Sadismus Jail
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Sadismus Jail

Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Je m'appelle Sadé...

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Sadé Cuida
154683 L'innocence
Sadé Cuida


Féminin
Nombre de messages : 601
Age : 33
Localisation : Dans ma cellule, cachée sous les draps
Date d'inscription : 29/03/2008

Je m'appelle Sadé... Empty
MessageSujet: Je m'appelle Sadé...   Je m'appelle Sadé... Icon_minitimeSam 29 Mar - 18:18

Dossier médical

Nom & Prénom - Je m'appelle Sadé Cuida
Sexe - Une fille comme vous voyez...
Âge - J'ai eu 19 ans y'a pas longtemps
Traits physiques - Je suis prisonnière dans un corps de jeune fille qui ne correspond aucunement à mon âge. Je suis pas très grande et mes formes ne sont pas développées. Je prend le soin depuis longtemps de me couper les cheveux. Ils sont courts, exceptées quelques mèches sombres qui encadrent mon visage. Mes grand yeux d'enfant sont sombres et me donne souvent l'air d'être complètement perdue. Les gens me prennent des fois pour un jeune homme... mais je n'y fais plus attention.
En même temps, je n'arrange pas la situation en m'habillant comme je le fais. Je porte quasiment que des jeans qui bien évidement sont un peu trop grands pour moi, ce qui leur donne un style de baggis. Mes T-shirt sont aussi un peu trop larges, banales et communs. Je ne fais jamais attention à ce que je mets. De ce fait, je passe facilement inaperçue.
Taille - Un petit mètre cinquante-neuf
Poids - Pour quarante kilos à peu près.
Maladie ou handicap physique - Personnellement, je trouve que ma petite taille est un handicape dans le monde des adultes. Il y aussi mon petit coeur qui défaille de temps à autre pour une raison qui m'est inconnue. Les maux sont supportables, donc je ne m'en inquiète pas vraiment. Je suis souvent (même tout le temps) fatiguée.
Autres - Rien d'autre à signaler.

Dossier psychologique

Qualités - Mes qualité me sont propres, elles ne seront donc peut-être pas considérées comme telles par vous.
Je suis une fille qui sait se faire discrète sans problème; même contre ma volonté parfois. Mais mis à part ma présence physique, en qualité, je peux dire que je suis très attentive que ce soit pour ce qui m'entoure ou envers quelqu'un. Je prend plus soin des autres que de moi-même. Sinon, et on peut dire que c'est une qualité, oui oui, je fais toujours en sorte de ne pas m'attirer d'ennuis, je ne suis pas insolente et je suis obéissante quand cela peut m'éviter le pire.
Défauts - Je trouve que je suis beaucoup trop lente. Si quelqu'un me parle trop vite, je ne pourrais pas tout comprendre si je ne suis pas au meilleur de ma forme, ce qui est rare. Mais aussi je n'ai aucun reflex. Il n'y a rien de plus agaçant que de constater qu'on est dépourvu de toute vitesse, car sans elle on reçoit plus de coup qu'on ne devrait. Moralement, je pourrais dire que mon défaut est situé dans ma naïveté. Comme si mon apparence d'enfant déteignait sur mon mental... C'est assez affligent.
Aime - Je suis plutôt simple comme nana. J'aime les petits trucs de tout les jours, quoi que soit ma situation. Chaque chose bien mérite d'être appréciée, même si elle brille seule dans une masse noire. J'aime respirer à plein poumon l'air frai quand j'en ai l'occasion, j'aime la nature et le calme, mais surtout j'apprécie plus que tout au monde qu'on me fiche la paix, quitte à rester seule dans mon coin...
N'aime pas - Pour relier ce que j'aime à ce que j'aime pas, je soulignerais mon aversion pour les gens qui persistent à chercher la merde, oui, exactement, alors qu'on leur à rien demandé. Je déteste tout ceux qui commentent injustement les autres, ceux qui crachent sur leur entourage, ceux qui ne pensent qu'à eux même... en gros, je n'aime pas grand monde. Mais il m'arrive quand même d'accorder de l'attention à ces personnes, car je pense simplement que tous on le droit à être écoutés... même si c'est parfois dur.
Comportement avec les gens - Mon attitude envers tous reste, au premier abord, retissante et presque peureuse. Je deviens un peu plus ouverte que lorsque je connais un peu mieux la personne en face de moi, que ce soit gardien ou prisonnier. Mais je vous avouerais que face aux prisonniers, je suis que très très rarement autre que peureuse.
Maladie ou handicap mental - Tout va bien de ce côté là me semble-t-il.
Valeurs - Je ne sais pas vraiment si cela peut être cité comme étant une valeur, mais j'accorde beaucoup d'importance au respect de chacun.
Tics - Je n'en ai pas spécialement.

