une femme parce que je n’avais pas envie d’en caresser une. Un soupire d’ennui s’échappe de ma bouche. Tout est beaucoup trop calme dans cette prison. Jusqu’à ce qu’un bruit de pas plus rapide que régulier attire mon attention. Je me retourne et un gardien vint rapidement à ma rencontre. Pas de mon goût. Et ça c’était bel et bien catégorique. Je croise les bras et je le fixe, un peu de la même manière qu’il le fait avec moi d’ailleurs. Si il est intelligent peut-être comprendra-t-il que je me moque de lui. Mais non. Pas la moindre parcelle de cervelle le pauvre … Il n’a vraiment rien pour lui, j’avais toujours cru que les laids avaient au moins l’intelligence pour eux. Mais lui il n’avait vraiment rien pour lui. Il commence à me crier dessus, me disant que je devais rester à la porte et attente que quelqu’un vienne m’accueillir. Visiblement c’était lui qui devait le faire, et il devait avoir été rabroué pour m’avoir perdu … Cette pensée me fit sourire, bien heureuse d’avoir pu être la cause du malheur de quelqu’un.

Et bon mon cher, ce n’est pas par ennui, mais j’ai du travail Hen!

Je lui lance un sourire mauvais qui le laisse scotché sur place. Il est surprit et moi je suis affreusement fière. Je repars dans le sens inverse. Bien évidement je n’ai aucun travail, je ne sais même pas ce que je dois faire dans cette fichue prison. Mais je préférais largement que ce soit un beau mec, gardien qui me l’explique, puisque les prisonniers, m’étant largement inférieurs, je préférais les blesser et les humiliés. Hmm Oui, douce humiliation, je sens que j’allais adorer cette prison. Encore plus lorsque j’aurais trouvé ma première victime …
Alors que j’avançais d’un pas rapide, quelqu’un me fonce littéralement dessus. Non mais! Il veut m’exploser la tronche peut-être? Je suis petite et menue, il ne faut quand même pas me sous-estimer, je suis extrêmement rapide et j’ai beaucoup de force. Mais là je suis brutalement tomber sur le derrière ce qui risque de me valoir un mal de cul durant un bon moment.

Non mais c’est qui le foutu connard? Je vais …

Je venais de relever la tête, Au fond, ce n’était pas si mal … Je devais surveiller ma voix et au contraire jouer les pauvres femmes en détresse. Immédiatement j’entre dans une mise en scène bien montée et élaborée. Je sens une larme couler délicatement sur ma joue et je laisse échapper un petit gémissement plaintif.

Je crois que je me suis cassée quelque chose dis-je d’une toute petite voix. Étrangement j’étais une très bonne actrice, je lançais un regard abattu et triste, avec la petite larme sur ma joue qui coulait lentement, personne ne pouvait résister à mon visage angélique d’enfant … Et puisque je n’avais pas encore changé de vêtements, personne ne pouvait savoir que j’étais gardienne.

Un autre jour, mais toujours à Sadismus. J’ai ouvert les yeux dans mon lit pour admirer un plafond gris. Puis, j’ai tourné le regard pour constater que, comme d’habitude, Vlana s’était levée avant moi et était déjà partie faire son jogging, déjeuner ou travailler. Ne m’étant pas levé avant elle depuis des lustres, je ne connais pas sa routine du matin et, en réalité, je m’en fous.

J’ai fini par me mettre debout, me mettre des vêtements sur le dos et aller faire ma ronde.

J’ai à peine taper la gueule d’un prisonnier depuis le début de la journée. Il fallait que je me défoule. Je ne suis pas assez violent c’est temps si, ça donne trop de refoulement. Alors, un taulard à l’infirmerie juste pour faire passer mon humeur de chacal. Et puis, c’était sa faute, il était sur mon chemin.

Quelques heures plus tard, j’ai mangé un truc, probablement fait à base de merde d’ailleurs, et nous voilà déjà l’après-midi. C’est fou comme le temps passe vite quand on casse une gueule ou deux. Mais, ma joie de vivre est systématiquement interrompu par une collision mal venue.

-Mais putain!

Je suis profondément frustré et exaspéré. Mais, après avoir grommeler ma rage et avoir chercher du regard le coupable, je constate que je m’en tire plutôt bien. Car oui, MOI, je n’ai pas tombé.

Quel spécimen avons-nous là? Dans ma politesse de tous les jours, je ne lui tends même pas la main pour l’aider à se relever et la dévisage.

