Sadismus Jail
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Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
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 Alejandro Lawrence Johnson

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Alejandro L. Johnson
1624 Séduisant manipulateur
Alejandro L. Johnson


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MessageSujet: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeMar 22 Jan - 15:02

Dossier médical

Nom & prénom- Je me nomme Alejandro – prononcez « Alerandro ». Alejandro Lawrence Johnson. Peut-être compliqué pour certains, mais pas pour moi. Et je tiens à ce que l’on l’écrive correctement. Si il y a bien une chose qui m’horripile, c’est lorsque je vois écrit un « Laurence » sur une feuille. Ou pire encore… « Alessandro ». Par pitié, retenez ce nom.
… Ou alors je serais forcé de vous le faire connaître… d’une manière ou d’une autre.
Sexe- Diable, je suis un homme, ne le voyez-vous donc pas ? Et heureusement que je suis né ainsi. L’idée même d’être une femme… m’écoeure.
Âge- Presque la trentaine. 27 ans en réalité - bientôt 28 même - en ce qui concerne les détails, je suis né le 11 juillet 1980, pour être très précis. Un bel âge… En pleine possession de mes capacités mentales et physiques. Surtout physiques d’ailleurs… Demandez donc aux femmes… elles ne feront que confirmer.
Traits physiques- Oooooh… La belle question que voilà. Comment je suis ? C’est ça que vous voulez savoir ? Il faut dire que cela m’intrigue… A quoi cela va-t-il vous servir ? Et puis… je suis juste en face de vous, pas besoin de vous faire un tableau si vous me voyez parfaitement ! Insensé. Mais bon, j’avoue que je ne rechigne jamais à parler de ma personne. Alors… que dire… Je suis beau. Non, splendide. Magnifique. Si je n’étais pas moi-même, je pense que je tomberais immédiatement amoureux de moi. Je suis d’ailleurs trop bon. Je ne devrais pas permettre aux autres de me toucher, ni même de me parler ou de me regarder. Personne ne devrait avoir le droit à la familiarité avec la perfection. Mais que voulez-vous… J’aime trop le regard admiratif de ces dames – un peu moins de ces messieurs, que j’aspire plus à rendre jaloux qu’autre chose, je l’avoue – lorsqu’elles me voient passer devant elles ou faire mon entrée dans une pièce. Leurs petits rires « discrets » et les bavardages furtifs qu’elles échangent tout en me jetant des regards langoureux… Tout simplement jouissif. Comment cela je m’égare ? Vous m’avez demandé de parler de mon physique, non ?! Les humains ne sont jamais contents…
Donc, pour vous faire plaisir… Je possède de longs cheveux d’un blond cendré qui m’arrivent un peu plus haut que le bas de la nuque et impossibles à coiffer. C’est pourquoi j’ai toujours les cheveux en bataille. Vous me verrez d’ailleurs souvent remettre en place une mèche qui s’attardait devant mes yeux. Mais bon, il parait que ça plait aux filles – d’après leurs dires, cela me donne un « air rebelle et mystérieux » …-. D’ailleurs, en parlant de mes yeux… ils sont assez… particuliers. Je possède en effet un iris d’un brun noisette et l’autre d’un bleu profond, couleur océan. Troublant. Attirant. J’aime. Et les autres aussi. Même cela a parfois aussi ses inconvénients (voir handicap). Mes yeux sont d’ailleurs mis en valeur par mes sourcils, qui, contre toute attente, ne sont pas blonds comme mes cheveux, mais d’un brun foncé, et de longs cils noirs. Tout cela, je le dois à ma mère… Mexicaine. J’ai d’ailleurs hérité de sa peau mate – quoique légèrement atténuée par les gênes de mon père – et des traits de son visage. Le mien est fin, ovale, et mes traits bien marqués. En fait, tout mon corps est fin. Nerveux, musclé. Heureusement d’ailleurs, il faut bien que les heures passées en salles de sport soient rentabilisées. Je suis d’ailleurs assez souple, et je me déplace avec une grâce et une aisance presque… félines. Je suis à l’aise partout, où que je sois. Et cela a tendance à en déconcerter plus d’un…
Taille- Je ne suis pas particulièrement grand, mais détrompez-vous, je ne suis pas non plus petit. 1 mètre 85 pour tout vous dire. Cela me convient parfaitement. Je domine la plupart de mes conquêtes et certains de mes collègues…. Que demander de plus ?
Poids- Attendez quelques secondes, que je m’en souvienne… Mmmmh… il me semble que la dernière fois que je suis monté sur une balance, je pesais environ 68 kilogrammes. C’est peut-être peu pour un homme de ma taille, certes… Mais que voulez-vous, quand on est sportif…
Handicap ou maladie physique- Je souffre d’une malade génétique appelée hétérochromie. Pour me mettre à votre niveau, cela signifie que j’ai les yeux vairons, comme dit plus haut. Rien de bien gênant en soit, je vous l’accorde. Mais j’ai parfois du mal à voir de mon œil droit (le bleu), et cela peut aller jusqu’à la cécité, en particulier lorsque je suis fatigué. Je ne peux aller voir plus que d’un seul œil, et cela pouvant durer plusieurs heures, voir même plusieurs jours – mais cela reste tout de même exceptionnel, la dernière fois que ça m’est arrivé, j’avais 17 ans et j’étais rentré à 5h du matin chez moi, complètement bourré, suite à une soirée entre amis. Je ne vous raconte pas le calvaire le lendemain… horrible. -. C’est dans ces moments-là seulement que je donnerais tout pour avoir les yeux de la même couleur…
Autres- Je possède un tatouage représentant un dragon chinois partant de mon omoplate gauche et qui se termine sur le devant de mon épaule. Il y a peut-être plus discret, je l’avoue, mais il n’est pas non plus très voyant. Du moins, personne ne le voit lorsque je porte une chemise ou un T-shirt. Pas comme ces « originaux » qui arborent moult gribouillis bariolés affreux sur la moindre parcelle de leur corps, dépassant de partout. Non. Mon tatouage est… fin, délicat. Sublime, tout comme moi.
Je porte aussi une bague en argent à mon majeur droit, ainsi qu’un petit diamant à mon oreille, droite également.


Dossier psychologique

Qualités- Je suis moi. Rien que ceci constitue déjà une énorme qualité. Qui n’a jamais rêvé d’être à ma place, de se trouver dans mon magnifique corps ?
Bon, d’accord… Alors, je suis quelqu’un de très… calme. Serein même. Parfaitement sûr de moi, j’organise et planifie tout à l’avance, ne laissant rien au hasard. Et il en faut beaucoup pour m’énerver. J’aime d’ailleurs beaucoup rire et prendre du bon temps, je suis une personne plutôt joyeuse, festive. Mes amis me décrivent d’ailleurs comme quelqu’un de drôle, d’enjoué. J’aime beaucoup plaisanter. Même si mon humour reste parfois incompris… Mais je m’en fiche. Du moment que moi je comprends, me comprends, cela me va. Je ne pense d’ailleurs pas paraître prétentieux en disant que je suis très intelligent. Toujours le premier en cours, sans même avoir à travailler pour cela, toujours le nez plongé dans des livres. Je dispose donc d’une certaine culture générale. A quoi bon être beau si notre esprit n’est que futilités ? J’incarne la perfection, donc tout en moi doit être parfait. Tout. Je suis d’ailleurs très minutieux, pointilleux, presque maniaque. Je déteste le désordre.
Ah, j’oubliais ! Il me semble avoir entendu plusieurs fois de la part de mes conquêtes que j’étais une personne plutôt romantique et attentionnée. Attentionné… pour sûr. Je fais toujours très attention à ce que je fais, à ce que je dis, toujours.
Je ne laisse rien au hasard…
Défauts- Etes-vous donc stupide ? Je suis parfait, je ne peux donc pas avoir de défauts ! Et n’écoutez donc pas les menteurs qui me décrivent comme orgueilleux et imbu de moi-même. Je ne supporte simplement pas que l’on s’en prenne à ma personne. J’incarne la perfection, alors pourquoi chercher à me critiquer ? Ils sont tout simplement jaloux. D’autres me disent violent et impulsif. C’est totalement faux. Comme je vous l’ai dit, je suis le calme incarné. Je ne me laisse jamais submerger par mes émotions, jamais. Cependant, j’avoue qu’il m’arrive de ne pas toujours contrôler ma force… et plusieurs de mes « connaissances » en ont déjà fait les frais. Mais est-ce de ma faute si ils ne comprennent que j’ai raison ? Si ils m’écoutaient… tout irait pour le mieux. Je ne suis nullement responsable de la stupidité des gens.
Aime- Les femmes, tout naturellement ! Pensiez-vous vraiment que j’étais le genre de personne à préférer les hommes ? Par pitié, s’il vous plait, ôtez-vous tout de suite cela de la tête, quelle horreur !
… Et ne me traitez pas d’homophobe. Je suis tout à fait respectueux des autres, chacun fait ce qu’il lui plait, cela ne me concerne pas. Mais que l’on ne vienne pas m’inclure dans tout cela, que l’on ne me dicte pas ma manière de penser et d’agir.
Mais revenons-en au sujet, c’est-à-dire moi. Concernant ce que j’aime, donc. Sur ce côté-là, je suis comme la plupart des gens. Une belle femme, une belle œuvre d’art –même si les deux se ressemblent fortement. … Quoi ?- un bouquin bien écrit, une mélodie entraînante ou apaisante, un paysage magnifique… Ne vous moquez pas, ou je risque de m’énerver. Même si je ne suis pas comme la plupart de ces loques qui risquent de peupler Sadismus ou de ces gardiens en manque d’autorité, il m’arrive aussi d’avoir les mêmes goûts que des personnes dites « normales ». N’y voyez aucun handicap là-dedans, si ne nous sommes pas tous au même niveau de conscience ou d’intelligence, Dieu a au moins réussi à mettre les hommes d’accord sur un point : ce qui est beau est beau.
N'aime pas- Je déteste le hasard, l’imprévu. Tout ce qui m’échappe, tout ce que je ne contrôle pas. Je hais que on se moque de moi, qu’on me critique. On ne contredit pas la perfection, c’est totalement absurde. D’ailleurs, je ne supporte pas la stupidité. Ni les faibles. Et encore moins les faibles stupides, même si généralement ces deux termes vont ensemble. A quoi bon s’empêtrer de bons à rien ? Notre Terre est déjà assez emplie d’idiots comme cela, pas besoin encore en plus de se taper des larves incapables de se battre, de riposter, d’exprimer leur opinion.
Ah, dernière chose. J’ai failli oublier…
En fait non. Je ne l’ai pas oubliée, tout comme je ne l’ai pas oubliée elle. Je ne l’oublierais jamais. Après tout… c’est pour elle que je suis ici. Pour me venger, pour la venger. Elle… cette… cette putain, cette traînée, cette meurtrière ! Mièna… Abygaël Mièna. Je n’ai que ce nom dans la tête, depuis maintenant un an. Mais j’y ai mûrement réfléchi. Ma décision est prise.
Je la tuerais.
Comportement avec les gens- Certains on tendance à me traiter de sadique, ou de manipulateur. Si peu… Et puis, je ne vois pas en quoi cela consiste en un handicap… Je suis très bien comme ça.
Et puis… Personne ne s’en est jamais plaint, du moins jusqu’à maintenant.
Concernant mes collègues de travail, je serais on ne peut plus poli, charmeur avec ces dames même. Je ne suis pas venu pour me battre ou prouver ma supériorité, pour une fois. Et puis, même si ils ne m’arrivent pas à la cheville –ce qui explique le fait que je risque tout de même de les regarder de haut- ils sont tout de même venus bosser dans cet enfer, tout comme moi.
Bon Dieu, je vais encore tomber sur des fous.
Quand aux prisonniers, pas de pitié. Des assassins, des rebus de la société. Ils méritent tous de crever, tous. Surtout elle… Mais passons. Ils n’ont pas intérêt à m’énerver, sinon… je ne réponds plus de rien.
D’ailleurs, cela compte aussi pour mes chers collègues.

Valeurs- Je sens que si je vous réponds « le sexe » ou « les femmes », vous allez me regarder de travers et me dire d’arrêter de plaisanter et de répondre à la question. Donc, je ne le ferais pas. Même si tout cela reste les valeurs les plus sûres de cette fichue planète. Enfin, quoi que, pour les femmes… Jamais rien vu de plus compliqué. Mais c’est pour ça qu’on les aime.
Bref, je m’égare. J’ai jadis été comme tout le monde, ces pauvres idiots qui croient en l’amour, la famille, etc. Ôtez-moi tout de suite ce sourire moqueur, sinon c’est mon poing dans votre figure. Voilà, parfaiiiit. Aujourd’hui, je ne crois plus en rien, sauf en la vengeance.
Et ma vengeance, je l’aurais. Tôt ou tard.
Tics- Rien, sinon une légère habitude à replacer constamment derrière mon oreille les mèches rebelles s’éternisant devant mes si beaux yeux. Personne n’a le droit de voiler mon regard et de m’empêcher de voir. Pas même mes cheveux. Mis à part ça, rien d’autre à signaler. Je suis quelqu’un de très calme… Trop calme même parfois.
Handicap mental- Certains ont tendance à me qualifier de « narcissique », « sadique », ou encore « pervers », ou même « manipulateur ». Balivernes. Je suis quelqu’un de tout à fait sain. Je n’agrée uniquement que sur le dernier point. Mais avouez qu’il n’y a rien de plus plaisant que de manipuler les âmes, sensibles ou fortes, et de les voir obéir à votre moindre désir, tout en étant persuadées d’agir par eux-mêmes et pour leur bien…
Autres- RAS mon capitaine.

Dossier d'emploi

Matricule- 1624
Rôle dans la prison- Gardien.
Chambre no. - 14, si je ne m’abuse… (Comme Syb ^^)
Rang- Séduisant manipulateur
Armes- Mon fidèle revolver, toujours rangé dans son étui, accroché à ma ceinture. Prêt à servir… Et n’oublions pas ma matraque, simple, certes, mais bien pratique pour frapper les détenus -je vous assure qu’il n’y a rien de mieux que d’entendre les os de leurs doigts craquer lorsque je les leurs écrases – ainsi que le poignard que je glisse dans ma botte droite. On n’est jamais trop prudent… surtout ici.
Personnage sur l'avatar – Un charmant jeune homme blond trouvé sur un site d’avatars.


Dernière édition par Alejandro L. Johnson le Dim 27 Avr - 10:55, édité 3 fois
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Alejandro L. Johnson
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeDim 27 Avr - 10:55

Histoire : Je suis né le 11 juillet 1980, à 22h47 précisément, dans un hôpital de Los Angeles. Mes parents ? Ma mère, Gabriela Sanchez, une jolie mexicaine de 26 ans, immigrée à l’âge de 3 ans, brune, peau mate, aux yeux d’un brun noisette pétillant. Mon père, Edward Johnson, 32 ans, américain, un grand homme bien bâti, au visage marqué, blond aux yeux bleus. Paraît que je lui ressemble beaucoup. Du moins, c’est ce que n’a cessé de me répéter ma mère quand il est mort. Accident de voiture, pam. C’est con hein ? Ce que la vie peut être moche parfois… J’ai beaucoup chialé à ce qui paraît. Faut dire que j’avais quoi… 5 ans. Bref, c’est ma mère qui s’est chargée de m’élever. Elle s’est jamais remariée. Enfin, mariée… elle et mon père ne l’étaient pas, mais cela revient au même. Jamais vu d’homme dans la maison depuis le décès du paternel, et ce jusqu’à son décès à elle, 15 ans plus tard. Tumeur au cerveau, impossible à opérer. En y repensant, c’est vrai qu’elle se plaignait souvent de maux de tête… Mais nous n’y avions jamais vraiment prêté attention. Enfin, faut dire qu’elle ne m’en parlait pas souvent. Voulait pas m’inquiéter, qu’elle disait… D’un côté, c’est pas faux. Elle m’a élevé comme un prince, comme un don du ciel. Je faisais ce que je voulais, quand je voulais, si je le voulais. Vous allez me dire, avec une éducation pareille, j’aurais pu virer sale gosse, fumer, me droguer, boire, traîner dans les rues jusqu’à pas d’heure, etc. Je l’ai fait, j’avoue. Mais après. Au contraire, je bossais, tout le temps, tout le temps, je l’aidais, faisais tout ce qu’elle me demandait de faire –pour le peu qu’elle m’obligeait à faire, il faut dire…-. Je l’aimais ma mère moi, faut pas croire… Bref, j’avais 20 ans quand elle est morte.

Ca a été le drame. Tout ce que j’avais d’important dans ma vie venait de s’écrouler, d’un coup. Oh, des amis, j’en avais, oui, allez pas me prendre pour un intello asocial incapable d’avoir des relations. Mais c’était pas pareil. C’est là donc que j’ai commencé à sombrer. Clope, drogue, alcool, filles de joie… La « belle vie » en gros. Tout, j’ai tout essayé pour oublier, et plus je tentais de noyer mon chagrin, plus je m’enfonçais. J’ai arrêté mes études, faillit finir dans la rue –plus d’argent pour payer le loyer, j’avais tout claqué en cigarettes et en cocaïne-. Je crois que si elle n’avait pas été là, j’aurais fini par crever d’une overdose.

Lauren. 23 ans –j’en avais 24, à l’époque- châtain clair, les yeux d’un bleu d’océan, magnifique. Le coup de foudre total, immédiatement. Je l’ai rencontrée en boîte, je l’ai draguée, à ma manière, et on a dansé toute la soirée. Puis j’ai passé la nuit chez elle. Et je n’en suis jamais reparti. Petit à petit, elle m’a aidé à remonter la pente. J’ai laissé tomber la drogue et l’alcool –même si je ne suis pas du tout contre un bon verre de vin lors d’une soirée entre amis ou une petite bière en rentrant du boulot-, mais je n’ai jamais réussi à abandonner complètement la cigarette, je fume toujours à l’heure actuelle d’ailleurs, plus ou moins, cela dépend des moments. Ensuite j’ai repris mes études, me suis trouvé un boulot convenable, bien payé. Elle, elle était avocate. Le genre de fille bien, vraiment, belle, studieuse, intelligente… et diaboliquement séduisante. On aurait pas dit d’ailleurs, vu comme ça, mais qu’est-ce qu’elle était sensuelle, désirable ! Et même après 2ans de vie commune et un bébé –fruit de nos multiples et tumultueux ébats-, je n’ai jamais changé d’avis ni de sentiments à son égard.

Bref, un bébé. Il, enfin, elle est arrivée, comme ça, d’un coup, sans que je réalise totalement. Pas que j’avais pas envie d’un enfant, mais on y avait jamais vraiment songé. Et lorsque Lauren s’est rendue compte de sa grossesse, elle n’a pas eu le courage d’avorter. Et je n’aurais jamais été capable de lui imposer cela. C’est donc à l’âge de 26 ans, le 18 novembre 2006, qu’est née notre petite Gabrielle. Une sorte d’hommage à ma mère, en fait. Le prénom, hein. Une adorable gosse, aussi belle que sa mère, les mêmes yeux d’un bleu profond, même si elle avait hérité de mes cheveux blonds. C’est ce jour-là que j’ai réalisé, vraiment, que j’avais finalement réussi ma vie, et que j’étais heureux.
Alors après, destin, coup du sort, fortune, hasard, appelez ça comme vous voulez… ça n’a évidemment pas duré.
Pourtant, c’était une belle journée. Un matin d’été, où j’étais parti travailler, après avoir dit au revoir à Lauren –qui avait arrêté son travail entre-temps pour pouvoir pleinement s’occuper de notre fille- et à Gabrielle, toujours aussi jolie, toujours aussi mignonne, qui gazouillait gaiement dans les bras de sa mère, du haut de ses huit mois. Qui plus est, j’étais sur le point d’obtenir un poste important dans la banque. Bref, que du bonheur.
Alors imaginez un peu ma gueule quand je suis rentré, et que j’ai vu tout un tas de flics devant la maison. J’ai évidemment pas compris, au départ, comment aurais-je pu imaginer une telle chose ? Tout allait pour le mieux, un malheur ne pouvait pas arriver. Pas maintenant.
Et pourtant…

C’est une voisine qui a donné l’alerte. Elle avait entendu des cris, une demi-heure plus tôt, avant de voir une femme s’échapper de la maison, suivie d’une petite fille. Elle a aussitôt appelé la police. Mais trop tard.
Elles étaient mortes.
Etranglées, toutes les deux.
Je vais pas m’étaler sur tout ce que j’ai ressenti à ce moment-là. Vous vous l’imaginez très bien, et c’est déjà assez pénible de devoir parler de ça. Je n’ai pas compris pourquoi, au début. Qu’avaient-elles fait, qu’avais-je fait pour mériter un tel sort ? C’était horriblement injuste, c’était atroce. J’ai à nouveau sombré dans l’alcool et la dépression, perdu mon emploi. J’en avais plus rien à foutre, tout ce que je voulais, c’était crever. On m’avait ôté mes deux raisons de vivre, et pourtant, j’étais incapable d’en finir moi-même. Une loque, un déchet. Ptêtre pour ça que je supporte pas ce type de gens, maintenant. Parce que ils me rappellent ces souvenirs, et que j’ai honte de m’être laissé aller ainsi. Puis j’ai… pété une sorte de câble. Je sais pas pourquoi, je sais pas comment. Tout ce que je sais, c’est que, d’un coup, j’ai changé d’attitude. Je voulais me venger, retrouver celle qui avait fait ça, celle qui avait détruit ma vie. Je voulais la tuer, la faire souffrir, l’étrangler de mes propres mains, comme ce qu’elle avait fait à Lauren et Gabrielle ! Et, miracle ou pas, le destin a finalement décidé par m’aider. Un après-midi, j’ai reçu un coup de fil de la police. Qui m’a tout expliqué.

Abygaël et Millyana Mièna. Une mère et sa fille, violées toutes les deux par leur mari/père et ses amis. Si cela s’était passé autrement, j’aurais sûrement plaint ces deux femmes. Mais pas après ça. Mais après ce qu’elles m’avaient fait. Non contentes d’avoir tué leurs agresseurs, elles ont décidé de s’en prendre à leur famille. Qu’elles aient quelque chose à voir là-dedans ou pas. J’ai pas tout de suite fait le rapport, puis j’ai compris par la suite. Andrew, le frère de Lauren. On l’avait retrouvé, quelques jours avant le meurtre de ma femme et de ma fille, étranglé lui aussi à son domicile. Si Lauren n’était pas vraiment en bons termes avec lui, elle est tout de même allée à son enterrement. Ils pensent d’ailleurs que c’est là-bas qu’elles l’ont repérée, qu’elles nous ont repéré.
Et elles les ont tuées. Pour ça. Simplement pour ça. Si ils avaient réussi à avoir la mère, Abygaël, la Millyana avait réussi à s’enfuir. Pour l’instant, ils la cherchaient toujours, mais la mère allait être envoyée en prison. Condamnée à perpétuité.
Lorsque j’ai reposé le combiné, j’étais décidé. Une idée avait germé dans mon esprit, lentement, sournoisement, tout au long de cette conversation. Je tenais ma vengeance.


J’ai été engagé à Sadismus, hier soir. Je commence le boulot dès demain matin. Me reste plus qu’à prendre l’avion jusqu’en Allemagne avec ma petite… compagne de voyage. Oh, je ne vous ai pas dit ? Je l’ai retrouvée, cette chère Millyana. Un peu de patience, de la ruse, pas bien sorcier. Maintenant, je la tiens. Tout comme je tiens sa mère. Avec sa fille en otage, elle devrait se tenir tranquille. Mais je ne vais pas le lui révéler, pas tout de suite. Quel intérêt sinon ? Jouons un peu, d’abord…
Abygaël…
Tu es à moi.


Dernière édition par Alejandro L. Johnson le Sam 6 Sep - 16:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeDim 27 Avr - 10:56

Et voilà, terminé !
Encore désolée du retard ^^
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeDim 27 Avr - 11:29

Lauren... 02

Enfin bon...

Si j'ai bien compris, la fille est jouée en PNJ, c'est ça ? Tu l'introduits à Sadismus en meme temps que tu arrives ?

Enfin bon, je te fais confiance de toutes façons ^^

Bien vu, chambre 14.

Bon jeu.
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeSam 3 Mai - 5:45

30

*cours partout*

OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS!!

*O*

Merciiii! *O*

BWAHHAHAHAHAHAHAHAHAH *saute partout etat d'hystérie totale*

*caline Al*

Je t'aiiime 25
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeSam 3 Mai - 6:13

J'en déduis que tu es heureuse du résultat xD
Il te plaît mon beau blond ? 04
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeSam 3 Mai - 6:26

Il ets subliiiiiiiiiiiiiiiiiime,mieux que j'l'attendaaaiiiit *O*

*caliine sybouille*

Beau travail! ^3^
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeSam 3 Mai - 6:29

Mhuhuhu, contente qu'il te plaise ^^
Me reste plus qu'à concocter son arrivée maintenant... *cogite*
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Abygaël Mièna
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitimeSam 3 Mai - 6:31

J'vais te dire : quand j'ai vut la validation j'ai sauté de joie. Quand j'ai lut j'etais pratiquement morte par amour xD

L'est magnifique <3

Bon couraaaage ^^
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MessageSujet: Re: Alejandro Lawrence Johnson   Alejandro Lawrence Johnson Icon_minitime

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