--- Hannibal Lecter ---

Dossier médical

Nom & Prénom- Hannibal Lecter

Sexe- Masculin

Âge- 23 ans

Traits physiques- Je suis un charmant jeune homme, plus grand que la moyenne sans pour autant être une brindille. Musclé, athlétique, beaucoup de personnes m'avaient conseillé le mannequinat avant que je ne plonge. Mon visage long et fin est pourvu de nombreuses petites cicatrices de part et d'autre, deux grands yeux bleutés, couleur gris acier, me permettent de voir la monde à ma façon. Mes cheveux sont châtains foncés et retombent nonchalamment sur mes tempes.

Taille- 1m89

Poids- 80 kg

Maladie ou handicap physique- J'ai quelques troubles psychiques, mais pas de déficiences physiques.

Autres- Rien de plus.


Dossier psychologique

Qualités- Mes qualités sont nombreuses. Ce que je préfère chez moi, parmi tout le reste, c'est l'écoute que j'apporte aux autres. Je suis très attentif et je parle peu, ce qui me permet d'observer le monde. Je suis très patient, et évite de m'emporter pour un rien. Je ne suis pas du genre à faire la guerre à tout ce qui bouge. N'aimant pas trop me vanter, je vais tout de même préciser que le dessin me passione littéralement et que je suis extrêmement doué. Egalement, j'ai suivit des études scientifiques étant plus jeune et je conserve précieusement tout ces documents anatomiques qui me sont chers.

Défauts- Rancunier de première catégorie, je ne pardonne jamais. Beaucoup de personnes, de traîtres qui m'ont déjà trompé en ont payé le prix. Je suis également irrésistiblement attiré par le sang d'autrui. Le mien peut couler, je n'y suis pas sensible, mais celui de mes victimes me rend complètement fou. Je peux changer en quelques secondes, passer de calme, serein et raisonné à rageur, une lueur démentielle dans les yeux. Au lycée, tout le monde me délivrait des surnoms grossiers mais je n'y prêtait pas attention. Je n'avais aucun ami. Aujourd'hui, n'ayant plus rien à perdre, je profite de cette paix royale pour assouvrir mes besoins morbides.

Aime- Tout d'abord, le sang. J'avais eu le malheur d'égorger mon labrador quand j'étais petit. Depuis ce jour, rien ne me convient mieux qu'un bon verre de sang tiède. Humain, de préférence. L'alcool, je n'en suis pas adepte. Je préfère à la limite un verre de grand cru plutôt que de m'enfiler des bouteilles de whisky à longueur de soirées. J'aime par dessus tout la solitude, la confinement. Ce que l'on peut être bien, seul, à s'allonger sur un lit douillet et à regarder le plafond à réfléchissant à tout et n'importe quoi...

N'aime pas- Je déteste par dessus tout la trahison. Ce sentiment que l'on éprouve à se faire tromper par les siens. Durant la semaine passée en stage à l'école de mèdecine, lorsque j'avais dix-neuf ans, un groupe de jeunes gens que je considérait comme amis m'avaient fait un mauvais coup, qui m'était resté en travers de la gorge. Ils m'avaient enfermé, pendant quelques instants seulement, dans une pièce remplie de serpents. A l'époque, ces créatures démunies de pattes me fichaient la frousse et c'était certainement le pire moment de ma vie. Quand j'en fut sorti, les collègues me tapaient avec entrain dans le dos pour plaisanter. Mais malheureusement pour eux, je m'étais attaché aux reptiles, réalisant qu'ils étaient comme moi, innofensifs et cruels à la fois...

Comportement avec les gens- Je me considère comme étant respectueux. Pour moi, l'impolitesse, surtout envers les femmes, est un acte totalement impardonnable. Pourtant, moi-même, j'adore en profiter. Elles sont si fragiles, si maniables. De vraies poupées de chiffons ! Je me garde bien de dire quoi que ce soit de blessant, me comportant en réel gentleman. C'est après que les choses se corsent, car lorsque les gens me voient, ils disent tous voir un homme irréprochable, voire soumis. Certains me connaissent bien mal...

Maladie ou handicap mental- Depuis la mort de ma mère, il y a exactement trois années, je me suis refermé dans ma propre coquille. Avant, la joie de vivre remplissait mes poumons à chaque bouffée d'oxygène. Aujourd'hui, c'est comme si du goudron venait s'y loger et me ronger de l'intérieur. Pourtant, je n'ai encore jamais pleuré la mort de ma chère mère, mais j'ai tout de suite juré de la venger. Peut-être que c'est cela que vous considérez comme handicap mental ? Fort possible.

Valeurs- L'une de mes phrases favorites, celle qui me suivra jusqu'à la mort, de mon invention : "L'homme est né, l'homme doit mourir". C'est certainement aussi valable pour moi.

Tics- Je ne pense pas avoir de tic, de toutes manières il est rare de s'en rendre compte par soi-même. A moins que vous ne nommiez "tic" ce sourire malfaisant et sadique qui s'affiche sur mon visage avant de porter le coup fatal.

Passé- Né en plein coeur de l'Allemagne, d'une mère aux allures aryènnes et d'un père français pure souche, je fut contraint pendant longtemps à vivre dans une misère incomparable par manque de moyens. Nous n'étions pas bien vus dans notre petite ville de la région de Hesse, Wanfried. Considérés comme défavorisés, tout le monde nous rejettait.
Je m'anbandonnait souvent dans la lecture, instructive et passionante, ce qui me forgeait petit à petit une certaine conscience intellectuelle. J'étais fils unique mais je détestais que l'on me gâte. Je préférais que mes parents gardent l'argent pour acheter de la nourriture plutôt que des friandises qui collent aux dents. A l'école, je dessinais le plus souvent, ne m'intéressant pas spécialement à la conjugaison. Mon père était bien meilleur instructeur que tous les autres.
A l'âge de quatorze ans, je quittais à contre coeur le nid familial, regrettant amèrement la bonne soupe de maman. Mais les études que je suivis pendant trois ans m'absorbèrent totalement, et je trouvais enfin, à nouveau, un moyen de me libérer de mon quotidien méprisable. Je ne cessais de voyager, par simple plaisir et parce que je m'étais trouvé un petit travail pour les vacances. Bien payé, je conservais régulièrement de l'argent sur un compte que je me régalais à dépenser le plus vite possible pour ensuite refaire le plein. Le travail n'a jamais été un fardeau pour moi. Plutôt quelque chose que je faisais avec plaisir et entrain, qui me permettait de manger à ma guise. La mèdecine est un domaine bien rémunéré et je pouvais dormir sur mes deux oreilles. Ce que je préférais quand même, c'était de pouvoir faire des autopsies, de pouvoir admirer un corps mutilé, nue, inanimé et de lui retirer délicatement le coeur pour pouvoir enfin le disséquer. Quoi de plus jouissif que la vue de la chair ensanglantée ?
Quelques temps plus tard, le calvaire commença réellement pour moi, le tout jeune Hannibal que j'étais ne se rendais pas compte de ce qu'il faisait. Mon premier crime s'est produit pour le moins tôt, j'avais seulement quatre ans. Aucun mort, mais une souffrance terrible : une fillette s'amusait à me pincer les joues alors que je me concentrais de tout mon être sur mon dessin. Soudain, pulsion de fureur, je m'étais saisi d'un crayon et lui avais violemment planté dans l'oeil. J'espère ne jamais avoir à revoir cette femme...

Mes victimes :
- Saya Kadoki, que j'ai malmenée en l'aveuglant à vie avec un crayon.
- John July, homme d'affaire d'une quarantaine d'années, qui avait eut le malheur de critiquer la tenue vestimentaire de mon père. Mort d'un coup de couteau dans le plexus alors que j'avais douze ans.
- Elina Tavierna, tuée avec préméditation. Un simple pari entre amis, rien de plus.
- Her Männlein, un jeune garçon connu dans mon école allemande. Je m'étais toujours juré de le retrouver car je n'avais jamais supporté un réflèxion qu'il avait fait sur ma mère. En attendant, c'est certainement celui qui a le plus souffert. Je l'avais invité à me rejoindre dans une des salles de cours. Je n'allais plus à l'école depuis bien longtemps, mais j'adorais m'y rendre en clandestin. Je l'avais donc coincé dans une pièce désertée et lugubre, la salle que l'on utilisé pour étudier l'anatomie humaine. Attaché sur la table de dissection, j'avais commencé par lui enfoncer profondément la lame dans la voûte plantaire et lui dessiner de fines rainures sur la peau, histoire de m'amuser un peu. Un fois ses commissures tranchées, j'avais achevé le travail en lui coupant le pénis et son hurlement avait étiré son sourire jusqu'aux oreilles. Ma plus belle oeuvre. D'ailleurs j'expose encore et toujours sa tête dans ma chambre à Wanfried.
- La dernière victime en liste, la seul à avoir eut l'opportunité d'être enterrée par sa famille d'ailleurs, se nommait Erylis Bochin, américaine de nationalité et n'avait que dix-sept ans. Je lui avais fait l'amour comme une bête, mêlant coups et baisers, et tel une Veuve Noire qui dévore son compagnon sexuel, je l'avais dévorée vivante, partageant mon repas avec mon fidèle serpent et conservant la tête comme trophée.


Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- Beaucoup de meurtres, ceux déjà cités, ainsi que de nombreuses tortures. Mes victimes restent marquées à jamais si elle survivent à ma lame. Les viols, ce n'est pas tellement ce que je préfère. Le sexe reste un plaisir que je ne pratique que rarement par la force. Quelques fois, je dois admettre qu'il n'y a rien de mieux.

Matricule- Je porte, moi, Hannibal Lecter, le N°646222.

Rang- Le Docteur Vengeur

No. de cellule- Attente de la décision des admins...

Gang désiré - Aucun pour l'instant, je préfère me la jouer solo pour faire régner ma loi.

Personnage sur l'avatar- Hannibal Lecter, en dessin.


Vivement la validation, à présent...

L'ancien Hannibal n'étant visiblement plus des nôtres, je te laisse entrer. ^^

Bienvenue chez les fous. Tu seras dans la cellule ... DD. Bon jeu
Toutefois, tâche de ne pas poster à l'entrée, fais comme si tu étais là depuis longtemps mais que tu avais seulement changé de cellele.

Merci.

Il est des nooootres \o/

On se fait une bouffe quand tu veux Hannibal ^_-

Merci pour cet accueil, vous deux.

Et c'est quand tu veux Jeff, 'faut juste trouver une tierce personne pour se sacrifier en l'honneur de nos canines. Niark niark niark. xD