Visage enfantin, les traits doux, de magnifiques yeux bleus, blondes…Pas d’uniforme? Arf, une de ses prisonnières voulant obstinément garder leurs vêtements de tous les jours? À moins que ce soit une gardienne, j’en sais rien. Mais, elle est plutôt mignonne, un beau tableau quoi…Par contre…Ce paysage se brise avec la voix cassante de cette dernière qui semble avoir gagner ma brève colère que je semble déjà avoir perdue pour la remplacer par une certaine indifférence. Mais, ça ne dure pas…Mon air frustré revient à l’écoute de ce seul mot…C’EST MOI QU’ELLE TRAITE DE CONNARD!?

Je passe maintenant de la colère à la surprise lorsque je vois son visage se décrisper, une larme coulant sur sa joue et sa voix devenir ridiculement douce.

-Cassée quelque chose? Ouais, à d’autre…On débarque pas en prison avec des os aussi fragiles…

Je l’attrape par le bras et la relève.

-J’sais pas si t’es une prisonnière ou une gardienne, mais tu ferais mieux de ravaler tes larmes ici…

Aoutch …

Il ne vient quand même pas de mettre ses sales pattes sur moi ce sale clown … J’ai de soudaines envies de meurtres, et je ne le cache pas. Mon visage qui c’était transformée en une moue triste et enfantine, vient de prendre un tout autre air. Mon regard bleu devient foncé et perçant, si des couteaux prenaient la place de mes pupilles, je serais probablement en train de poignarder … Je suis un tantinet sadique, pardonnez moi, mais je ne supporte pas que l’on me touche de cette façon. À moins que ce soit pour coucher avec moi, là je supporte assez bien d’être dominée.

Je suis gardienne, espèce de dégénéré … tu veux que je te montre?!

D’un coup vif je sors mon arme et je la pointe sur sa tête. Moi je ne sais pas si il est gardien ou non. En fait ce serait assez simple de s’en rendre compte, mais lorsque le sens de l’observation est passé … Et bien je n’étais pas là. Au fond, je suis une dégénérée … Mais j’aime bien l’être alors je me dis que je ne suis pas si débile que ça. Un large sourire illumine mon visage, ce qui enlève toute cette tendresse de gamine que je m’étais évertuée à adopter. J’envois mes cheveux courts vers l’arrière et je le fixe maintenant avec un air mi-amusé, mi-sadique. Hola, qu’est-ce que je vais me plaire ici …

Ils donnent vraiment des armes à n’importe qui, qu’est-ce que tu en dis? Tu en as une toi? T’es gardien ou prisonnier?

Ah et aussi, je suis une bavarde, j’adore discuter, que ce soit agréable ou chiant comme conversation, ma bouche n’arrête jamais de bouger. Je range mon arme, j’ai finalement compris que j’ai affaire à un gardien, je suis impulsive, mais quand même pas si stupide au fond. Je relève mon arme et je m’en sers pour me gratter le derrière de la tête. Il est quand même assez rare que j’agisse avec féminité, je suis un petit garçon manqué assez sexy je dirais.

Alors le dégénéré … tu me fais visiter?

Je sors une gomme que je me met à mâcher vulgairement. Tout en fixant le mec que j’ai devant moi. Pas beau, non je ne l’aime pas lui, mais il n’est pas affreux, alors je serais capable de supporter sa laideur à court terme j’imagine. J’aurais tout de même espéré mieux pour m’accueillir. Je passe devant lui, ignorant qu’il est plutôt en colère et je dis :

Alors tête de pue?

Je me retourne vers lui, je rigole. Je suis vraiment qu’une gamine. Oh mais je suis capable d’être sérieuse, c’est simplement que là, j’en ai vraiment aucune saleté d’envie hein! Je préfère largement de me moquer de la gueule de ce pauvre mec.

(Meuh, il est sexy Ralph u.u même s’il est insupportable)

Et voilà, ça recommence. Une autre folle victime de dédoublements de personnalité. Su-per. Elle me poignarde du regard, un regard qui s’est, d’ailleurs, nettement assombri. J’aurais été prêt à parier que c’était une de ces prisonnières aliénées qui ne s’est tout simplement pas retrouvée dans la bonne prison et qui devrait être en psychiatrie. Mais, je me détrompe vite alors qu’elle pointe son arme sur moi en clamant qu’elle est gardienne. Un prisonnier n’aurait certainement pas trouvé un flingue si facilement.

À moins d’être complètement débile, elle ne tirera pas. Mais, je ne peux m’empêcher de la regarder avec de grands yeux surpris, n’ayant pas l’habitude de me faire menacer par un employé. En tout cas, pas menacé avec une arme, un poing peut-être…Mais, c’est tout.

Je ne risque pas de faire un geste brusque par contre. J’ai pas envie de déconner avec cette furieuse, pas tant qu’elle aura son pistolet braqué sur moi.

J’arque un sourcil, passant de la surprise à une perplexité impatiente, attendant seulement qu’elle veut bien se calmer.

Quand elle me demande si je suis un employé et si je suis armé. Je lui montre, sans cacher un certain amusement, mon pistolet. Je pointe celui-ci vers elle sans pour autant avoir un air de défi ou de menace.

-J’te donne un indice mam’selle.

Non sans impolitesse, elle me demande de lui faire visiter. Ignorant sa vulgarité et ses insultes, je me détourne de sa personne, range mon arme et dit avec une pointe de mépris :

-J’suis pas du genre à faire du bénévolat ou à aider les âmes perdues gratuitement…

Je ne la regarde même pas et avance dans la direction opposée à la sienne.

Oh … Mais c’est que je l’ai froissé dans son estime le pauvre. Plus je le regarde, et plus je me dis qu’il n’est pas laid. Mais ce n’est pas mon genre, trop … trop étrange. J’ai besoin d’un musclé, un mec qui pourra me fermer la gueule bien aisément puisque je suis assez forte moi-même. Je dois avoir un côté sadomasochiste assez poussé. Par contre, il pique mon intérêt assez rapidement. Je ne suis pas tombé sur un faible ou un trouillard, encore mieux je suis tombé sur un mec qui ne fera rien pour rien, et sincèrement, j’adore ça! J’adore les personnalités fortes, l’on pourrait croire que je préfère voir les gens s’écraser devant moi, c’est pourtant faux. J’adore que l’on me tienne tête, mais je préfère lorsque c’est une personne de mon calibre, et je crois que ce gardien a une assez bonne prestance, assez pour m’épater un peu. Alors je reste un peu sur place, les bras croisés, faussement choquée, puis je viens à sa rencontre. Il me faut tout de même un assez bon effort pour faire ça, car c’est signe qu’il a gagné, et que j’ai perdu.

Je me replace devant lui. Il doit bien faire une tête et demi de plus de moi, peut-être plus, je suis vraiment petite. Mais c’est ce qui fait tout mon charme d’ailleurs. Je relève un peu le menton en signe de supériorité, il comprendra rapidement que je suis un paquet de nerf sur deux pattes. Je m’approche encore plus de lui et je pose ma main sur son torse pour l’empêcher d’avancer. J’ai déjà rangé mon arme, elle ne me sera plus utile.

C’est de l’argent que tu veux? J’en ai pas, alors trouve autre chose.

Je soupirai, jouant encore un peu de mes talents d’actrice, et je dis d’un air faussement désolé :

Oh … excuse-moi … Je croyais que tu étais un de ses bâtard de prisonnier … Tu ne vas pas me faire la gueule tout le temps, non?

Même si je jouais souvent un jeu, j’étais quand même une gamine dans l’âme. Je pouvais sérieusement être adorable, douce et gentille … Mais entre-nous, c’était un peu rare, il fallait vraiment que je tombe sur la perle rare, beaux, fort, musclé, l’homme parfait quoi, qui serait capable de me supporter. Et ça, je ne pense pas que ça existait. Je fit rouler mes yeux et j’ajoutais :

Je te trouve très sexy, et j’ai rien contre l’idée de m’avoir dans ton lit, ça te va? Bon tu me fais visiter ou quoi?

Ce n’était même pas une proposition. Je ne proposais jamais, c’était à l’homme de faire les premiers pas, et si vraiment je désirais cette personne, et bien un viol c’était bien plus excitant. Il y a une sale de torture dans cet établissement non? Oh oui! Je voudrais tellement visiter cette salle. Mon regard s’illumine immédiatement à cette idée, je me mets à sautiller quelques fois sur place et je dis :

La salle de torture!! Je veux la voir!

Je le fixe avec un air enjoué et suppliant, visiblement la salle de torture m’intéresse fortement. Je ne sais pas si il est du même avis que moi, mais je crois que je vais adorer me rendre là. Et en plus si il décidait de s’y rendre avec moi, qui sait ce qui pourrait se produire, je pourrais prendre rapidement goût à l’atmosphère envoutante qui se dégage de cette pièce …

Je crois pouvoir être tranquille pour le reste de la journée puisque, pendant un moment, je n’entends plus sa voix qui me déchire les tympans. Je tends l’oreille..? Pas un pas. Parfait. Je termine de faire les tours des couloirs et je pourrais peut-être être tranquille.

Elle est jolie la nouvelle gardienne quand même, un peu petite, mais jolie. MAIS, mais…Elle me tape déjà sur les nerfs ce qui ternit profondément cet attrait. Quelques mots et elle a déjà réussi à me casser les oreilles. Sa présence va me donner une migraine.

Et voilà que dans un mouvement cauchemardesque, elle se place devant moi. C’est quoi cette blague!? Ça y est. C’est la fin. Ma paisible journée brutalement terminé. Qu’est-ce qu’elle me veut putain?

Je baisse les yeux vers elle, franchement satisfait de la dominer par la grandeur. Mais, je ravale rapidement mon sourire en coin à l’idée que je risque de la supporter encore quelques instants.

Elle pose ses mains sur mon torse pour « m’empêcher » d’avancer. L’idée que je pourrais la pousser contre le mur opposé et m’en aller me traverse l’esprit. Mais, bien que ça me paraît amusant, je ne bouge pas et l’écoute parler.

-De l’argent?

Je ris légèrement. Ouais pourquoi pas…Mais, non.

-Ce que je veux c’est que tu me fous la paix.

Elle adopte un air tout ce qu’il y a de plus juvénile, exagérément fautive. C’est presque adorable par contre il lui en faudra plus pour m’attendrir. Si je vais lui faire la gueule? C’est mon poing qu’elle aura si elle m’énerve encore. Je me retiens de lui faire la remarque et dis dans un soupire exaspéré.

-Qu’est-ce que tu veux?

La suite de ses paroles me fait rire. Elle veut payer ma compagnie en nature? Sans trop prendre au sérieux, je trouve ça très drôle. Puis, dans un caprice purement enfantin, elle demande à voir la salle de torture. Je fais rouler mes yeux en soupirant à nouveau. Arf…Quand même mieux que faire le tour des couloirs…

-Bon, bon, bon…D’accord. Mais tiens-toi tranquille…Allez, suis-moi.

Et nous voilà en direction de la salle de torture…Je m'allume une nouvelle clope.

Je sais … Je suis tellement adorable, personne ne peut me résister, pas même ce gardien qui me semble assez coincé comme mec quand même … Enfin c’est sûrement pas sa faute, ce ne doit pas être une partie de plaisir pour tout le monde de travailler ici … Moi je sais déjà que je vais me plaire, de toute façon, je m’amuse avec le beau gardien, j’espère pouvoir continuer encore un peu. Et je n’en doute pas puisqu’il vient d’accepter de me conduire dans la salle de torture … Il ne sait pas dans quel merdier il vient de se mettre, j’ai vraiment envie de m’amuser. Et j’ai une drôle de façon de me divertir habituellement. Le voilà qu’il se décidait enfin à bouger pour me conduire vers la salle de torture, je mourrais d’envie d’y aller, je sautillais carrément sur place, une véritable gamine quoi. Alors que je me calmais peu à peu, je me remémorais les paroles qu’il m’avait dit. Il voulait que je lui fiche la paix, alors que je lui avait proposé mon corps … Sacré culot ce mec! Qu’est-ce qu’il n’y avait pas de plus vexant que de se faire repousser de cette façon? Alors que je marchais derrière lui je laisse échapper un :

Dit … t’es pas homo toi?

Pour moi c’était évident qu’il devait l’être, on ne refusait pas le corps d’une femme, comme ça impunément sans être homosexuel. Vraiment c’était le monde à l’envers. Je n’attendis même pas sa réponse que j’ajoutais :

Oh moi ça ne me dérange pas, c’est simplement moins amusant …

Je disais cela comme si c’était la vérité et qu’il était vraiment homo, je ne lui avais même pas donné l’occasion de réfuter. Mais au fond je m’en fichais, même si il était gay, je pouvais quand même baiser avec lui, j’avais aucun problème avec ça, peut-être qu’il aimerait tellement qu’il deviendrait bi ou encore mieux complètement hétéro. J’avais effectivement de drôles d’idéaux. Mais c’était tout moi ça, j’agissais effectivement d’une assez drôle de façon. Je m’approche toujours un peu plus de lui et nous sommes maintenant déjà dans les sous-sols. Je ne met pas trop de temps à repérer moi-même la salle de torture, je dois avoir un bon flair pour les endroits aussi tordus que moi. Je pousse la porte et j’entre en poussant de grandes exclamations, j’adore, J’adore! J’ouvre la lumière et je vais examiner toutes les machines une à une, ne me préoccupant même plus du gardien, mais il n’est pas tranquille bien longtemps, je reviens rapidement vers lui.

Vous torturez souvent des prisonniers ici?

La question était en général, pas simplement lui, mais il pouvait me donner son quotas, si il torturait beaucoup il ne ferait que m’impressionner davantage. J’étais tellement fébrile, je crevais d’envie de tester l’une de ses machines, si ce n’était que les chaînes là-bas, ce n’était pas trop demandé, mais je doutais qu’il décide de se laisser attacher lui-même … Umpf, moi j’aurais accepté. Je ne comprenais pas les gens, j’étais tellement adorable, je me laisserais toujours faire si une personne comme moi m’agressais!

Dit … tu n’as pas envi de t’amuser un peu … je suis certaine que tu n’es pas homo …

Allez, soit un peu amusant, je voudrais simplement m’envoyer en l’air un peu, et pour ça, je ne demande pas plus que de t’attacher sur le truc là-bas au fond de la pièce …