Passé - Je m'appelle Sadé et je n'y suis pour rien.
Je vivais dans un petit village retiré de la frontière franco-allemande. Ce patelin avait pour réputation d'être marqué par la seconde guerre mondiale plus que d'autre. Il restait encore une maison ravagée quand j'y étais. Personne n'y avait touché. C'était le "Souvenir" comme ils disaient. Moi je trouvais que c'était plus que sinistre de laisser une telle oeuvre ici. Je passais devant tout les jours pour aller à l'école. Les gens se faisaient du mal. Ils aimaient à la regarder encore et toujours pour se remémorer tout le malheur de leur terre. C'était vraiment pas marrant. Maintenant, je pense qu'ils la regardent encore.
Nous étions six dans la famille, en comptant mes parents. Notre maison était, je m'en souvient très bien, collée à celle de mes grands-parents. Il y avait même une porte dans la cave qui permettait de communiquer avec la leur. C'était un passage spécial, m'a-t-on raconté, pour se cacher durant les temps durs.
J'aimais bien, gamine, me planquer là bas et faire mes petites découvertes, même si j'en avais vite fait le tour. Mes grands-parents étaient des gens adorables. Ils avaient vécus pour leur plus grand malheur cette horrible guerre. J'entend encore ma grand mère me raconter ses visions terribles de quand elle était petite. Je ne citerai pas ses dires, mais je peux vous promettre que ça m'a marqué. Quand à mon grand-père, il ne disait quasiment rien sur ce qu'il avait vécu. Je le soupçonne d'en avoir souffert silencieusement pendant toutes ses années. Je m'attardais beaucoup auprès de lui car je sentais que derrière son air fort et robuste, il y avait une âme détruite par les bombes. Je n'avais pas tord, car il c'est suicidé un beau jour, sans prévenir quiconque. Ce fut un choc assez fort pour moi parce que je l'aimais beaucoup. Suite à cela, ma grand-mère déprima. C'était compréhensible et plus rien ne pouvais aller pour elle désormais. Tout les jours j'allais la voir, je lui parlais. Je lui parlais beaucoup, je ne disais rien, je lui racontais la vie au dehors pour elle, elle qui ne sortait plus. Je pense être la dernière à l'avoir vu pâle dans son lit. Elle souriait. Elle m'avait avoué qu'elle serait soulagée le jour où la Mort viendrait la chercher; alors j'étais contente pour elle.
Dans tout cela, il y avait aussi mes frangins et frangines. J'avais deux frères et une soeur. Tous plus grands que moi. Au fond, je ne les ai pas beaucoup connus. Je sais juste que le plus proche de moi, en âge, avec sept ans de plus que moi. L'indépendance était d'ordre dans la famille, ils partirent donc au plus tôt conquérir le monde et vivre de le propre moyen. J'avais six ans quand j'eus l'impression d'être devenue fille unique. Plus aucune nouvelle d'eux, encore maintenant je ne sais rien sur eux. J'espère qu'ils vont bien. Peut-être qu'ils ont une famille, des enfants... je suis peut-être tante...
Mais je ne veux pas qu'ils sachent que je suis ici aussi. De toute façon, cela m'étonnerait que la nouvelle leur soit envoyée. Même mes parents ne doivent pas savoir.
Car moi aussi je suis partie tôt du foyer familial. Certainement pas pour les mêmes raisons que mes aînés. Comme vous vous en doutez, mon père venait de perdre ses parents, et l'idée de rester une année de plus dans ce village l'insupportait. Il voulait quitter cette vie plongée dans le passé et la douleur de cette guerre, ça aussi c'était compréhensible. Avec ma mère, on est donc allé en ville. On a emménagé dans un petit appartement limite, dans un quartier un peu louche... je n'en ai qu'un faible souvenir. Je n'y suis restée que une année, une petite année si lourde pourtant. Mon père cherchait du travail ici, ma mère s'occupait du logis, et moi j'allais à l'école. C'était pas une bonne école, je l'ai dis à maman ça... c'était une mauvaise école, il n'y avait que des mauvaises personnes, des mauvaises histoires. Je les avais prévenus, mais on était pas assez aisé pour qu'ils m'envoie dans une école mieux. Alors j'y suis restée. C'est là que tout à commencé en faite. J'avais quoi... huit ans! Je fus entraînée dans les pires des histoires à cause de ma naïveté. J'ai été témoin de scène qui me font frissonner encore. Ce n'était que du trafic, mais ce n'était pas beau. Les mots qu'utilisaient les autres non plus, n'étaient pas beaux. Ils étaient violents, blessants, affaiblissants... Mais si je ne voulais pas être la martyrisée de l'école, je devais suivre la marche. Je n'ai jamais été très courageuse.
C'est comme ça que commença mon adolescence. Mes parents avaient d'autres problèmes que de s'occuper de mon état. Mais on déménagea encore et ce ne fut pas mieux; bien pire en faite. Je passais mon temps dehors. Je n'ai pas été une bonne fille, je n'ai pas été sage. J'aurai due rentrer tout les soirs, aider ma mère, écouter mon père, mais on me disait de rester. Alors je restais. Les autres m'aimaient bien je crois, parce que je les écoutais, parce que je faisais ce qu'il voulais. J'ai même volé un jour! pour eux...
A quatorze ans je suis partie définitivement de la maison. J'ai été mise à la porte. Je suis allée vivre chez ce qu'on appel une amie, j'ai travaillé illégalement, j'ai laissé tombé les études dès que j'ai pus et je suis partie. J'étais un véritable parasite, quand j'y pense. Je suis allée vivre par la suite chez un ami qui m'a hébergé jusqu'au bout. Point positif, je ne suis plus un poids pour lui maintenant.
Mais ce n'était pas un ami, je me suis trompée. Il c'est servi de moi. Il a profité de moi. Moi je croyais que c'était un gars bien, bah non.
Un soir, il m'a demander de venir avec lui. Il avait un sourire si charmant. Je l'ai suivis. Il m'a emmené dans l'une de ces foutues ruelles sombres qui n'ont aucunes issues. Ca sentait les détritus, la merde, ça donnait des frissons de malaise... je n'étais pas dans mon assiette. Mon gars fumait un joins à ce moment là. Il me le passa. C'est la première fois que j'y goûtais. Ma tête c'était mise à tourner, j'avais l'impression de m'enfoncer dans le sol et un besoin pressant de m'asseoir c'était emparé de moi. J'm'étais donc posée dans un coin. Je voulais disparaître. Je sentais bien qu'il allait de passer une merde. J'ai continuer à fumer c'te connerie. Je suis restée. Il avait un si beau sourire.

Après, je ne me souviens pas très bien. Il a avait eu beaucoup de bruit, oui, des gens avaient courus devant moi sans me voir... j'ai eu l'impression d'être enfin devenue invisible...
Mais un gars s'étala devant moi en gémissant. Puis un deuxième. Je me suis collée contre le mur comme si j'allais m'y fondre mais je fondais pas. Une main forte m'empoigna par l'épaule, j'avais eu mal. Je me suis retrouvée à genoux dans le sang de deux hommes tués par balles, allongés de par et d'autre de moi. On ma filé le flingue, on m'a dit de rester là sans bouger. On m'a dit que c'était une blague, qu'on filmait pour faire un film. J'y croyais pas mais je suis restée. J'ai attendue qu'on vienne me chercher.

Quand on m'a jugé pour les deux meurtres je n'ai jamais dénié l'avoir fait. J'avais juste dis au policier, le tout premier, que je n'y étais pour rien. Mais je ne m'y suis pas tenue, je me suis pas battue pour ma liberté, j'avais peur. S'ils m'avaient relâché, ils m'auraient posé des questions sur qui avait fait ça; j'aurai jamais osé dire. Ca en serait revenu au même. Je préfère être là où je suis plutôt que vulnérable sous les crocs de ces hommes assassins.
Tout le jour je me répète que je n'ai rien fait. C'est vrai, j'ai rien fait. Je me suis laissée faire. J'ai rien vu arrivée, j'ai été trop lente. Personne ne me croit maintenant. Peut-être que ce policier, lui, me croit encore. J'avais parlé avec vérité, je me souviens. Tous mes sentiments étaient passés dans cette phrase, dans mon regard... mais j'ai tout laissé tombé.
Je me retrouve bien loin de tout et de tous maintenant. J'espère seulement que je n'aurai pas d'ennuis.

Autres - Tout les jours je pense à ce policier qui lui seul détient ma vérité...

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts) - Ils disent que je suis l'assassin de deux hommes, par arme à feu. Quand j'y pense, ils n'ont même pas vérifié si je savais tirer.
Matricule - 154683
Rang - L'innocence
No. de cellule - (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar - Je ne sais pas qui c'est, mais j'invite qui sait à le dire! :)
Revenir en haut Aller en bas
Maybeth
9130 Psycho logue/tique
Maybeth


Féminin
Nombre de messages : 6312
Age : 33
Localisation : En boule sous mon bureau en train d'égrener un chapelet...
Date d'inscription : 17/11/2006

Je m'appelle Sadé... Empty
MessageSujet: Re: Je m'appelle Sadé...   Je m'appelle Sadé... Icon_minitimeDim 30 Mar - 8:55

Le personnage c'est Lain ^^ ET si je ne me trompe pas, elle est libre. Donc je vais te la réserver.

Bienvenue sur le forum, tu es validée. Tu seras dans la cellule ... 26. Bon jeu ^^
Revenir en haut Aller en bas
https://the-jail.probb.fr
Sadé Cuida
154683 L'innocence
Sadé Cuida


Féminin
Nombre de messages : 601
Age : 33
Localisation : Dans ma cellule, cachée sous les draps
Date d'inscription : 29/03/2008

Je m'appelle Sadé... Empty
MessageSujet: Re: Je m'appelle Sadé...   Je m'appelle Sadé... Icon_minitimeDim 30 Mar - 10:03

Merci bien !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Je m'appelle Sadé... Empty
MessageSujet: Re: Je m'appelle Sadé...   Je m'appelle Sadé... Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Je m'appelle Sadé...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sadismus Jail :: Avant de vous faire châtier :: Présentations :: Présentations validées prisonniers-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser